Présidentielle américaine : les électeurs noirs courtisés • FRANCE 24

Kamala Harris a tenté de séduire l'électorat noir lundi 14 octobre tout en lançant une mise en garde plus générale contre la rhétorique aux accents de plus en plus autoritaires de Donald Trump, lui aussi en campagne dans l'Etat clé de la Pennsylvanie. Les électeurs noirs sont courtisés par les deux camps. Le décryptage de Matthieu Mabin, correspondant de France 24 aux Etats-Unis.

Tant qu'à parler de cette élection, autant avoir l'autre point de vue (car les médias dominants ont clairement choisi leur camp chez nous). Je ne dis surtout pas que ce qui est sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est parole d'évangile, mais j'estime qu'il vaut mieux vaut savoir ce qui se dit en face, d'accord ou pas (je n'ai d'ailleurs pas d'opinion tellement arrêtée, il y a des trucs vrais des deux côtés).

Je crois que les propos de Trump parlent d'eux même.

Traiter son adversaire de déficient mentale est contraire à une attitude digne d'un candidat aux élections présidentielle

États-Unis. Pourquoi les insultes de Donald Trump contre Kamala Harris ne prennent pas

“Communiste”, “fasciste”, “tarée”, “raclure”… Lors de ses meeting ou sur les réseaux sociaux, le candidat républicain Donald Trump multiplie les invectives contre sa rivale démocrate. Sans grand succès, relèvent les médias américains.

"Kamala Harris est handicapée mentale, elle est née comme ça !" : pourquoi l’insulte de Donald Trump passe mal dans ses propres rangs

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L'insulte est l'arme des faibles.