J'avais deja parlé d'une maniere général du pandéisme mais ici je vais parlé des philosophes pandéiste .
Souvent ce sont des philosophes pessimistes issus de l'école schopenhauer .
Ils ont une vision plutot negative de l'existence et on tendance à voir dans sa cessation la fin de la douleur.
Je n'adhère pas à 100 pour cent à cela mais je pense que métaphysiquement c'est intéressant.
Leur theorie est la suivante (ici je parle de Eduard von hartman et Philip Mainlander )
Dieu était , absolu et un .
Il s'est divisé il n'existe plus en tant que Dieu mais en tant que monde .
L'être apparant est en réalité une diminution de Dieu , un cadavre de Dieu .
Le but de l'être humain est de détruire le monde et de reconstituer le corps de Dieu ou l'unité absolu , pour Mainlander le néant et pour Von hartman , l'inconscient (qui n'est pas le non-conscient mais un fond psychique unifié )
Ça ne veux pas dire qu'ils prônaient activement la destruction du monde (bien que néanmoins mainlander encouragait le s**c*de chose que je désapprouve)
Par contre Eduard von hartman pensait qu'un jour l'humanité en arriverait à la conclusion que toute vie est souffrance et aurait recours a un s**c*de cosmique (par exemple avec une bombe nucléaire).
Donc en gros le pandéisme postule la création, le monde non comme quelque chose de merveilleux mais comme la rupture dé l'unité originelle.
Personnellement je suis partagé entre une vision positive du monde et une vision négative.
Je pense que le monde est le meilleur possible mais parfois j'ai aussi la nostalgie d'un ailleurs ou il nexiste aucune séparation .
La maladie et la souffrance semble être inhérent à l'existence des êtres sensibles divisé , puisque etre ceci plutot que cela , c'est etre coupé du reste et donc craindre pour sa souffrance et sa propre détérioration .
Dans une réalité unifié il n'y as sans doute pas de souffrance mais pas d'expérience.
Au final cette état n'est peut etre pas réjouissant mais la souffrance et le temps qui passe , l'entropie inhérente au reel est parfois anxiogène.
