Présidentielle américaine

Rappel du premier message :

Présidentielle américaine : "Yes she can !", Kamala Harris entre officiellement dans la course à la Maison Blanche

"Yes, she can !" (Oui, elle peut !) : Michelle et Barack Obama ont fait chavirer la convention démocrate ce mardi 20 août en saluant "l’espoir" retrouvé avec Kamala Harris. "L’espoir est de retour" a lancé l’ancienne First Lady, toujours immensément populaire, comme son mari, dans le parti.

"Ma Kamala Harris est plus que prête pour ce moment", a lancé Michelle Obama, dont l’éloquence et la sereine autorité ont plusieurs fois suscité de véritables rugissements dans la salle survoltée. "Nous sommes prêts pour la présidente Kamala Harris", a assuré après elle le premier président noir des Etats-Unis, en étrillant Donald Trump, ce "milliardaire de 78 ans qui n’arrête pas de pleurnicher" et qui "a peur de perdre".

"Oui, elle peut !", a dit Barack Obama, faisant bien sûr écho à son ancien slogan. La salle s’est alors mise à scander la phrase.

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florence_yvonne a écrit:

Pourquoi est-ce que cela serait nous qui aurions raison, tu es loin d'être objectif.

C'est qui, ce "nous" ?

florence_yvonne a écrit:

Je suis sure que les américains pensent la même chose de notre justice.

Tu as des sources, pour ça ? Cela dit, ça ne change rien sur le fond.

Toi et moi.

Ce n'est pas une source, c'est une question de bon sens.

Si Trump est élu, préparons nous aux pire.

florence_yvonne a écrit:

Si Trump est élu, préparons nous aux pire.

Il a déjà été président, ça n'a pas été si pire que ça.

Ce prochain mandat aura un goût de revanche, quatre ans de rancunes et un désir de vengeance.

Et puis, le contexte n'est pas le même.

Trump et Poutine : des liens plus étroits qu'on l'imagine ?

Donald Trump a souvent vanté ses relations avec le président russe et selon une enquête il a même rendu des services personnels à Vladimir Poutine.

Aux Etats-Unis, à moins d'un mois de la présidentielle, de récentes révélations sur une certaine proximité entre le candidat républicain Donald Trump et le président russe Vladimir Poutine suscitent des interrogations. En pleine campagne électorale et alors que la Russie est soupçonnée d'ingérence dans des élections hors de son territoire, certains détails sur les relations entre les deux hommes interrogent.

Depuis qu'il a quitté ses fonctions début 2021, l'ex-président américain Donald Trump, a parlé jusqu'à sept reprises avec le président russe Vladimir Poutine... c'est ce qui ressort des recherches du journaliste d'investigation américain Bob Woodward.

Alors qu'il était en exercice, Donald Trump, aurait par ailleurs envoyé personnellement des tests Covid-19 toujours au président russe au début de la pandémie à un moment où ces tests étaient également très rares aux États-Unis.

Vladimir Poutine lui aurait alors, à l'époque, conseillé de garder le secret, car cette action pourrait lui porter préjudice, à lui Donald Trump, sur le plan politique.

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Un Donald Trump rayonnant accueille le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou


C’est un Donald Trump rayonnant et chaleureux qui a accueilli le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou, vendredi, pour leur première rencontre face à face depuis près de quatre ans, alors que les deux politiciens cherchaient à réparer une alliance politique importante qui s’était rompue après que M. Nétanyahou eut félicité Joe Biden pour sa victoire présidentielle de 2020 contre M. Trump.

L’ex-président Trump attendait sur les marches de pierre devant son domaine de Mar-a-Lago à Palm Beach, en Floride, pour saluer le dirigeant israélien, qui en est au cinquième jour d’une visite d’une semaine aux États-Unis visant à renforcer le soutien à la guerre d’Israël contre le Hamas à Gaza et à améliorer la popularité décroissante de M. Nétanyahou dans son pays.

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C'est clair, on envisage sans mal la politique de Trump face à ces tentatives d'invasions de l'Ukraine et de la Palestine.

Ses mains "partout sur mes seins" : Donald Trump accusé d'agression sexuelle par une ex-mannequin rencontrée via Jeffrey Epstein

A trois semaines de l'élection présidentielle américaine, le candidat républicain Donald Trump est une nouvelle fois accusé d'agression sexuelle par une ex mannequin, révèle le Guardian ce 24 octobre 2024.

Donald Trump est accusé d'avoir agressé sexuellement une mannequin rencontrée par l'intermédiaire de Jeffrey Epstein durant les années 1990, a révélé mercredi le Guardian.

Sur invitation de Jeffrey Epstein

Selon la mannequin, citée par le quotidien, cette agression présumée aurait eu lieu à la Trump Tower de New York au début de l'année 1993.

Stacey Williams raconte s'être rendue chez le milliardaire républicain sur invitation du financier américain Jeffrey Epstein

A son arrivée, Donald Trump l'aurait attirée vers elle, avant de mettre ses mains "partout sur mes seins", ainsi que sur sa taille et ses fesses.

Elle confie alors s'être figée parce qu'elle était "profondément troublée", et affirme qu'elle a alors cru voir Donald Trump sourire à Jeffrey Epstein.

Le financier, aux puissants réseaux économiques et politiques aux Etats-Unis et à l'étranger, était lui-même accusé d'avoir agressé sexuellement et violé des jeunes filles, mais son suicide par pendaison en prison à New York en août 2019 a éteint l'action publique à son encontre

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florence_yvonne a écrit:

Trump et Poutine : des liens plus étroits qu'on l'imagine ?

C'est clair, on envisage sans mal la politique de Trump face à ces tentatives d'invasions de l'Ukraine et de la Palestine.

De son temps, Poutine n'envahissait pas l'Ukraine, et il y avait moins de grabuge au Proche-Orient.

Poutine a toujours été Poutine il ne s'est pas réveillé un jour en se disant, voyons qu'est-ce que je vais faire aujourd'hui ? ben tient, je vais envahir l'Ukraine, cela m'occupera.

florence_yvonne a écrit:

Poutine a toujours été Poutine il ne s'est pas réveillé un jour en se disant, voyons qu'est-ce que je vais faire aujourd'hui ? ben tient, je vais envahir l'Ukraine, cela m'occupera.

En admettant, et alors ?

Et alors ? cela ne te fait pas peur ? moi, je suis effrayée.

Trump veut des généraux comme ceux d'Adolf Hitler

Selon son ancien chef de cabinet John Kelly, Donald Trump a par le passé fait l'éloge d'Adolf Hitler et déclaré qu'il "voulait des généraux comme ceux d'Hitler."

En outre, le candidat républicain à la présidence aurait également fait preuve de condescendance à l'égard de soldats blessés ou décédés de l'armée américaine.

Trump nie les allégations, mais Kamala Harris utilise déjà cette déclaration pour mettre en garde les électeurs.

"Trump ne veut pas d'une armée fidèle à la Constitution américaine, il veut une armée qui lui soit fidèle", a déclaré Mme Harris.

D'ailleurs, selon la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, le président Joe Biden considère Trump comme un fasciste.

"Le président lui-même a dit qu'il sera un dictateur dès le premier jour. Ce sont les déclarations de Trump, pas les nôtres", a déclaré Mme Jean-Pierre lors d'une conférence de presse.

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Trump le prouve : il est nul en histoire

« J’aurais aimé avoir les généraux qu’Hitler avait. » Cette phrase qu’aurait prononcée Donald Trump dans le Bureau ovale démontre qu’il ne connaît guère la complexité du soutien d’Hitler. Il a par contre confirmé qu’il était un cancre en histoire.

Faut-il connaître l’histoire pour devenir Président des États-Unis ? C’est sans doute un avantage, en particulier en diplomatie, mais cela n’est pas nécessaire. Donald Trump a déjà pu s’asseoir dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche malgré d’évidentes lacunes. Selon plusieurs collaborateurs durant son mandat de 2016 à 2020, il aurait un jour déclaré : « J’aurais aimé avoir les généraux qu’Hitler avait ». S’il voulait parler de leur loyauté, il se trompe lourdement. Il est vrai que le petit peintre autrichien a pu compter sur l’armée dans ses ambitions de conquête aux premières heures du nazisme, par intérêts communs. Sur le champ de bataille, certains généraux, dont Erwin Rommel, ont permis de belles victoires à la Wehrmacht. Mais cela n’a pas duré.

Attentat

En plaçant des caciques nazis aux postes militaires et en mettant l’armée au pas, le dictateur nazi a fini par cultiver le détachement, le mépris, voire le désir d’en finir avec lui. Depuis la fin du XIXe siècle et l’Empire allemand, les militaires avaient une certaine autonomie sur le terrain des opérations. Notamment durant la guerre 14-18. Hitler et son régime nazi vont changer cela. L’armée devra rendre des comptes. Dès 1933, les officiers doivent jurer fidélité au Führer, et plus à la constitution. Au début, la politique militaire nazie fonctionne. Mais dès 1941, plusieurs généraux allemands s’opposent à la stratégie de Berlin. Cela leur coûtera, au mieux la liberté, au pire la vie. La situation va se détériorer inexorablement. Rommel sera même convié à « se suicider » après l’attentat du 20 juillet 1944, sans qu’on ne puisse formellement prouver sa participation au complot. Pourtant, cet attentat – manqué – contre Hitler et la tentative de putsch ont bien été fomentés par de hauts officiers de l’appareil militaire et répressif.

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Election présidentielle américaine : l’Europe pourrait-elle se défendre sans les Etats-Unis ?

Avec l'incertitude croissante autour de l'engagement des Etats-Unis en Europe, notamment à l’approche de l’élection présidentielle américaine et de l’éventuelle victoire de Donald Trump, une question cruciale se pose : l'Europe serait-elle capable d'assurer sa propre défense si Washington décidait de se retirer ?
Quelle que soit l’issue de l’élection présidentielle américaine, l’Europe a de quoi s’inquiéter. Depuis la Seconde Guerre mondiale, une majorité de pays européens peu soucieux d’investir dans leurs armées, dépendent du parapluie militaire américain via l’Otan. Washington assume en effet 50% des dépenses de l’Alliance Atlantique, malgré l'accord de partage des coûts.

Mais la réémergence de Donald Trump sur la scène politique américaine, et ses menaces répétées de retirer la protection américaine si les pays européens ne s’acquittent pas de leur part de financement, accentuent l’éventualité d’une rupture. On se souvient de l’avertissement du candidat républicain en février dernier, à l’attention des Etats membres de l’Otan mauvais payeurs : «Je ne vous protégerais pas (dans l’hypothèse d’une attaque de la Russie, NDLR). En fait, je les encouragerais à vous faire ce qu’ils veulent. Vous devez payer vos dettes.»

Les Etats-Unis vont se désengager progressivement de l’Europe
Et même si Kamala Harris devait l’emporter, le Congrès n’est pas à l’abri d’une majorité républicaine, menaçant directement le soutien américain à l’Ukraine. De manière générale, les prochains présidents américains, quel que soit leur bord, risquent de se désengager progressivement du théâtre européen (mais aussi africain et moyen-oriental) pour se tourner vers l'Asie-Pacifique, nouveau centre géostratégique du monde, dans un contexte de tensions croissantes avec Pékin. La question se pose alors : le Vieux Continent est-il totalement incapable de se défendre lui-même ?

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L'actu en dessin : la campagne de Donald Trump, le nouveau dada d'Elon Musk

J'espère que Trump sera banni pour toujours un délinquant financier

Au Etats Unis, l'inéligibilité n'existe pas.

Bah je me tue à le répéter les démons gouvernent le monde !

Il faudra une révolution pour renverser ce pouvoir...

Loganj a écrit:

Il faudra une révolution pour renverser ce pouvoir...

"Le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument..." (John Acton).

Présidentielle américaine : Trump accusé d’être fasciste, Springsteen soutient Harris… Le récap à 12 jours de l’élection

L’info à ne pas louper
Donald Trump est-il un fasciste ? « Oui je le pense », a répondu Kamala Harris, interrogée par un journaliste de CNN lors d’une réunion publique avec des électeurs en Pennsylvanie, un des « swing states » qui s’annonce parmi les plus disputés.

Le terme agite la campagne outre-Atlantique, en raison des propos de l’ancien chef de cabinet du républicain à la Maison-Blanche, John Kelly. Cet ex-haut gradé de l’armée américaine a estimé que le candidat républicain répondait à la définition d’un fasciste, et a assuré que l’ancien président aurait dit que le dictateur nazi Adolf Hitler avait « fait de bonnes choses ».

Ce qu’il faut aussi retenir

Donald Trump à nouveau visé par des accusations. Le candidat républicain est accusé d’avoir agressé sexuellement une mannequin rencontrée par l’intermédiaire de Jeffrey Epstein durant les années 1990, a révélé le Guardian. Selon Stacey Williams, Trump lui aurait touché les seins, les fesses et la taille, sans son consentement, lors d’une rencontre en 1993. L’attachée de presse du candidat a dénoncé des accusations « fausses » et inventées par l’équipe de Harris.

Kamala Harris, Obama et le Boss. La candidate démocrate se rendra jeudi en Géorgie, accompagnée par l’ancien président Barack Obama, qui a multiplié les déplacements en solo pour la soutenir, notamment auprès de l’électorat masculin. Le chanteur Bruce Springsteen donnera également de la voix en soutien dans cet État-clé du sud. Donald Trump se rend quant à lui en Arizona puis dans le Nevada.

Le « réquisitoire final ». À une semaine de « l’Election Day », Kamala Harris a annoncé qu’elle livrerait mardi à Washington son « réquisitoire final » contre Donald Trump. L’ancienne procureure s’exprimera sur l’Ellipse, un parc entre la Maison-Blanche et l’obélisque du Washington Monument. Le lieu est hautement symbolique : c’est ici que les partisans de Trump s’étaient réunis le 6 janvier, avant d’attaquer le Capitole.

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L'UE veut durcir les sanctions contre Moscou en cas de victoire de Trump

BRUXELLES (Reuters) - Les diplomates de l'Union européenne (UE) préparent des mesures pour renforcer les sanctions contre la Russie, craignant qu'un potentiel retour de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis puisse compromettre les efforts occidentaux d'isoler Moscou, ont déclaré à Reuters des sources proches des discussions.

Les échanges entre les responsables de l'UE sont centrés sur plusieurs initiatives visant à garantir que les sanctions européennes demeurent à long terme, en les renforçant par une application plus stricte, même si Washington change de cap.

Parmi les mesures envisagées figurent une clause de "catch-all" (ou "attrape-tout") pour identifier et intercepter les expéditions suspectes vers la Russie, ainsi que des restrictions élargies sur le transport de pétrole.

Certains États membres envisagent d'appliquer cette clause à des marchandises militaires ou à un éventail plus large d'exportations interdites.

Il est également question de modifier l'exigence de renouvellement des actifs de la Banque centrale russe, la plus grande sanction occidentale contre Moscou, afin qu'il intervienne tous les six mois, ont dit les sources sous couvert d'anonymat.

Ces préparatifs se font en prévision d'un changement de position à Washington si Donald Trump est réélu. Un assouplissement des sanctions américaines mettrait l'Europe dans une position délicate, car les États-Unis sont les principaux acteurs dans l'application des sanctions.

La suite de l'article ici

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Kamala Harris mobilise Barack Obama et Bruce Springsteen en Géorgie dans la dernière ligne droite de la présidentielle américaine 2024

La candidate démocrate a repris le slogan du premier président noir des Etats-Unis, « Yes we can ! », jeudi 24 octobre, dans la banlieue d’Atlanta. « Nous n’avons pas besoin de quatre ans d’un aspirant roi, d’un aspirant dictateur », a déclaré ce dernier.

Dans une interview pour LCI la chaîne d’information continue française, l’ancien Premier ministre Manuel Valls estime qu’il faut Il être capable de "montrer les dents" à Vladimir Poutine, et il ajoute que "ça peut passer par envoyer des troupes au sol" en Ukraine.

Sur LCI, Manuel Valls appelle à fournir des armes de longue portée, à augmenter les budgets de défense et à faire preuve de la plus grande fermeté face à la Russie.

"La Corée du Nord est en passe de devenir cobelligérante dans une guerre européenne, c'est un événement d'une grande gravité car cela pointe l'incapacité de l'Occident à mettre un terme à un conflit qui se déroule sur le sol européen depuis bientôt 3 ans et de maintenir une dissuasion suffisante pour empêcher que la pire dictature du monde n'envoie ses soldats tuer des Ukrainiens."

Et Valls conclut:

"La Russie a fait un très grand pas vers une dangereuse escalade en invitant la Corée du Nord en Ukraine. Alors on peut essayer de désamorcer le conflit, de parler de négociations mais la réalité c'est que face à des Poutine ou Kim Jong-Un, ce qui marche ce n'est pas la diplomatie mais la dissuasion."

Kamala Harris a repris jeudi 24 octobre dans la banlieue d’Atlanta le fameux slogan de Barack Obama, « Yes we can ! », lors d’un meeting de campagne où le premier président américain noir a joué les invités d’honneur aux côtés de Bruce Springsteen. L’un avec son micro, l’autre avec sa guitare, les deux hommes ont chauffé la salle et appelé les électeurs de Géorgie à se mobiliser dans la dernière ligne droite de la présidentielle du 5 novembre.

La suite de l'article ici

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Donald Trump : son plan pour contester l'élection en cas de défaite

Si Kamala Harris, la rivale démocrate du républicain, l’emporte en novembre, responsables électoraux et experts redoutent que l’ex-président et ses partisans n’acceptent pas ce résultat.



Mauvais perdant, bon tricheur

États-Unis : un documentaire sur l'avortement en pleine campagne présidentielle

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Élection présidentielle américaine : dans les Swing states, le grand mensonge de Donald Trump fait des émules

Dans les rouages de la course à la Maison-Blanche, plusieurs représentants électoraux défendent la théorie du complot du républicain. Quel impact ?

Au Michigan, dans le comté de Macomb, la présidente de la commission électorale chargée de certifier les résultats locaux de l’élection présidentielle américaine du 5 novembre est une républicaine ayant appelé l’ancien président Donald Trump à se battre pour rester au pouvoir après sa défaite électorale en 2020 face au démocrate Joe Biden.

En Caroline du Nord, un autre des sept États considérés comme pivot (Swing states) pour le scrutin, un membre de la commission électorale du comté de Henderson a envoyé en août des e-mails aux parlementaires accusant sans preuve les démocrates d’"inonder" l’État avec des bulletins illégaux.

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Présidentielle américaine : la loterie à un million de dollars d’Elon Musk considérée comme illégale

Alors qu'Elon Musk a commencé à offrir chaque jour un million de dollars à un électeur, le ministère de la Justice a rappelé que sa démarche était illégale.

La loterie d'Elon Musk est illégale. C'est ce qu'affirme le ministère de la Justice dans une lettre envoyée à l'équipe d'Elon Musk, alors que le milliardaire a commencé à récompenser quotidiennement, par un chèque d'un million de dollars, un électeur d'un des sept États clés pour le scrutin présidentiel du 5 novembre.

Musk supporteur du candidat Trump
Depuis plusieurs mois, Elon Musk affiche publiquement son soutien à Donald Trump, l'ancien président des États-Unis et candidat républicain à la Maison-Blanche. Le patron de SpaceX, Tesla et X a commencé sa loterie le samedi 19 octobre en remettant un premier chèque d'un million de dollars à une électrice de Pennsylvanie, Kristine Fishell. L'Américaine annonce son intention de voter pour Donald Trump.

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Voila qui pourrait donner du grain à moudre à Harris si elle le veut en cas d'élection de Trump de demander l'invalidation des résultats.

L’ancien chef de cabinet de Trump croit qu’il est la définition même du fascisme

Dans une entrevue rare et bien réfléchie dans le New York Times, le général de marine à la retraite John Kelly, ancien chef de cabinet de Donald Trump, affirme que ce dernier souhaitait avoir «des généraux comme ceux qu’Hitler avait» et qu’il entre dans «la définition générale du fascisme».

John Kelly a brisé le silence habituel des militaires à la retraite sur leurs opinions politiques……pour adresser un avertissement sérieux à la population concernant un éventuel choix de Trump aux élections.

Il souligne également que Trump admirait l’attitude obéissante des généraux d’Hitler et qu’il tenterait de gouverner de manière fasciste, comme un dictateur, s’il avait la chance de revenir à la Maison-Blanche.

Rappelons que ce n’est pas la première fois que Trump manifeste son intérêt pour des dictateurs.

Dans un enregistrement récemment diffusé par NBC News, il a exprimé son admiration pour la manière dont le peuple nord-coréen applaudit Kim Jong-un lorsque ce dernier entre dans une pièce…mettant en avant le soutien évident et unanime envers leur dirigeant.

Il a même affirmé dans cet enregistrement qu’il souhaitait que son propre peuple affiche une telle loyauté et enthousiasme envers lui, ce qui a entraîné des critiques et des préoccupations quant à sa compréhension des régimes autoritaires.

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Si Trump est élu, les américains ne pourrons pas dire qu'on ne les a pas prévenu, mais peut-être qu'ils n'ont pas accès à l'information internationale qu'ils n'ont pas la télé, pas accès à internet, ni aux journaux politiques, ni aux livres sur la politique.

Une Corée du Nord bis en quelque sorte.

Le Dieu Trump.  

Donald Trump évoque de « grandes menaces » pour sa vie venant de l’Iran

L’équipe de campagne du candidat républicain à la présidentielle affirme que les services de renseignement américains avaient averti l’ancien président des risques. Téhéran rejette ces accusations.

Après avoir fait état de menaces de Téhéran le visant, Donald Trump a affirmé, mercredi 25 septembre, qu’il faudrait menacer de « détruire » l’Iran si ce pays s’en prenait à un candidat à l’élection présidentielle américaine. « Si j’étais président, j’informerais le pays proférant des menaces, en l’occurrence l’Iran, que si vous faites quoi que ce soit pour nuire à cette personne, nous ferons détruire vos plus grandes villes et le pays lui-même », a déclaré le candidat républicain lors d’un meeting de campagne, dans un contexte d’hostilités redoublées entre Israël et le Hezbollah, mouvement chiite libanais allié de Téhéran.

Donald Trump a évoqué sur son réseau social Truth Social « de grandes menaces » pour sa vie venant du régime de Téhéran. « L’Iran a déjà pris des mesures qui n’ont pas fonctionné, mais ils vont réessayer. (…) Je suis entouré de plus d’hommes, de fusils et d’armes que je n’en ai jamais vus auparavant », a-t-il écrit.

La suite ici

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Ce brave Trump est capable de tout afin de pouvoir se positionner en Victime et aussi en miraculé.

On ne peut rien contre Dieu puisqu'il à Jésus avec lui

florence_yvonne a écrit:

Ce brave Trump est capable de tout afin de pouvoir se positionner en Victime et aussi en miraculé.

S'agissant de menaces iraniennes, qu'est-ce que tu en sais, que c'est bidon ? Ta source ne le dit pas.

Parce que de nombreux site d'information relais ce message et qu'aucun ne dit le contraire,

Pourquoi Téhéran rejetterait ces accusations qui pourrait appuyer leur degré de pouvoir de nuisance envers Trump ?

C'est comme un condamné à mort qui aurait reconnu 20 meurtre et refuserais de reconnaitre le vingt et unième alors qu'il n'a rien à y gagner.

tchar a écrit:

florence_yvonne a écrit:

Ce brave Trump est capable de tout afin de pouvoir se positionner en Victime et aussi en miraculé.

S'agissant de menaces iraniennes, qu'est-ce que tu en sais, que c'est bidon ? Ta source ne le dit pas.

Non, c'es Biden

Il y a des tas de chose que ma source ne dit pas, la signe astrologique de Trump par exemple

En attendant, on chante déjà victoire chez les partisans de Trump. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Pour ce que ça vaut, mais je ne vois nulle part l'équivalent de l'autre côté.

Oui et on chante aussi le Père Noël.

Chanter n'est pas un argument très sérieux.

Le parti au pouvoir donné vainqueur des élections, l'opposition conteste

TBILISSI (Reuters) -Rêve géorgien, le parti au pouvoir en Géorgie, a remporté les élections législatives qui se tenaient samedi dans l'Etat du Caucase avec plus de 54% des voix, selon des résultats quasi définitifs, a annoncé dimanche la commission électorale.

L'opposition pro-occidentale a refusé de reconnaître la victoire d'une formation qu'elle accuse de dérive autoritaire et d'alignement sur la Russie, l'un de ses dirigeants qualifiant le scrutin de "coup de force constitutionnel".

Trois missions d'observation du scrutin - conduites par l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), les ONG américaines NDI (National Democratic Institute) et IRI (International Republican Institute) et l'ISFED, une organisation géorgienne - ont signalé dimanche des irrégularités importantes.

Elles ont estimé que ces violations, notamment des cas de bourrages des urnes, de corruption, d'intimidation des électeurs ou de violence physique pourraient avoir eu un impact sur le résultat du vote.

Elles n'en ont toutefois pas conclu que les élections avaient été truquées, ce que l'opposition affirme.

"Nous continuons d'exprimer notre profonde inquiétude face au recul démocratique en Géorgie", a déclaré Antonio López-Istúriz White, chef de la délégation du Parlement européen au sein de la mission de l'OSCE. "Le déroulement de l'élection d'hier en est malheureusement la preuve."

L'ISFED a déclaré que ses observateurs avaient déposé plus de 200 plaintes auprès de la commission électorale. Elle a toutefois ajouté ne pas avoir constaté d'irrégularités significatives lors du dépouillement des bulletins, dont la majeure partie a été comptée par des appareils électroniques.

Ni la commission électorale ni le parti Rêve géorgien n'ont réagi dans l'immédiat à ces allégations. Ils avaient tous deux salué samedi des élections libres et équitables.

Tina Bokoutchava, cheffe du Mouvement national uni, l'un des principaux partis d'opposition, a estimé que l'élection avait été "volée". "Ma position, notre position, est que nous devons à coup sûr manifester", a-t-elle déclaré dimanche à Reuters.

La suite ici

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Les Américains ont désamorcé un conflit nucléaire avec Poutine

Le journaliste Bob Woodward a publié le livre "War", qui retrace l'histoire de trois conflits: le Moyen-Orient, l'Ukraine et la Russie, ainsi que la lutte pour la présidence des États-Unis.

Il y révèle certaines des conversations que l'actuel président américain Joe Biden a eues et les informations qu'il a dû gérer pour éviter un conflit mondial.

"Six mois après l'invasion chancelante de l'Ukraine par Poutine et face à la contre-offensive ukrainienne, l'administration Biden a commencé à recevoir des informations alarmantes selon lesquelles le président russe était de plus en plus désespéré par ses pertes sur le champ de bataille" écrit Woodward.

"De nouveaux rapports des services de renseignement indiquaient qu'il y avait 50 % de chances que la Russie utilise une arme nucléaire tactique", écrit Bob Woodward.

Joe Biden donne l'ordre à ses équipes de contacter Moscou. Un premier échange téléphonique tendu a lieu entre les ministres de la défense américain et russe.

"Je n’aime pas qu’on me menace", avertit Shoigu, "Monsieur le ministre", répond Lloyd Austin, "je suis le chef de l’armée la plus puissante de l’histoire du monde. Je ne profère pas de menaces."

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florence_yvonne a écrit:

Oui et on chante aussi le Père Noël.
Chanter n'est pas un argument très sérieux.

Il faut voir tout ce qu'il racontent à l'appui, sérieux ou pas. De l'autre côté, on voit plutôt des signes d'affolement.

Après, on verra bien le résultat.

Malheureusement oui

Trump accuse Biden de n'avoir rien fait de bien pendant son mandat

Présidentielle américaine : que retenir du bilan environnemental de Joe Biden ?

Alors que l’élection présidentielle américaine du 5 novembre doit voir l’élection du successeur de Joe Biden se pose la question du bilan environnemental de l’actuel président des États-Unis. Retour dans l’accord de Paris, vaste plan d’investissement vert… Le contraste avec son prédécesseur, Donald Trump, est saisissant. Pour autant, il reste difficile, aux États-Unis, de se détacher de l’industrie fossile, et les défenseurs de l’environnement ne digèrent pas certaines décisions.

Deuxième émetteur de gaz à effet de serre mondial, les États-Unis ont un rôle essentiel à jouer dans la construction d’une trajectoire climatique plus désirable. Et cela d’autant plus que la politique environnementale qui y est conduite a une incidence au-delà des frontières.

Les quatre années de présidence Biden qui viennent de s’écouler ont vu les États-Unis revenir dans la discussion mondiale sur le climat : d’abord en rejoignant à nouveau les États signataires de l’accord de Paris, puis en mettant en place une politique environnementale plus ambitieuse.

Alors que l’élection présidentielle américaine de novembre 2022 va voir s’opposer Kamala Harris, vice-présidente actuelle de Joe Biden, avec l’ancien président Donald Trump, la question du bilan environnemental du mandat Biden se pose. Celui-ci est critiqué : malgré des retombées positives, il reste difficile, dans le contexte américain, de se détacher des énergies fossiles et des intérêts privés

Un président à l’écoute de la science, contrairement à son prédécesseur
L’administration Biden a fondé sa politique environnementale sur une vision renouvelée du rapport entre l’exécutif et la science, diamétralement opposée à celle qui l’a précédée sous la présidence Trump.

Outre le retrait des États-Unis de l’accord de Paris ainsi que la nomination du climatosceptique Scott Pruitt à la tête de l’Agence nationale de protection de l’environnement américaine (EPA), l’administration Trump a fréquemment ignoré ou minimisé les appels de la communauté scientifique à instaurer des réglementations plus protectrices de la santé publique ou de l’environnement.

Au contraire, les actions destinées à dresser des obstacles contre la recherche scientifique ou à en discréditer les résultats ont été multipliées. Le projet universitaire Silencing Science Tracker a ainsi recensé 346 actions hostiles à la science émanant de l’État fédéral entre le 8 novembre 2016, date de l’élection de Donald Trump, et le 20 janvier 2021, date de l’investiture de Joe Biden.

Le simple fait que l’administration Biden, contrairement à l’administration Trump, reconnaisse la réalité scientifique du changement scientifique est une nette évolution. Quelques jours avant son investiture, Joe Biden s’est distingué de son prédécesseur, en annonçant que :

« la science [serait] toujours au premier plan au sein de [son] administration » et que toutes les actions se devaient d’être « fondées sur la science, les faits et la vérité. »

Pour la première fois dans l’histoire des États-Unis le Conseiller scientifique du président a également été placé au rang ministériel. Dès son entrée en fonction, le président Biden a également signé le retour des États-Unis dans l’accord de Paris.

Le suite ici

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Meeting de Donald Trump : Ricky Martin n’a pas loupé cette sortie raciste sur Porto Rico

PEOPLE - Ricky Martin rejoint à son tour le cortège pour Kamala Harris. Le célèbre chanteur a confirmé son son soutien à la candidate démocrate dans la course à la Maison Blanche, quelques heures après une saillie raciste entendue ce dimanche 27 octobre lors d’un meeting de Donald Trump au sujet de Porto Rico, territoire dont Ricky Martin est originaire.

Beyoncé au meeting de Kamala Harris, le point d’orgue d’une campagne à grand renfort de people
« C’est ce qu’ils pensent de nous. Votez pour Kamala Harris », a écrit l’interprète de Maria en story sur Instagram pour accompagner la vidéo du passage dans lequel l’humoriste Tony Hinchcliffe a qualifié Porto Rico d’« île flottante d’ordures » lors du rallye de Donald Trump à New York.

Suivi par plus de 18 millions d’abonnés sur le réseau social, Ricky Martin a aussi assuré avoir publié un contenu sur ce même sujet sur son feed, mais que la publication aurait été « shadow banned », c’est-à-dire qu’elle aurait été masquée par l’application aux autres utilisateurs.

Cela se produit en règle générale quand une publication ne respecte pas les conditions d’utilisation de l’application, même si de nombreux utilisateurs ont par le passé déploré voir leurs contenus « censurés » quand il était question de certains sujets en particulier, comme la situation en Palestine, à l’instar de la mannequin Bella Hadid.

Bad Bunny soutient Kamala Harris
Comme Ricky Martin, plusieurs autres personnalités publiques ont elles aussi partagé, ce dimanche, une vidéo de campagne de Kamala Harris dans laquelle la candidate démocrate tente de convaincre les électeurs originaires de Porto Rico de voter pour elle. C’est le cas de Bad Bunny, par exemple.

Soutien clé pour la femme politique, Bad Bunny n’est pas seulement suivi par 45 millions d’abonnés sur Instagram, il est aussi « l’une des plus grandes superstars internationales, et le plus célèbre des Latinos », selon le Washington Post, qui voit en son influence une manière de convaincre des milliers de Latino-Américains, première minorité du pays.

Originaire de Porto Rico, le rappeur s’implique de plus en plus en politique et notamment dans ce territoire rattaché aux États-Unis, où il a acheté des panneaux d’affichage pour protester contre le Nouveau Parti progressiste, un parti politique portoricain favorable à la création du statut d’État américain à part entière.

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Je ne sais pas qui on a intérêt à voir à la Maison Blanche, mais le contraste entre le discours pour Harris (l'ensemble des médias grand public de chez nous) et celui pour Trump est hallucinant. D'un côté on présente la prestation de la candidate dans son interview du 17 octobre comme géniale, irrésistible, de l'autre :

"La prestation de Kamala Harris sur Fox News le 17 octobre a été une catastrophe pour sa campagne (et cela n’a été qu’une catastrophe parmi de nombreuses autres catastrophes). Le journaliste qui menait l’entretien, Bret Baier, a posé des questions factuelles, pas du tout agressives. C’était la première fois que Kamala Harris se trouvait face à un journaliste digne de ce nom et posant des questions factuelles. Elle n’a répondu à aucune question, pas même à une question sur le nombre d’immigrants clandestins que l’administration dont elle fait partie a laissés entrer dans le pays depuis janvier 2021. Quelle que soit la question, elle s’est efforcée de revenir à des propos insultants sur Donald Trump qui n’avaient aucun rapport avec la question. Elle a tout fait pour empêcher Bret Baier de lui poser davantage de questions en recourant à la logorrhée verbale et en lui demandant de la “laisser finir” ce qu’elle disait (...) Alors que les journalistes de CNN, MSNBC, The New York Times, The Washington Post commencent à admettre que le vent de la défaite souffle sur la campagne de Kamala Harris et se livrent à des imprécations anti-Trump de plus en plus frénétiques (ils disent maintenant que si Trump est réélu, il enverra l’armée américaine arrêter tous les Démocrates, et certains ajoutent qu’il sera plus virulent qu’Hitler, Staline et Mussolini réunis !) les journalistes français qui parlent de l’élection disent que le résultat reste “très indécis” : ils reprennent à leur compte, par contre, toutes les imprécations anti-Trump qui circulent aux États-Unis...".
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Que ce soit bon ou mauvais, j'en conclus quand même qu'on va vers une victoire de Trump. Diaboliser à ce point quelqu'un qui a quand même occupé la place pendant quatre ans, bien ou mal, et qui a obtenu bien plus de voix en 2020 qu'en 2016, ça ressemble à un aveu de faiblesse.

Qui ose poser des question à Trump ?

C'est quoi l'argumentation de Trump, l'insulte de ses opposant, l'amalgame des migrants avec des assassins, des mangeurs de chiens, la menace de sanctions envers toute personnes susceptibles de lancer des accusations graves contre lui et de le mettre en prison,

Et je n'invente rien

La vengeance de Trump: "je le vire en 2 secondes"

Donald Trump, candidat aux élections américaines de la semaine prochaine, s'est exprimé sur le procureur spécial Jack Smith qui a engagé deux procédures fédérales contre lui.

Il durera "deux secondes", car ce sera l'une des premières questions qu'il abordera au cours de son mandat.

Cette déclaration fait suite à une interview accordée à un podcast conservateur, dans laquelle il était question de savoir s'il envisageait de se gracier lui-même et de renvoyer Jack Smith dès son premier jour à la Maison-Blanche.

"C'est très facile. Je le renverrais en deux secondes", s'est empressé de souligner le candidat républicain.

Jack Smith a déposé deux plaintes contre M. Trump après son départ de la Maison Blanche.

En août 2023, Trump a été accusé d'avoir conspiré pour renverser les résultats de l'élection de 2020 qu'il avait perdue face à Joe Biden. Il a également été accusé par un tribunal de Floride d'avoir mal géré des documents classifiés, mais cette affaire avait été rejetée par la juge de district américaine Aileen Cannon, nommée par Trump.

En tout état de cause, le président américain n'a pas le pouvoir de révoquer un conseiller spécial, mais s'il est réélu, il pourrait nommer un nouveau procureur général qui en aurait le pouvoir.

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Trump méprise les électeur qui ne voteront pas pour lui

Trump et son gros doigt d’honneur aux New-Yorkais

Dimanche 27 octobre, le candidat républicain est entré en terrain hostile : New York, l’Etat promis aux démocrates (qui avaient voté à 75% contre Trump en 2020).

Et c’est devant une assemblée de 20 000 personnes que Donald Trump s’est exprimé lors d’un meeting spectaculaire, dernière ligne droite avant l’élection présidentielle. Tic Tac, Tic Tac… Le Madison Square Garden se transforme en une marée de casquettes rouges, marquées “Make America Great Again”. Et pour certains passants démocrates qui voient les fans de Trump remplir les trottoirs de la ville, cette représentation est un affront pleinement assumé. L’un d’eux, Peter, déclare : "Je suis en train de hurler des slogans anti-Trump idiots à ses supporteurs que je croise. C'est un escroc, un salaud… Avoir été président ne fait pas de vous une bonne personne".

De l’autre côté, Fred, dans un survêtement aux couleurs de son Républicain préféré, lance : "Il fait un doigt d’honneur aux libéraux de New York. Ils ont essayé de le mettre en prison. Ils inventent des affaires qu’ils n’avaient jamais inventées pour personne. Trump montre à quel point il est énormément soutenu. C'est trop gros pour qu’ils puissent truquer l’élection, comme en 2020."

Durant ce meeting, l’ex-président américain est revenu sur l’un de ses grands sujets de prédilection, l’immigration. Il a promis d’adopter des mesures plus sévères pour “expulser les criminels”. "Dès le premier jour, je lancerai le plus vaste programme de déportation de l'histoire américaine pour expulser les criminels", a-t-il affirmé.

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Comme chien et chat : quand Donald Trump se sert des animaux de compagnie contre Kamala Harris

Quand Donald Trump évoque les migrants “mangeurs de chats et de chiens” lors du débat, ou lorsque J.D. Vance fait référence aux “femmes à chats”, cela s'inscrit dans la tradition d’utiliser les animaux comme argument politique aux États-Unis.

Donald Trump, son colistier J.D. Vance et les républicains semblent vouloir donner un ton très "animalier" à cette campagne présidentielle. Durant le débat contre sa rivale démocrate Kamala Harris, mardi 10 septembre, le candidat républicain est revenu pendant plusieurs minutes sur les étranges allégations relayées par le camp pro-Trump de "chats et chiens" qui seraient mangés par des Haïtiens dans l’Ohio.

La tirade trumpienne a été considérée par bon nombre de commentateurs politiques comme l’un des passages les plus lunaires d’un débat pour beaucoup dominé par Kamala Harris. Cette théorie du complot, accusant des "migrants haïtiens" d’enlever et de manger des animaux de compagnie à Springfield dans l’Ohio a été invalidée depuis plusieurs jours par les chasseurs de "fake news", y compris par la rédaction des Observateurs de France 24. Il faut dire qu’avant Donald Trump, J.D. Vance et Ted Cruz avaient fait circuler ces thèses fantaisistes sur les réseaux sociaux

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« Criminels barbares », « assassins et terroristes » : Trump envenime ses diatribes antimigrants dans une campagne sous haute tension

Donald Trump a redoublé ses attaques contre les migrants vendredi, accusant sa rivale démocrate Kamala Harris de vouloir transformer les États-Unis en « camp de réfugiés »

« Des criminels barbares », « des assassins et terroristes » : Donald Trump a redoublé ses attaques contre les migrants vendredi, accusant sa rivale démocrate Kamala Harris de vouloir transformer les États-Unis en « camp de réfugiés », dans une campagne de plus en plus tendue pour la Maison Blanche.

« Les enfants américains sont à la merci de criminels barbares », a lancé le candidat républicain à la présidentielle américaine lors d’une conférence de presse depuis son complexe de golf, en banlieue de Los Angeles.

L’ancien président, qui a multiplié toute la semaine les diatribes, en partie mensongères, contre les migrants, a une nouvelle fois évoqué l’affirmation fallacieuse et raciste selon laquelle des migrants haïtiens voleraient des chiens et des chats pour les manger dans la ville de Springfield.

« Nous allons organiser des expulsions massives » dans cette petite ville de l’Ohio, a promis le milliardaire républicain, feignant d’ignorer que nombre de ces migrants ont un permis de séjour.

« Tiers-monde »
Durant sa conférence de presse, le candidat républicain a accusé, sans preuves, sa rivale à l’élection de novembre de faire rentrer « certains des pires assassins et terroristes » illégalement par avion. « Kamala va transformer l’Amérique en un camp de réfugiés du tiers-monde. C’est déjà un peu le cas », a-t-il martelé lors d’une allocution à nouveau très décousue.

Le candidat républicain a placé l’immigration, une préoccupation de premier rang des électeurs selon les sondages, au cœur de sa nouvelle candidature à la Maison Blanche. Tout comme il l’avait fait en 2016, en faisant campagne sur son projet de mur à la frontière avec le Mexique. Il promet en cas de victoire le 5 novembre de lutter contre l’immigration illégale à coups d’expulsions massives.

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L'élément moteur de Trump, c'est la haine.

florence_yvonne a écrit:

Qui ose poser des question à Trump ?

C'est quoi l'argumentation de Trump, l'insulte de ses opposant, l'amalgame des migrants avec des assassins, des mangeurs de chiens, la menace de sanctions envers toute personnes susceptibles de lancer des accusations graves contre lui et de le mettre en prison,  .

Qu'est-ce que tu en sais, qu'on ne lui pose pas de questions factuelles, à lui, qu'il n'y répond pas ?

Après, il ne sert pas à grand-chose de polémiquer puisque ni toi ni moi n'allons voter là-bas. On verra le résultat. Du scrutin, et la suite (je suis pessimiste avec les deux).

Je n'ai jamais entendu parler de cela et pourtant, je cherche, je fouille.

La polémique, c'est que le destin de l'Europe est dans les mains des Etats Unis.

La peur s'installe : "si Trump perd, on peut s'attendre au pire"

Un élu démocrate a déclaré qu'il était extrêmement préoccupé par la violence et qu'il avait engagé une demi-douzaine de policiers de l'État pour assurer la sécurité de sa soirée électorale.

Dans le pays la sécurité est renforcée, les forces de l'ordre fédérales et locales ont déjà les bâtiments officiels dans tout Washington D.C. à l'approche des élections.

La police du Capitole a réalisé un exercice d'évacuation des blessés qui a impliqué l'atterrissage de trois hélicoptères devant le Capitole.

Lors de discussions avec les journaistes du média Axios, plus d'une douzaine de démocrates de la Chambre des représentants ont exprimé leur crainte quant à l'éventualité de violences post-électorales.

La représentante démocrate Delia Ramirez a déclaré qu'elle craignait des violences quel que soit le résultat de la présidentielle :

"Si Trump gagne, lui et ses partisans violents seront enhardis. Et s'il perd, je crains qu'ils ne soient pires qu'il y a quatre ans."

Alors que la plupart des craintes des membres se concentraient sur le 6 janvier, certains ont également exprimé leur inquiétude quant aux jours qui suivront le 5 novembre.

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Présidentielle américaine : Kamala Harris accuse Donald Trump d’être « obsédé par la vengeance »

Avec derrière elle, les colonnes illuminées de la Maison Blanche se détachant dans la nuit, Kamala Harris a promis devant des milliers de personnes, 75 000 selon son équipe de campagne, d’écrire un « nouveau chapitre » tout s’attaquant, une nouvelle fois à son adversaire républicain, Donald Trump.

Dans ce lieu symbolique, là où le candidat républicain avait harangué ses partisans le 6 janvier 2021, avant qu’ils ne partent à l’assaut du Capitole pour tenter d’empêcher la certification de l’élection remportée par Joe Biden, la vice-présidente démocrate a dépeint l’ancien président républicain sous les traits les plus sombres : un homme « instable, obsédé par la vengeance, rongé par le ressentiment et en quête d’un pouvoir sans limites ».

Sur le fond, la rhétorique de Kamala Harris a voulu opposer sa vision apaisée et optimiste des États-Unis à la vision noire et déclinante du pays envahi par des migrants avancée par Donald Trump. Selon elle, la première puissance mondiale est « assez grande pour contenir tous nos rêves, assez forte pour résister aux fractures et aux divisions, assez intrépide pour imaginer un avenir plein de promesses ».

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Une casquette pro-Trump provoque une bagarre à l'embarquement d'un vol de British Airways

Une altercation qui se termine en expulsion. Deux femmes n'ont pas pu embarquer dans un vol de British Airways partant de Londres à destination d'Austin, aux États-Unis. En cause, une casquette.

Comme le relate The Guardian, l'incident s'est produit samedi alors que les deux passagères, âgées de 40 et 60 ans, se préparaient à embarquer sur ce vol.

Des témoins ont déclaré qu'une des deux femmes s'était offusquée de la casquette rouge "Maga" portée par le compagnon de voyage de l'autre passagère. Maga signifie "Make America Great Again", le célèbre slogan de la première campagne présidentielle de Donald Trump.

"Les tensions sont à leur comble"
Le ton monte très vite lorsque la passagère exige que cette casquette soit retirée. Des coups de poing auraient été échangés entre les deux femmes dans le terminal et l'altercation se serait ensuite poursuivie dans la cabine.

L'équipage a alors appelé la police qui a décidé d'expulser les deux femmes. Le vol BA191 qui devait quitter l'aéroport à 12h10 a finalement décollé à 14h11 sans les deux passagères à bord. Une enquête est en cours.

"Nous nous sommes excusés auprès de nos clients pour le retard et les avons fait partir le plus rapidement possible", a réagi British Airways.
"Avec l’élection présidentielle américaine si proche, les tensions sont à leur comble. L’équipage de la compagnie aérienne ne pouvait pas courir le risque d’une bagarre à grande échelle à 30.000 pieds", ajoute un porte-parole de l'aéroport.

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Trump va expulser 15 à 20 millions de personnes des États-Unis

Le camp républicain a fait d'une répression sévère de l'immigration clandestine aux États-Unis l'un des points clés de son programme.

Donald Trump s'est déjà lourdement attaqué à d'innombrables reprises à tous ceux qui ont immigré aux États-Unis au cours des dernières décennies. Il ne mentionne pas le fait que les États-Unis ont été fondés par des immigrants.

Il veut faire de l'Américain d'aujourd'hui ayant des racines étrangères un ennemi de l'État. C'est ce qui ressort des nombreuses déclarations racistes qu'il a faites ces derniers jours, semaines, mois et années.

Trump l'a répété à maintes reprises et dimanche soir à New York, il a également joué avec la foule déchaînée en faisant des déclarations percutantes. Il va lancer la plus grande déportation de l'histoire américaine. Il s'agira de 15 à 20 millions de personnes qui seront ensuite expulsées des États-Unis. Et il lancera ce processus dès le premier jour de sa présidence.

Une analyse réalisée par l'American Immigration Council, un groupe de défense à but non lucratif, montre que l'expulsion de toutes les personnes vivant illégalement aux États-Unis coûterait 315 milliards de dollars et prendrait au moins dix ans.

L'ex-président a également déclaré qu'il enverrait des "équipes d'élite" d'agents des forces de l'ordre fédérales pour "traquer, arrêter et expulser" tout membre d'un gang d'immigrés.

Ceux qui tenteraient de revenir aux États-Unis seraient passibles de dix ans de prison sans possibilité de libération conditionnelle, a-t-il déclaré, ajoutant que tout migrant qui tuerait un citoyen américain ou un agent des forces de l'ordre serait passible de la peine de mort.

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Présidentielle américaine : lors d'une interview, Donald Trump compare l'UE à une «mini Chine»

Alors que les sondages donnent toujours Kamala Harris et Donald Trump au coude-à-coude, l'élection de l'ancien président semble tout à fait possible. De quoi inquiéter les partenaires européens des États-Unis : Donald Trump ne cache pas son programme isolationniste et son antipathie envers l'Europe. Qu'il a qualifiée de "mini Chine".
Donald Trump compare l’Union Européenne à une "mini Chine" et aiguise ses arguments pour relancer la guerre commerciale avec l’Europe en cas de victoire à la présidentielle. Lors d’une interview à la radio, l'ancien président des États-Unis s’est épanché sur sa vision de l’UE. Il reproche aux Européens de ne pas jouer franc-jeu dans les rapports commerciaux ; ou plus précisément de ne pas acheter plus de produits américains.

Des déclarations tonitruantes

"Vous pensez que ce sont nos amis ? Ils ne prennent pas nos voitures, ils ne prennent pas nos produits agricoles, ils ne prennent rien. Vous savez, l’UE, c’est une mini Chine, pas si mini que ça", a-t-il reproché. Une déclaration qui pose bien les bases de la politique d’une deuxième administration Trump : pas de traitement de faveur pour l’Europe. Une ligne Amérique d’abord, que l’ancien président a toujours défendue. Y compris face à la France, comme il s’en est vanté lors d’un meeting, dans des termes plutôt musclés.

"J’ai empêché une guerre avec la France. Elle voulait nous taxer à 25%. Je dois protéger les entreprises américaines, qu’on les aime ou non", avait-il avancé. Des déclarations tonitruantes, qui inquiètent les 27. Même si, en y regardant de plus près, l’administration Biden, aussi polie soit-elle, a déjà bien écorné les relations commerciales entre l’UE et les États-Unis.

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USA de biutiful - Têtes à claques

VIDÉO. Présidentielle américaine : pourquoi le candidat républicain Donald Trump était à bord d'un camion poubelle ?

Donald Trump a tenté d'exploiter mercredi une gaffe de Joe Biden sur ses électeurs en se mettant en scène dans un camion-poubelle, dans la dernière ligne droite de sa course pour la Maison Blanche face à Kamala Harris.

A moins d'une semaine du scrutin du 5 novembre, à l'issue toujours aussi incertaine, le président démocrate a compliqué la tâche de sa vice-présidente en qualifiant les partisans de son prédécesseur républicain d'"ordures", avant de se reprendre.

Mais le mal était fait, dans une campagne acerbe où chaque camp tente d'exploiter les faux pas de l'autre, et où les deux candidats se disputent chaque voix ou presque dans les "swing states", ces sept Etats décisifs pour la victoire.

Donald Trump a dénoncé les propos du président, estimant que le démocrate "disait enfin" ce qu'il "pensait" des trumpistes. Avant de s'installer mercredi, un chasuble orange fluo sur le dos, à bord d'un camion-poubelle.

"Qu'est-ce que vous pensez de mon camion-poubelle ?", a-t-il lancé à la presse depuis le Wisconsin. "Ce camion est en l'honneur de Kamala et Joe Biden."

"L'âme de l'Amérique"
Toujours vêtu de ce gilet à bandes réfléchissantes, il a déclaré à ses partisans, lors d'un meeting : "Kamala et Joe vous traitent d'ordures, moi je vous vois comme l'âme de l'Amérique".

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Ce n'est pas Cama Harris qui à dit que Porto Rico était "une île flottante d’ordures au milieu de l’océan".

Attention, la Chine s’en prend désormais à Trump et son bras droit

Selon les autorités américaines, des cybercriminels en lien avec la Chine pourraient avoir tenté de s'introduire dans les téléphones ou les réseaux utilisés par l'ancien président Donald Trump et son colistier, le sénateur JD Vance.

Des informations confirmées par un certain nombre de sources proches du dossier sur la chaîne CBS News. La BBC britannique rend également compte de l’affaire.

D'après certaines sources, le camp républicain vient de recevoir un avertissement. Il se pourrait que les téléphones utilisés par Trump et Vance aient été la cible d'une cyberattaque. En outre, des personnes associées à la campagne Harris-Walz ont également été ciblées, souligne BBC News. On ne sait toujours pas quelle quantité d’informations et quels messages ont été compromis.

Une déclaration conjointe du FBI et de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) indique que le gouvernement américain enquête actuellement sur « l’accès non autorisé aux infrastructures de télécommunications commerciales par des acteurs affiliés à la République populaire de Chine ».

Le FBI et la CISA déclarent qu'après l'identification de « l'activité malveillante », les agences « ont immédiatement informé les entreprises concernées, fourni une assistance technique et partagé rapidement des informations pour aider d'autres victimes potentielles », ajoutant que l'enquête était en cours.

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Pourquoi Hollywood se met à boycotter Tesla (et Elon Musk)

Drama - Le milliardaire derrière X, Tesla et SpaceX n’a plus la cote auprès du cinéma américain

Le courant ne passe plus entre le boss de Tesla et Hollywood. D’après The Hollywood Reporter, le milieu du cinéma se serait mis à boycotter les véhicules de la marque tout-électrique, dont Musk est le dirigeant. En Californie, on parle d’une baisse de 25 % des ventes. La faute à un virage à-droite-toute, mais cette fois de la part du multimilliardaire.

La course effrénée aux présidentielles américaines se joue à tous les niveaux. Elon Musk a choisi son camp en faisant campagne pour Donald Trump. L'entrepreneur a même donné de sa personne en donnant un discours de soutien lors du meeting du Madison Square Garden le 27 octobre. Un soutien qui passe mal dans le milieu du 7eme art, qui avait pourtant embrassé la Teslamania à bras-le-corps : « Hollywood est majoritairement démocrate », explique l’historien du cinéma David Da Silva, auteur de la série Trump et Hollywood.

Mais au-delà de la casquette Maga (« Make America great again »), ce sont ses déclarations teintées d’éléments de langages de l’aile droite américaine qui lui valent l’indignation de la cité des anges. « C’est un milieu très sensible à la question des minorités. Elon Musk a récemment eu des mots très durs envers son enfant transgenre. » Pour rappel, en interview le 22 juillet dernier, le milliardaire a attaqué la transition de genre de sa fille Vivian, en persistant à utiliser son « deadname » et parler d’elle comme de « son fils Xavier ».

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Donald Trump suggère de pointer une arme sur Liz Cheney, la républicaine pro-Harris lui répond

ÉTATS-UNIS - Les mots n’en finissent plus de se durcir à l’approche de l’élection. Alors que les Américains éliront leur prochain président ce mardi 5 novembre, la violence s’intensifie encore d’un cran dans la campagne. Dans la soirée de ce jeudi 31 octobre, Donald Trump a ainsi multiplié les insultes et les menaces envers Liz Cheney, ancienne cadre du parti républicain à la Chambre des représentants, qui a apporté son soutien à Kamala Harris.

Harris ou Trump ? Ces démocrates californiens sont « prêts pour la victoire » - REPORTAGE
« Elle est un faucon de guerre radical. Mettons-la devant un fusil avec neuf canons qui lui tirent dessus, d’accord ?  », a déclaré l’ancien président lors d’un événement de campagne. « Voyons ce qu’elle en pense, vous savez, quand les fusils sont braqués sur son visage », a-t-il ajouté pendant cet échange avec l’ancien animateur de Fox News, Tucker Carlson.

Le candidat républicain a également proféré de nombreuses insultes à l’encontre de Liz Cheney, la qualifiant de « très bête », de « personne stupide » et de « crétine ». Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’il insulte l’une de ses principales opposantes au sein du parti : début octobre, il avait écrit sur son réseau social que Liz Cheney est « con comme un balai ».

Une mise en garde contre « un homme cruel »
Donald Trump est en effet particulièrement agacé par l’ancienne parlementaire républicaine, qui a rejoint la campagne démocrate et espère la victoire de l’actuelle vice-présidente. Non seulement Liz Cheney soutient Kamala Harris, mais elle s’est même déplacée en personne pour se tenir à ses côtés lors d’une tournée de meetings dans trois swing states : la Pennsylvanie, le Michigan et le Wisconsin. Cerise sur gâteau : son père, Dick Cheney, ancien vice-président de George W. Bush, a fait de même.

Face aux attaques de Donald Trump, Liz Cheney n’a pas mâché ses mots et répondu ce vendredi 1er novembre sur X : « C’est ainsi que les dictateurs détruisent les nations libres. Ils menacent de mort ceux qui s’élèvent contre eux ». Elle conclut : « Nous ne pouvons pas confier notre pays et notre liberté à un homme mesquin, vindicatif, cruel et instable qui veut devenir un tyran ». Une rhétorique développée depuis plusieurs semaines par la campagne démocrate, qui compte l’anti-trumpisme parmi ses arguments les plus convaincants.

Une mise en garde contre « un homme cruel »
Donald Trump est en effet particulièrement agacé par l’ancienne parlementaire républicaine, qui a rejoint la campagne démocrate et espère la victoire de l’actuelle vice-présidente. Non seulement Liz Cheney soutient Kamala Harris, mais elle s’est même déplacée en personne pour se tenir à ses côtés lors d’une tournée de meetings dans trois swing states : la Pennsylvanie, le Michigan et le Wisconsin. Cerise sur gâteau : son père, Dick Cheney, ancien vice-président de George W. Bush, a fait de même.

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Insultes et vulgarité de Donald Trump : une "politique du doigt d’honneur" risquée

Les vulgarités de Trump, stratégie ou divagations?


Est-ce une stratégie électorale mûrement pensée ou bien des mots lâchés au fil de divagations hors prompteur ? Donald Trump accumule ces derniers jours des grossièretés dites publiquement impensables pour des millions d’Américains.

Le milliardaire populiste n’a jamais fait dans la dentelle, notamment en privé, mais cette succession de vulgarités dites en public, en pleine campagne pour la Maison-Blanche, surprend ou consterne.

Samedi soir, il était en réunion à Latrobe, en Pennsylvanie. Son avion affichant « TRUMP » en lettres dorées géantes est venu se garer sur le tarmac de l’aéroport régional où étaient rassemblés des milliers de ses partisans.


Le républicain de 78 ans a ouvert son discours par une digression surprenante sur la star locale Arnold Palmer (1929-2016), légende américaine du golf, en expliquant combien les autres golfeurs professionnels étaient impressionnés par l’appareil génital du champion.

« Quand il prenait une douche avec les autres pros, ceux-ci s’exclamaient : “Oh mon Dieu, c’est incroyable” », a déclaré M. Trump.

« Fallait que je le mentionne », a ajouté le candidat, qui s’exprimait face à un public largement composé de membres de la classe populaire blanche, qui forment son socle électoral.

Durant ce même événement, le républicain a adressé une bordée d’injures à sa rivale démocrate, Kamala Harris.

« Tu es une vice-présidente de merde, la pire, tu es virée, dégage d’ici », a-t-il lancé.

Sous la ceinture

Dans un balado diffusé la veille, Donald Trump avait confié son étonnement que l’ancien magnat d’Hollywood Harvey Weinstein, condamné et incarcéré pour viol et agressions sexuelles, ait été « niqué ».

Il a utilisé le mot « schlonged », un terme obscène faisant référence au pénis, qui a sidéré les observateurs.

Kamala Harris est une « ratée qui a moins d’énergie qu’un lapin », a-t-il aussi asséné la semaine dernière.

Et, encore auparavant, il a qualifié la vice-présidente des États-Unis de « tarée » (« crazy »), « glandeuse » ou encore de « véritable pourriture ».

Pour exploiter le filon des bassesses, l’ancien magnat des affaires utilise plusieurs tactiques : parfois, il republie sur son réseau social des messages choquants ou racistes.

Voici la demande qu’il a faite vendredi à des militantes venues l’écouter à Detroit : « Dites à votre gros porc de mari de se bouger du canapé et d’aller voter Trump. »

Liz Cheney est « conne comme un balai », a répliqué lundi sur son réseau social l’ancien président.

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