On dit que Jésus aurait dit:cette parabole!
Un père avait deux fils. Le benjamin demanda sa part d’héritage, partit avec, la dépensa en ville avec du vin et des femmes, puis devint mendiant. L’aîné demeura avec le père, travaillant durement à la ferme, accumulant une belle richesse. Puis un jour où le fils mendiant, celui qui s’était détourné du chemin, dit à son père : « Je suis de retour. J’ai été sot, j’ai dilapidé ta fortune. Pardonne-moi. Maintenant je n’ai nulle part où aller, accepte-moi, je reviens ». Le père dit à ses fils : « Célébrons cette occasion ; tuons le mouton le plus gras, préparons des mets délicieux, distribuons des douceurs dans toute la ville, et trouvons le vin le plus fin à son intention. Ce sera une fête – mon fils qui s’était égaré est de retour ».
Quelques habitants du village vinrent à la ferme et dirent à l’autre fils : « Regarde – quelle injustice ! Tu es resté avec ton père, tu l’as servi comme un serviteur, tu n’as jamais quitté le droit chemin, jamais rien ne fait pour nuire et pourtant aucune fête n’a jamais été célébrée en ton honneur. Et aujourd’hui, ce vagabond, ce mendiant, qui a gaspillé toute la fortune de ton père, qui a vécu dans le péché, est de retour. Et tu vois cette injustice ! Ton père célèbre cela. Viens en ville ! Des douceurs sont distribuées et une fête fastueuse est organisée ».
Naturellement, le fils aîné se sentit en colère. Il revint chez lui, vraiment très triste, et dit à son père : « De quel genre de justice s’agit-il ! Tu n’as jamais tué de mouton pour moi, tu ne m’as jamais donné aucun cadeau. Et aujourd’hui, ton fils est de retour, celui qui a gaspillé toute la fortune que tu lui avais donnée – et cela, de mauvaises façons- et tu fêtes ce retour ».
Le père dit : « Oui, comme tu es toujours resté avec moi, ce n’était pas nécessaire. Mais son retour doit être célébré : il s’était détourné du chemin, il est l’agneau perdu et retrouvé ».
Cette parabole racontée par Jésus va à l’encontre de la moralité chrétienne opposant le bon et le mal.
Lorsqu’un pêcheur devient sage, une beauté émane du sage. Par contre, un sage qui n’est qu’un sage et qui n’a jamais commis aucun péché n’a pas la même profondeur ni expérience de vie c'est un tiède, on dit que Jésus n'aimait pas les tièdes.
J'ai bien aimé cette façon de voir la chose donc je l'applique depuis plusieurs années je vais surement avoir une grosse Fête au paradis et tous les chrétiens vont être jaloux!