Présidentielle américaine

Rappel du premier message :

Présidentielle américaine : "Yes she can !", Kamala Harris entre officiellement dans la course à la Maison Blanche

"Yes, she can !" (Oui, elle peut !) : Michelle et Barack Obama ont fait chavirer la convention démocrate ce mardi 20 août en saluant "l’espoir" retrouvé avec Kamala Harris. "L’espoir est de retour" a lancé l’ancienne First Lady, toujours immensément populaire, comme son mari, dans le parti.

"Ma Kamala Harris est plus que prête pour ce moment", a lancé Michelle Obama, dont l’éloquence et la sereine autorité ont plusieurs fois suscité de véritables rugissements dans la salle survoltée. "Nous sommes prêts pour la présidente Kamala Harris", a assuré après elle le premier président noir des Etats-Unis, en étrillant Donald Trump, ce "milliardaire de 78 ans qui n’arrête pas de pleurnicher" et qui "a peur de perdre".

"Oui, elle peut !", a dit Barack Obama, faisant bien sûr écho à son ancien slogan. La salle s’est alors mise à scander la phrase.

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Insultes et vulgarité de Donald Trump : une "politique du doigt d’honneur" risquée

Les vulgarités de Trump, stratégie ou divagations?


Est-ce une stratégie électorale mûrement pensée ou bien des mots lâchés au fil de divagations hors prompteur ? Donald Trump accumule ces derniers jours des grossièretés dites publiquement impensables pour des millions d’Américains.

Le milliardaire populiste n’a jamais fait dans la dentelle, notamment en privé, mais cette succession de vulgarités dites en public, en pleine campagne pour la Maison-Blanche, surprend ou consterne.

Samedi soir, il était en réunion à Latrobe, en Pennsylvanie. Son avion affichant « TRUMP » en lettres dorées géantes est venu se garer sur le tarmac de l’aéroport régional où étaient rassemblés des milliers de ses partisans.


Le républicain de 78 ans a ouvert son discours par une digression surprenante sur la star locale Arnold Palmer (1929-2016), légende américaine du golf, en expliquant combien les autres golfeurs professionnels étaient impressionnés par l’appareil génital du champion.

« Quand il prenait une douche avec les autres pros, ceux-ci s’exclamaient : “Oh mon Dieu, c’est incroyable” », a déclaré M. Trump.

« Fallait que je le mentionne », a ajouté le candidat, qui s’exprimait face à un public largement composé de membres de la classe populaire blanche, qui forment son socle électoral.

Durant ce même événement, le républicain a adressé une bordée d’injures à sa rivale démocrate, Kamala Harris.

« Tu es une vice-présidente de merde, la pire, tu es virée, dégage d’ici », a-t-il lancé.

Sous la ceinture

Dans un balado diffusé la veille, Donald Trump avait confié son étonnement que l’ancien magnat d’Hollywood Harvey Weinstein, condamné et incarcéré pour viol et agressions sexuelles, ait été « niqué ».

Il a utilisé le mot « schlonged », un terme obscène faisant référence au pénis, qui a sidéré les observateurs.

Kamala Harris est une « ratée qui a moins d’énergie qu’un lapin », a-t-il aussi asséné la semaine dernière.

Et, encore auparavant, il a qualifié la vice-présidente des États-Unis de « tarée » (« crazy »), « glandeuse » ou encore de « véritable pourriture ».

Pour exploiter le filon des bassesses, l’ancien magnat des affaires utilise plusieurs tactiques : parfois, il republie sur son réseau social des messages choquants ou racistes.

Voici la demande qu’il a faite vendredi à des militantes venues l’écouter à Detroit : « Dites à votre gros porc de mari de se bouger du canapé et d’aller voter Trump. »

Liz Cheney est « conne comme un balai », a répliqué lundi sur son réseau social l’ancien président.

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Bof, les coups bas, c'est des deux côtés.

Rien ni personne ne peut égaler Trump dans la vulgarité.

Pour Harris, c'est juste la réponse du berger à la bergère

Histoire d'avoir tous les sons de cloche, voici une liste de suspicions de fraude électorale, le plus souvent (mais pas toujours) en faveur de Harris. Il peut s'agir dans certains cas de dysfonctionnements non intentionnels. En tout cas, ça montre qu'il y a quelque chose de pourri dans cette supposée démocratie.

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Quelques exemples :

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La nuit dernière, une boîte contenant des bulletins de vote remplis a été trouvée sur une autoroute de Miami.

Un email envoyé aux étudiants de @UNCG indique qu’ils peuvent utiliser leur carte d’étudiant (alias Spartan Card) comme carte d’électeur pour les prochaines élections. L’université a confirmé que les étudiants internationaux, qui ne sont pas citoyens américains, reçoivent également des cartes d’étudiant.

Les bulletins de vote trouvés dans un collecteur d’eaux pluviales en Floride ont été volés dans des boîtes aux lettres à l’aide d’un passe-partout d’USPS (la poste US).

Une erreur d’impression des bulletins de vote dans le comté de Nevada, en Californie, a entraîné des problèmes de numérisation de 77 000 bulletins, empêchant les machines de dépouillement de les lire correctement.

Le Texas poursuit l’administration Biden pour ne pas avoir vérifié la citoyenneté de 450 000 électeurs « potentiellement inéligibles ».

Comment peut-on contester a validité d'une élection qui n'a pas encore eu lieu.

Si fraude il y aura, elle cela concernera autant Trump que Harris

Donald Trump inculpé en Géorgie pour tentative de manipulation du résultat de la présidentielle de 2020
Il s’agit de la quatrième inculpation pénale en moins de six mois pour l’ancien président américain, qui brigue à nouveau la Maison Blanche en 2024. La procureure a affirmé vouloir un procès dans cette affaire « dans les six mois ».

L’ancien président américain Donald Trump a été inculpé, lundi 14 août, à Atlanta (Géorgie) par un grand jury pour avoir tenté d’inverser le résultat de l’élection présidentielle de 2020, en faisant notamment pression sur des responsables du scrutin. Le milliardaire républicain fait face à treize chefs d’accusation pour des tentatives de fraude électorale dans cet Etat remporté d’une courte tête par Joe Biden.

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Donald Trump assure qu'il ne "changera pas d'avis" sur ses accusations de fraude électorale

Donald Trump a réitéré, dimanche, ses accusations sans preuve de fraude électorale, lors de sa première interview télévisée depuis le scrutin présidentiel remporté par Joe Biden. Malgré les accusations répétées du milliardaire américain, ses avocats ont subi une vingtaine de défaites judiciaires dans tout le pays.

"Cette élection était truquée". Donald Trump a affirmé, dimanche 29 novembre, qu'il ne "changera pas d'avis" sur ses accusations sans preuve de fraude électorale, lors de sa première interview télévisée depuis le scrutin présidentiel remporté par Joe Biden.

"Ce n'est pas comme si quelqu'un pouvait me faire changer d'avis. Je n'aurai pas changé d'avis dans six mois", a déclaré le président américain sortant sur Fox News. "Cette élection était truquée", a-t-il encore martelé, sans apporter de preuve. "Nous avons largement gagné".

Pour sa première intervention à la télévision depuis le scrutin du 3 novembre, le chef d'État sortant a répété pendant 45 minutes ses accusations de fraudes électorales massives qui lui auraient coûté sa réélection.

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Présidentielle américaine : comment fonctionne le collège des grands électeurs ?

Le président des Etats-Unis n'est pas élu par une majorité au niveau national au suffrage universel direct mais par un collège électoral formé de grands électeurs choisis dans chaque Etat, et dans le district de Columbia, en proportion de leur population.

Voici quelques éléments sur ce système électoral avant l'élection présidentielle du 5 novembre qui opposera l'ancien président républicain Donald Trump et l'actuelle vice-présidente démocrate Kamala Harris.

Qu'est ce que le collège électoral ?
Lorsque les électeurs américains se rendent aux urnes pour l'élection présidentielle, ils ne voient généralement que les noms des candidats à la présidence et à la vice-présidence. Ils votent pourtant pour une liste de grands électeurs, qui éliront ensuite à leur tour le ou la président(e).

Il y a 538 grands électeurs au niveau national, ce qui signifie qu'un candidat doit obtenir 270 voix de ce collège pour l'emporter. Ces grands électeurs sont généralement des cadres locaux des partis politiques qui s'engagent à respecter le choix exprimé par la population de leur Etat. En 2020, Joe Biden a été élu avec 306 voix du collège contre 232 pour Donald Trump. Ce système prévu par la Constitution est le fruit d'un compromis entre les "pères fondateurs" des Etats-Unis, entre partisans d'une élection du président par le Congrès et ceux privilégiant un vote populaire.

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Élection américaine: Harris estime que la violence verbale de Trump le "disqualifie" pour la Maison Blanche

À quelques jours de l'élection présidentielle, le 5 novembre, et alors que les sondages sont très serrés, Kamala Harris et Donald Trump continuent de mener leur duel à distance pour l'emporter.

La candidate démocrate Kamala Harris estime que la violence verbale de Donald Trump le "disqualifie" pour la Maison Blanche, en réaction aux propos de son rival républicain visant l'ex-parlementaire Liz Cheney.

L'ancien président "a accru sa violence verbale contre ses opposants politiques et, avec beaucoup de détails, suggéré de pointer des fusils contre l'ancienne élue Liz Cheney. Cela doit le disqualifier", a clamé Kamala Harris.

"Quelqu'un qui veut être président des États-Unis et qui utilise ce genre de violence verbale est clairement disqualifié pour être président", a dit la vice-présidente et candidate démocrate à son arrivée à Madison, dans le Wisconsin, État clé de la présidentielle.

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Trump tente un coup de pub avec un camion à ordures et ça se retourne contre lui

Donald Trump s'est attiré les moqueries pour plusieurs raisons alors qu'il tentait de remettre au nez les propos de Joe Biden qualifiant les partisans de Trump qui insultaient les Portoricains de «vidanges».

Donald Trump, au maquillage plus orange que jamais, a enfilé une veste (orange) de travailleur pour grimper à bord d'un camion de vidange arborant le logo «Trump 2024»

Cependant, il a éprouvé des difficultés pour entrer, manquant la poignée lors de sa première tentative d'ouvrir la porte et faillant perdre l'équilibre.

Trump a peut-être voulu célébrer Halloween à sa façon en se présentant sur le tarmac de l'aéroport international Green Bay Austin Straubel vêtu d'une veste orange pour jouer au vidangeur pendant quelques heure

C'était une nouvelle tentative de stunt à la «McDonald's», en réponse cette fois aux propos de Joe Biden, qui avaient été émis quelques jours auparavant en réaction aux commentaires sur Porto Rico entendus lors du rallye de Trump au Madison Square Garden.

Donald Trump s'est attiré les moqueries pour plusieurs raisons. L'ancien président est apparu à la sortie de son avion privé, vêtu d'une veste orange et avec un maquillage qui lui donnait un teint encore plus orange que d'habitude.

Le président a déclaré que la diabolisation des Latinos par Trump «est inacceptable et contraire aux valeurs américaines». Biden a ajouté que les Portoricains qu'il connaissait étaient de «bonnes, honnêtes et respectables personnes».

Un porte-parole de la Maison-Blanche a ensuite tenté d'expliquer les propos du président en réponse aux critiques alors que de son côté, Kamala Harris a affirmé qu'elle respectait tous les Américains, y compris ceux qui ne votaient pas pour elle.

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Ce n'est pas un futur président, c'est un clown grotesque qui ne fait rire que lui. (et ceux qui ne veulent pas se le mettre à dos)
Source moi.

Quand un citoyen américain qui veut faire élire Calama Harris vote pour un grand électeur, qu'est ce qui lui garantit que cette personne ne choisi de voter pas pour Trump ?

florence_yvonne a écrit:

Quand un citoyen américain qui veut faire élire Calama Harris vote pour un grand électeur, qu'est ce qui lui garantit que cette personne ne choisi de voter pas pour Trump ?

Je n'ai pas entendu parler de forme de tricherie à ce niveau. Pourtant qu'est-ce qu'il y en a par ailleurs, des présomptions de tricherie ! Il est vrai que les républicains sont plus sur leurs gardes qu'il y a quatre ans.

Si cela se révélait exact, ce ne serait pas à la Une des journaux.

florence_yvonne a écrit:

Si cela se révélait exact, ce ne serait pas à la Une des journaux.

Tu parles de quoi précisément ? J'ai évoqué plusieurs choses.

Qui fréquente ce forum ?

En fait, il est difficile d'anticiper les conséquence de l'élection du futur président américain sur l'économie de l'Europe.

Si c'est Trump qui est élu, ça va faite mal

La présidence de Trump : quelles conséquences pour l'Europe ?

I. Le commerce

Trump s'est montré constant dans sa critique du libre-échange, qu'il accuse d'avoir porté préjudice aux ouvriers américains[4]. Il a insisté pendant sa campagne sur le fait que son objectif de placer "l'Amérique d'abord" impliquerait la renégociation des accords avec les partenaires commerciaux des États-Unis afin d'obtenir des termes plus favorables aux intérêts économiques américains. Trump a affirmé que "l'américanisme, et non le mondialisme, sera notre credo", exprimant ainsi qu'il était favorable à une certaine forme de protectionnisme[5]. Il est intéressant de noter que la campagne de Trump a même réussi à changer l'opinion des électeurs républicains au sujet du libre-échange : 61% d'entre eux pensent que le libre échange est une "mauvaise chose" en 2016, contre seulement 36% en 2014[6]. Durant sa campagne, Trump s'est engagé à remettre en cause les fondements mêmes de la politique commerciale des États-Unis en renégociant ou, au besoin, en se retirant d'une large série d'accords, comme l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), le Partenariat transpacifique (TPP en anglais), et même de l'Organisation mondiale du commerce[7].

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Alors, oui les élections américaines nous concernent directement.

Élection américaine 2024: Sur quelle chaine et à quelle heure suivre les résultats en direct ?

POLITIQUE•Dans la nuit du 5 au 6 novembre, TF1, France Télévisions, LCI et BFM TV se mobilisent pour relayer en direct les résultats de la présidentielle aux Etats-Unis opposant Donald trump à Kamala Harris. Une grande nuit américaine en perspective

L'essentiel

Les résultats de la présidentielle américaine seront connus au fil de la nuit du 5 au 6 novembre

L’élection opposant Donald Trump et Kamala Harris s’annonce très serrée

Toute la nuit, plusieurs chaînes de télévision suivront l’événement en direct

Éditions spéciales, interviews et duplex se succéderont à partir de 18h sur LCI, TF1, France 2 et BFM TV

Les résultats définitifs pourraient se faire attendre plusieurs jours

Si de nombreux Américains ont déjà voté par correspondance ou par anticipation, la plus grande partie des électeurs se rendra aux urnes demain pour élire leur 47e président. Qui de Kamala Harris ou de Donald Trump entrera à la Maison blanche le 20 janvier prochain ? C’est toute la question qui agitera les rédactions de plusieurs télévisions françaises durant toute la nuit.

L’Amérique a rendez-vous avec son Histoire

Le futur de l’Amérique intéresse (et inquiète) le monde entier depuis plusieurs mois déjà et l’issue s’approche à grands pas. Qui succédera à Joe Biden ? La première puissance mondiale verra-t-elle Donald Trump reprendre les rênes du pays ou entrera-t-elle dans l’histoire en élisant sa première présidente noire ? Débats, portraits des candidats républicains et démocrates et de leurs colistiers, ainsi que des émissions spéciales ont déjà été diffusées ces dernières semaines un peu partout et nul ne sait encore qui va l’emporter lors de cette élection, une des plus indécises de ces 50 dernières années.

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Tout le monde sait que s'il n'est pas élu, Trump comte faire des pieds et des mains pour faire invalider le résultat des élection.

Trump est un mauvais perdant qui est incapable d'admettre sa défaite.

florence_yvonne a écrit:

Les résultats de la présidentielle américaine seront connus au fil de la nuit du 5 au 6 novembre

En théorie, oui. En pratique, et sans même prendre parti, on risque fort d'avoir le même scénario que lors de l'élection de Bush face à Gore en 2000, et dans plus d'un état cette fois (à l'époque, c'était seulement en Floride). Faut-il s'en souvenir.

Présidentielle américaine : pourquoi une victoire de Trump serait une mauvaise nouvelle pour l’économie française

Comme lors de son premier mandat entre 2017 et 2021, Donald Trump envisage de taxer de nombreux produits étrangers via les droits de douane. Et les entreprises françaises pourraient figurer parmi les premières à en pâtir.
Le monde entier a les yeux rivés sur le scrutin présidentiel américain. Dans la nuit de mardi 5 à mercredi 6 novembre, le nom du 47e président des États-Unis sera connu. Kamala Harris ou Donald Trump ? Les instituts de sondage sont toujours aussi indécis, et si l’issue du scrutin va bien évidemment changer la vie des Américains, elle pourrait également avoir une grande influence sur l’économie française, souligne Le Parisien. Car si Donald Trump est élu, il a d’ores et déjà annoncé qu’il mènerait une politique protectionniste comme il l’avait fait lors de son premier mandat entre 2017 et 2021.

Concrètement, cela veut dire davantage de taxes sur les produits importés et l’instauration de nouveaux droits de douane. Déjà en 2019, La revue du vin de France chiffrait le préjudice engendré par la taxe de 25%, instaurée par les États-Unis, à 500 millions d’euros pour le secteur viticole. Les producteurs connaissaient également une chute de 40% des exportations de vin outre-Atlantique. Donald Trump, qui avait aussi décidé de cette mesure sur de nombreux produits chinois, envisage d’ores et déjà une surtaxe de 10% sur tous les produits importés.

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Présidentielle américaine : intox, perturbations, contestations, ce qui pourrait survenir si Donald Trump rejetait les résultats

Intox dans la dernière ligne droite, perturbations redoutées le jour du vote, procédures judiciaires multiples rapidement déclenchées: doutes et craintes pour une élection sans équivalent.

Si le jour J de l’élection présidentielle américaine est bien fixé à ce 5 novembre, il est probable qu’il faille patienter pour connaître l’identité du vainqueur, entre la vice-présidente démocrate Kamala Harris et l’ancien Président républicain Donald Trump. Notamment du fait des délais de traitement des votes par correspondance.

En 2020, lors du précédent scrutin, certains États avaient connu un "mirage rouge", Donald Trump ayant été donné en tête le soir de l’élection, avant un "virage bleu", quand son rival démocrate Joe Biden l’avait dépassé. Le républicain s’est servi de ce phénomène pour amplifier ses accusations sans fondement selon lesquelles le scrutin lui a été volé.

Les premières indications pourraient ainsi s’avérer en trompe-l’œil : l’un des candidats pourrait disposer d’une nette avance avec le dépouillement des premiers bulletins, avant que son rival ne rattrape son retard au fil des heures, voire des jours.

S'il est battu, Trump criera à la fraude

Or l’ancien Président Donald Trump, candidat républicain à un deuxième mandat, a d’abord suggéré, puis assumé de plus en plus clairement au fil de la campagne, qu’il crierait à nouveau à la fraude s’il venait à perdre le scrutin et qu’il en rejetterait encore les résultats (*).

Une fois sa défaite électorale actée en novembre 2020, Donald Trump, alors au pouvoir, et ses alliés avaient tenté de faire inverser les résultats, déposant des dizaines de plaintes à travers le pays. En vain.

L’ancien magnat de l’immobilier avait aussi exercé des pressions sur des responsables dans l’État de Géorgie, où Joe Biden l’avait devancé de peu, pour que ceux-ci modifient le décompte des bulletins.

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florence_yvonne a écrit:

L’ancien magnat de l’immobilier avait aussi exercé des pressions sur des responsables dans l’État de Géorgie, où Joe Biden l’avait devancé de peu, pour que ceux-ci modifient le décompte des bulletins.

En l'occurrence on n'avait autorisé qu'un nouveau comptage, alors que la contestation portait, témoignages multiples à l'appui, sur la validité d'un nombre conséquent de bulletins.

Etc. Le dossier des fraudes de 2020 n'est pas si mince que ça.

alex_x a écrit:

La population en a marre du wokisme et des dérives idéologiques de la gauche identitaire. Sur mes réseaux, je vois beaucoup de LGB américains supporter Trump parce qu’ils ne se reconnaissent pas dans les démocrates. La victoire de Trump est également une victoire par dépit. Ils n’ont pas voter pour lui mais contre Harris et ce qu’elle représente. Le fait qu’elle soit noire ou une femme n’était pas un enjeux.

Blessed be the fruit ! May the Lord open ! Under his eye !

Une femme dont le foetus n'est pas viable et dont la santé ou la vie est en danger ne peut pas avorter, dans certains états qui votent Trump, parce que l'IMG est inconnue aux USA.
Certaines en sont mortes
Mais la populace en a marre du wokisme, n'est-ce pas.


Dans quatre états des USA, il n'y a pas d'âge minimum de mariage. Des mineurs à peine sortis de l'enfance sont mariés avec des majeurs avec l'accord des parents et d'un juge/
Mais la populace en a marre du wokisme, n'est-ce pas.

En Floride, il est interdit d'évoquer l'homosexualité dans les écoles.
Mais la populace en a marre du wokisme, n'est-ce pas.

Trump est élu, on est mal les enfants, on est mal.

La victoire de Donald Trump dans la course à la Maison Blanche désormais acquise, cette élection aura en effet de lourdes conséquences pour les Européens.

Depuis des années, même lorsqu'il était président, le candidat républicain mettait la pression sur les pays européens membre de l'Otan. Il les accusait de ne pas assez investir dans la défense.

"Non, je ne vous protégerais pas"
Trump a même fait de l'Otan un argument de campagne. Début 2024, lors d'un meeting, il rapportait une conversation avec le dirigeant d’un pays membre de l’Alliance.

"Si on ne paie pas et qu’on est attaqués par la Russie, est-ce que vous nous protégerez?", lui aurait-il demandé. La réponse de Donald Trump a été violente.

"Non, je ne vous protégerais pas. En fait, je les encouragerais à vous faire ce qu’ils veulent. Vous devez payer vos dettes", aurait-il lancé avant de préciser qu'il s'agissait d'une "manière de négocier".
Une allusion claire à la contribution des États-Unis au budget de l'Otan. C'est la plus haute des 32 pays avec une part de 16,34% en 2024 devant l'Allemagne (15,8%), le Royaume-Uni (10,96%)) ou la France (10,19%). Sans cette participation, la défense de l'Europe serait à redéfinir en profondeur.

Si les États-Unis quittait l'Otan, un effet domino se produirait sans que personne ne sache pour l'instant estimer les conséquences à court, moyen ou long terme.

Le reste de l'article ici

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lhirondelle a écrit:

Une femme dont le foetus n'est pas viable et dont la santé ou la vie est en danger ne peut pas avorter, dans certains états qui votent Trump, parce que l'IMG est inconnue aux USA.
Certaines en sont mortes
Mais la populace en a marre du wokisme, n'est-ce pas.

L'avortement n'était pas un enjeu de l'élection fédérale. Par contre, tu devrais te réjouir puisque la journée d'hier marque un avancement sur la question de l'avortement dans sept états américains.

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Les sept états sont : Arizona, Colorado, Maryland, Missouri, Montana, Nevada, New York.

À noter que 4 de ces états ont voté pour Trump. Cela montre que ce n'était pas un enjeu hier.

L'interdiction de l'avortement aura pour conséquence le retour des "faiseuses d'ange", un retour de 60 en arrière.

Quand les aiguilles à tricoter étaient détournées de leur usage habituel.

Quand les femmes mouraient ou au mieux devenaient stérile.

Peut-être qu'on a échappé à une troisième guerre mondiale et à la fin de notre civilisation...

Ne crois pas cela,

La première guerre mondiale a été déclenchée par l'l'assassinat perpétré le dimanche 28 juin 1914 , de l'archiduc François-Ferdinand, héritier de l'Empire austro-hongrois, et de son épouse, Sophie Chotek, duchesse de Hohenberg, par le nationaliste serbe Gavrilo Princip,

La seconde guerre mondiale à été déclenchée a cause de la frustration du jeune Hitler à réussir le concours d'entrée au beaux-arts
En 1908, le jeune Adolf rejoint Vienne et tente, sans succès, le concours d'entrée aux Beaux Arts. Sans le sou, il vit de son art en peignant des tableaux. C'est ici que se forge son antisémitisme par ses lectures et fréquentations .

Vous ne pensez pas que le génocide des peuples palestiniens, libanais et iraniens ne sera pas suffisant pour déclencher une troisième guerre mondiale ?

Il y a un moment où il faut cesser d'être naïf.

La guerre est à nos portes.

Élection de Donald Trump : des eurodéputés d’extrême droite célèbrent la victoire du magnat républicain

Musique et casquettes « Make America Great Again » : plusieurs eurodéputés d’extrême droite ont célébré la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine, mercredi 6 novembre au Parlement européen à Bruxelles

Dans une vidéo sur l’air de YMCA, des députés du groupe des Patriotes pour l’Europe se sont mis en scène dans les couloirs du Parlement, saluant un moment « historique » qui montre « la force d’un mouvement patriote ». « Maintenant, il est temps pour nous en Europe d’emboîter le pas » aux États-Unis, ajoutent ces parlementaires du parti Vox en Espagne, de Fidesz en Hongrie ou du FPÖ autrichien, dont plusieurs arborent des casquettes trumpistes Make America Great Again.

« Maintenant, il est temps pour nous en Europe d’emboîter le pas » aux États-Unis
Côté français, aucun élu du Rassemblement national, membre des Patriotes, ne figure sur cette vidéo. Une source interne évoque un manque de disponibilité pendant ce « montage de dernière minute », alors que se tiennent les auditions des nouveaux commissaires européens en quête d’une confirmation à leurs postes.

Durant l’une de ces auditions, l’eurodéputé allemand Siegbert Frank Droese, membre de l’AFD, a profité d’une prise de parole pour souhaiter « le meilleur » à Donald Trump en ce jour « heureux ». C’est « formidable » qu’il soit élu, un « bel exemple pour nos nations », a-t-il estimé, avec une casquette trumpiste rouge posée sur son pupitre.

Ne rien céder « face au trumpisme »
La tonalité était bien différente au centre et à gauche. Après cette élection, « nous devons plus que jamais affirmer l’Europe (comme) puissance », a lancé le centriste français Pascal Canfin (Renew), appelant à ne rien céder « face au trumpisme et à ses clones qui veulent détruire l’Europe de l’intérieur ».

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Je savais qu'ils étaient stupides, mais pas à ce point.

Il ne faut pas avouer que Hitler a été élu le 30 janvier 1933, à la chancellerie du Reich.

Promesses électorales d'Hitler pour se faire élire en 25 points

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4. Seuls les citoyens bénéficient des droits civiques. Pour être citoyen, il faut être de sang allemand, la confession importe peu. Aucun Juif ne peut donc être citoyen

5. Les non-citoyens ne peuvent vivre en Allemagne que comme hôtes, et doivent se soumettre à la juridiction sur les étrangers

6. Le droit de fixer la direction et les lois de l'État est réservé aux seuls citoyens. Nous demandons donc que toute fonction publique, quelle qu'en soit la nature, ne puisse être tenue par des non citoyens. Nous combattons la pratique parlementaire, génératrice de corruption, d'attribution des postes par relations de parti sans se soucier du caractère et des capacités.

8. Il faut empêcher toute nouvelle immigration de non-Allemands4. Nous demandons que tous les non-Allemands établis en Allemagne depuis le 2 août 1914 soient immédiatement contraints de quitter le Reich.

19. Nous exigeons qu'un droit public allemand soit substitué au droit romain, serviteur d'une conception matérialiste du monde.

Cela ne vous dit rien ?

florence_yvonne a écrit:

Vous ne pensez pas que le génocide des peuples palestiniens, libanais et iraniens ne sera pas suffisant pour déclencher une troisième guerre mondiale ?

Sais-tu que les répressions des opposants en Iran, depuis la révolution islamique de 1979, ont fait bien plus de morts que les conflits israélo-palestiniens ?

Après, si les Israéliens ne peuvent pas se défendre sans être accusés de génocide, ça pose de graves questions.

Le problème, c'est que contrairement à la révolution islamique de 1979, le génocide perpétré par Netanyahou est loin d'être fini.

Je connais le jeu de celui qui pisse le plus loin, mais je ne connais pas le jeu de celui qui à le plus de sang sur les mains.

florence_yvonne a écrit:

Le problème, c'est que contrairement à la révolution islamique de 1979, le génocide perpétré par Netanyahou est loin d'être fini.

Pardon ? Il n'y a plus de répression sanglante en Iran ?

Et encore une fois, si les Israéliens sont accusés de génocide à chaque fois qu'ils se défendent (parce que ce n'est pas nouveau) ça pose de graves questions...

tchar a écrit:

Et encore une fois, si les Israéliens sont accusés de génocide à chaque fois qu'ils se défendent (parce que ce n'est pas nouveau) ça pose de graves questions...

Être philosémite ne m'empêche pas de vomir Netanyahou.
Détruire des hôpitaux, affamer toute une population, enfants y compris, ouaip ... c'est un génocide, ne vous en déplaise.
On tire dans le tas, les innocents sont des victimes collatérales, le hic c'est que des victimes collatérales, il y en a des charrées.

Et ne me sort pas qu'Israël se défend. Mon zouille : elle fabrique ses futures ennemis.
Des gens qui n'avaient rien demandé et qui se font tirer dessus pour rien finiront par rejoindre les rangs du Hamas.
Non seulelment Netanyahou est génocidaire, mais en plus il est *on. Sa politique est contreproductive.

tchar a écrit:

florence_yvonne a écrit:

Le problème, c'est que contrairement à la révolution islamique de 1979, le génocide perpétré par Netanyahou est loin d'être fini.

Pardon ? Il n'y a plus de répression sanglante en Iran ?

Et encore une fois, si les Israéliens sont accusés de génocide à chaque fois qu'ils se défendent (parce que ce n'est pas nouveau) ça pose de graves questions...

Se défendre ? tu es stupide ou tu fais semblant ?

Il y a un sujet consacré à la guerre au Proche-Orient, ce n'est pas pour les chiens.

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Commence à lire cet article si tu ne l'as pas fait et après, on pourra parler.

Attaques du 7 octobre : Comment, en un an, Benyamin Netanyahou est-il passé de victime à bourreau ?

Citation :

L'essentiel
«Nous sommes en guerre ». C’était le 7 octobre 2023. Dans la précipitation, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, prend la parole à la télévision pour s’exprimer.
Quelques heures plus tôt, des combattants du Hamas se sont infiltrés sur le territoire hébreu pour attaquer simultanément à plusieurs endroits, faisant 1.200 morts et plus d’une centaine d’otages.
Un an après, le bilan des opérations à Gaza est terrible et le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, suscite une vague d’indignation dans le monde entier malgré un regain de popularité dans son propre pays.

REWIND•Un an après le démarrage du conflit qui oppose Israël au Hamas, désormais étendu au Liban et à l’Iran, retour sur les douze derniers mois du Premier ministre clivant de l’État hébreu, Benyamin Netanyahou

«Nous sommes en guerre ». C’était le 7 octobre 2023. Dans la précipitation, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, prend la parole à la télévision pour s’exprimer. Son pays vient d’être victime d’une offensive sans précédent.

Quelques heures plus tôt, sous couvert d’un déluge de roquettes tirées sur Israël, des combattants du Hamas se sont infiltrés sur le territoire hébreu, passant la barrière autour de Gaza, pour attaquer simultanément à plusieurs endroits.

Une riposte aérienne et terrestre sanglante

Bilan de ce jour désormais baptisé « le Shabbat noir » : 1.200 Israéliens tués, civils et militaires, dont 270 massacrés dans un festival à quelques kilomètres de la frontière entre les deux Etats, et 250 otages ramenés dans l’enclave palestinienne.

En représailles, Benyamin Netanyahou réussit ce jour-là à légitimer auprès de la communauté internationale une riposte aérienne et terrestre sanglante sur la bande de Gaza. Sauf qu’à mesure que les pertes humaines s’accumulent côté gazaoui, le Premier ministre israélien, lui, perd en popularité et en légitimité.

Un an après le 7 octobre, le bilan des opérations à Gaza est terrible et suscite une vague d’indignation dans le monde entier : le nombre de morts côté palestinien est aujourd’hui estimé à plus de 41.000, dont plus de 14.000 enfants. Plus de 10.000 Palestiniens sont toujours portés disparus, selon le ministère de la Santé de Gaza et l’Unicef. Une cinquantaine d’otages israéliens seraient, eux, toujours en vie, mais aux mains du Hamas.

Alors que le conflit s’est désormais étendu dans la région, touchant le Liban et l’Iran, 20 Minutes vous propose, dans la vidéo en haut de cet article, un retour sur ces douze derniers mois d’affrontements entre Israël et le Hamas, au travers de l’un des protagonistes les plus clivants de cette guerre : Benyamin Netanyahou.

PS : j'ose espérer que tu ne fais pas l'amalgame entre Gaza et le Hamas.

florence_yvonne a écrit:

Commence à lire cet article si tu ne l'as pas fait et après, on pourra parler.
Attaques du 7 octobre : Comment, en un an, Benyamin Netanyahou est-il passé de victime à bourreau ?

Mais je connais ces articles, on en est abreuvé. Je trouve ça partial, excessif, simpliste. Les Israéliens en font trop, d'accord, beaucoup d'entre eux le disent d'ailleurs, mais elle est où, la limite qu'ils n'auraient pas dû franchir ?

florence_yvonne a écrit:

PS : j'ose espérer que tu ne fais pas l'amalgame entre Gaza et le Hamas.

Pas plus qu'entre Hitler et l'Allemagne. Pourtant on n'aurait pas vaincu Hitler sans bombarder massivement l'Allemagne.

Là je crois que l'on a affaire ou à faire avec un drôle de coco ...

Loganj a écrit:

Là je crois que l'on a affaire ou à faire avec un drôle de coco ...

Qui donc ?

tchar a écrit:

florence_yvonne a écrit:

Commence à lire cet article si tu ne l'as pas fait et après, on pourra parler.
Attaques du 7 octobre : Comment, en un an, Benyamin Netanyahou est-il passé de victime à bourreau ?

Mais je connais ces articles, on en est abreuvé.  Je trouve ça partial, excessif, simpliste. Les Israéliens en font trop, d'accord, beaucoup d'entre eux le disent d'ailleurs, mais elle est où, la limite qu'ils n'auraient pas dû franchir ?

florence_yvonne a écrit:

PS : j'ose espérer que tu ne fais pas l'amalgame entre Gaza et le Hamas.

Pas plus qu'entre Hitler et l'Allemagne. Pourtant on n'aurait pas vaincu Hitler sans bombarder massivement l'Allemagne.

Dire qu'Israël est une victime qui ne cherche qu'à se défendre, ce n'est pas partial et simpliste ? peut-être ?

Quelque soit la source, elles révèlent quasiment toute la même information.
Les palestiniens sont victimes d'un génocide.

Rien ne peut justifier cela.

Si quelqu'un essayait de justifier la Shoa, je réagirais de la même façon.

Élection de Donald Trump : chef de cabinet de la Maison Blanche, ministre de la Justice... qui sont les favoris pour les postes clés ?

Donald Trump, vainqueur de l'élection présidentielle aux Etats-Unis, devrait lancer dans les prochaines semaines le processus de nomination des membres de l'exécutif et des hauts fonctionnaires de son administration.

Secrétaire au Trésor

Scott Bessent, proche conseiller économique de Donald Trump, est cité parmi les favoris pour le poste de secrétaire au Trésor. Ce gérant de fonds d'investissement, qui a enseigné plusieurs années à la Yale University, entretient des relations chaleureuses avec le président-élu. Il prône une politique de "laisser-faire" tout en soutenant les droits de douane comme levier de négociation dans les relations commerciales.

Le milliardaire John Paulson fait aussi figure de prétendant. Ce gérant de fonds d'investissement et généreux donateur de Donald Trump préconise une dérégulation massive et des baisses d'impôt et, à l'instar de Scott Bessent, l'utilisation de l'arme des droits de douane.

Plus sceptique sur ce point, Larry Kudlow a dirigé le Conseil économique de la Maison blanche pendant la majeure partie du premier mandat de Donald Trump (2017-2021).

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Spoiler:

Powell refusera de démissionner si Trump le lui demande : Conflits en vue ?

Investing.com - La réunion de la Fed d’hier soir a confirmé la baisse de taux de 25 points de base que les investisseurs prévoyaient, mais a aussi été l’occasion d’une déclaration importante de son président Jerome Powell.

Celui-ci a en effet affirmé qu'il ne démissionnerait pas si le président élu Donald Trump le lui demandait.

Lorsqu'on lui a demandé s'il démissionnerait si M. Trump le lui demandait, le président de la Fed a simplement répondu : « Non ». M. Powell a ensuite déclaré aux journalistes que le président n'avait pas le pouvoir de le licencier ou de le rétrograder.

« La loi ne le permet pas », a déclaré M. Powell, dont le mandat expire en 2026, lors d'une conférence de presse.

Rappelons que c’est Trump lui-même qui a nommé Powell à la tête de la Fed lors de son premier mandat en 2017, mais qu’il a ensuite ouvertement critiqué à maintes reprises la politique de la banque centrale.

Soulignons par ailleurs que Trump a déclaré dans une interview en octobre que le président devrait pouvoir peser sur les décisions relatives aux taux d'intérêt.

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florence_yvonne a écrit:

Dire qu'Israël est une victime qui ne cherche qu'à se défendre, ce n'est pas partial et simpliste ? peut-être ?

Nieras-tu qu'ils cherchent à se défendre ?

Des génocides, à ce compte, il y en a eu beaucoup. Voir par exemple le Darfour encore actuellement.