Guerre au Proche-Orient sujet dédié à la discussion.

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Tout pays livrant des armes a Israël devraient être accusé de complicité dans un génocide.

Pourquoi les grandes puissances mondiales sont incapables de résoudre les conflits au Proche-Orient

Le mardi 24 septembre marquait la fin de la 79e session de l'Assemblée générale des Nations unies, à New-York, aux États-Unis. Pendant une semaine, des centaines de chefs d'État et de gouvernement ont échangé sur des questions mondiales, plaçant l'embrasement au Proche-Orient au cœur des débats. Pourtant, depuis le 7 octobre 2023 –le début de la nouvelle guerre entre Israël et le Hamas– les grandes puissances sont incapables d'arrêter les combats. En parallèle, la tentative menée par l'Occident pour éviter une guerre à grande échelle entre Israël et le Hezbollah libanais semble aussi vouée à l'échec.

Comment expliquer que le cadre international ne parvienne plus à contraindre Israéliens et Palestiniens à dialoguer? Pourquoi cette impuissance, voire ce désengagement des grandes puissances? Le média The New York Times nous offre un fragment de réponse.

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis jouent le rôle de gendarme du monde au Proche et Moyen-Orient. Selon Steven Cook, chercheur au centre de réflexion sur la politique internationale, cette attitude est liée à trois raisons stratégiques: «assurer la libre circulation des ressources, préserver la sécurité d'Israël, et empêcher la création d'une alliance qui menacerait les intérêts américains dans la région.» Mais depuis les fameux accords de Camp David ou encore ceux d'Oslo, le contexte mondial a bien changé.

En effet, Washington n'a pratiquement plus aucun moyen de pression sur des groupes comme le Hamas ou le Hezbollah, qualifiés de terroristes par les autorités américaines. Si les États-Unis disposent encore d'une influence sur Israël, en partie grâce à un financement annuel conséquent, leur étroite relation empêche toute tentative de remettre en question les actions de l'État hébreu. Les Nations unies, quant à elles, sont paralysées par le veto américain à toute résolution relative à Israël au sein du Conseil de sécurité, empêchant une réelle action efficace.

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L’ONU considère que les colonies israéliennes relèvent du crime de guerre

L’établissement et l’expansion de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens ainsi que « la violence des colons et les violations liées aux implantations (…) risquent d’éliminer toute possibilité pratique d’établir un Etat palestinien viable », déplore un rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme.

Les relations entre l’ONU et Israël ne vont pas se réchauffer après le rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme publié vendredi 8 mars à propos des colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés.

L’établissement et l’expansion continue de telles colonies « équivalent au transfert par Israël de sa propre population civile vers les territoires qu’il occupe » et « de tels transferts constituent un crime de guerre pouvant engager la responsabilité pénale individuelle des personnes impliquées », dénonce le document onusien qui court sur la période de novembre 2022 à la fin d’octobre 2023.

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Déjà, Israël se moquait des résolutions de l'ONU.

Le Hamas a tué des israéliens, Netanyahou se venge sur les palestiniens.

Netanyahou est déçu par Macron ? cela me rendrais presque Macron sympathique.

C'est comme si Hitler avait dit, Churchill  m'a extrêmement déçu.

Israël, se défend de qui ? des femmes et des enfants Gazaouis ?

Près de 70 % des morts à Gaza sont des femmes et des enfants, selon un décompte partiel de l'ONU

Les femmes et les enfants représentaient "près de 70 %" des victimes dans la bande de Gaza, a affirmé l'ONU vendredi. Le Haut-Commissariat aux droits de l'Homme a mené une minutieuse vérification d'un décompte partiel des victimes – 8 119 sur plus de 34 500 au total – de la guerre menée par Israël contre le Hamas.

Une majorité de femmes et d'enfants victimes de la guerre menée par Israël contre le Hamas. Ils représentent "près de 70 %" des morts dans la bande de Gaza sur la période novembre 2023 à avril 2024, a affirmé vendredi 8 novembre l'ONU après une vérification précise d'un décompte partiel.

Le nouveau rapport du Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme détaille également un large éventail de violations du droit international, qui pour beaucoup pourraient être assimilées à des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité et peut-être même à un "génocide".

Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme a vérifié 8 119 des plus de 34 500 personnes qui auraient été tuées au cours des six premiers mois de la guerre, constatant que "près de 70 % étaient des enfants et des femmes".

"Nous pensons que cela est représentatif de la répartition du nombre total de morts. Une proportion similaire à celle donnée par les autorités de Gaza", a souligné auprès de l'AFP Ravina Shamdasani, porte-parole du Haut-Commissariat.

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florence_yvonne a écrit:

Israël, se défend de qui ? des femmes et des enfants Gazaouis ?

De gens qui se planquent systématiquement derrière des femmes et des enfants (qui peuvent aussi combattre d'ailleurs). L'intérêt pour eux étant que plus il y a de morts, mieux ça sert leur cause.

je renonce, crois ce que tu veux, je ne veux pas t'insulter, mais j'ai l'impression que tu es un peu bas du plafond

Sinon, tu dois pouvoir donner le lien vers tes insultes grossières..

Une information comme celle là est surement être relayée, tu dois surement pouvoir me donner l'origine de ta source afin que je puisse vérifier.

Pour Nétanyahou plus il y a des femmes et des enfants morts et mieux c'est, mais il y a le monde entier qui regarde et qui sait à quoi s'en tenir.

A l'époque du génocide indien par les colons américains, ces dernier disaient "un bon indien est un indien mort", nous nous retrouvons exactement dans la même situation "un bon palestinien est un palestinien mort"

Benyamin Nétanyahou sous la menace de la justice internationale

« 7-Octobre, un an après ». Le premier ministre israélien a été contraint de revoir la géographie de ses déplacements internationaux depuis que le procureur de la CPI a réclamé l’émission d’un mandat d’arrêt contre lui.

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Aucune guerre n’a jamais pris fin sous le marteau d’un juge. Mais le mandat d’arrêt requis par le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) contre Benyamin Nétanyahou, le 20 mai, plane comme une épée de Damoclès sur le premier ministre israélien. Il le contraint à revoir ses déplacements. Il force ses alliés à réfléchir à l’après-guerre. Mais la menace n’a pas modifié sa conduite de la guerre.

Depuis les requêtes du procureur au printemps, demandant aux juges de délivrer cinq mandats d’arrêt contre le premier ministre israélien, son ministre de la défense, Yoav Gallant, et trois responsables du Hamas, dont seul son chef Yahya Sinouar serait encore vivant (Ismaïl Haniyeh a été tué dans une frappe attribuée à Israël en juillet à Téhéran et Mohammed Deif est présumé mort dans un bombardement israélien dans la bande de Gaza, en juillet également), Benyamin Nétanyahou a intégré la nouvelle géographie que lui imposerait une future inculpation par la Cour.

Craignant que le mandat d’arrêt ne soit déjà émis sous scellés, comme le font parfois les juges dans l’espoir de faciliter une arrestation, le premier ministre, qui devait prononcer fin juillet un discours devant le Congrès des Etats-Unis, avait renoncé à faire escale à Prague, selon des médias tchèques et israéliens. La République tchèque est membre de la CPI, comme tous les Etats de l’Union européenne, dont nombre d’alliés d’Israël, et a donc l’obligation de coopérer avec la Cour, notamment celle d’arrêter les suspects sous mandat d’arrêt, même si plusieurs capitales estiment au contraire que le droit international préserve l’immunité diplomatique des dirigeants des Etats qui ne sont pas membres de la CPI – ce qui est le cas d’Israël.

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Comme le dit si bien le proverbe "Il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre."

Sur ce bonne nuit.

florence_yvonne a écrit:

je renonce, crois ce que tu veux, je ne veux pas t'insulter, mais j'ai l'impression que tu es un peu bas du plafond

Je ne veux pas mais... c'est un classique. Je ne veux pas te psychologiser mais ça sonne bizarre.

florence-yvonne a écrit:

Pour Nétanyahou plus il y a des femmes et des enfants morts et mieux c'est, mais il y a le monde entier qui regarde et qui sait à quoi s'en tenir.

Source ? Après, je sais que des Israéliens le disent ouvertement, mais la rage et la haine sont des deux côtés, et ça ne se contrôle que jusqu'à un certain point. Si on ne veut les voir que d'un côté, ça pose problème.

Et encore une fois, quelle aurait été la limite à ne pas franchir ?

Mes sources ? tu te moques de moi ? contrairement à toi, je ne fais que cela donner mes sources.

tchar a écrit:

Et encore une fois, quelle aurait été la limite à ne pas franchir ?

Je ne sais pas, 10 morts ? 100 morts ? 1 000 morts ? 10 000 morts ? on a largement déplacé ces chiffres.

41 909 Palestiniens tués en un an à Gaza : qui sont ces victimes de la guerre ?

41 909 Palestiniens ont perdu la vie depuis le 8 octobre 2023. Grâce au travail de l’ONG TechforPalestine, l’Humanité a pu analyser les données du bilan de la guerre menée par Israël depuis un an.

41 909 morts en un an. Le 7 octobre 2023, le Hamas lance une attaque sans précédent envers Israël. 2 000 personnes sont tuées, plus de 250 sont kidnappées, la majorité d’entre elles sont des civils. Le lendemain, les forces israéliennes partent en guerre, avec comme objectif affiché d’éradiquer le Hamas. Les données que l’Humanité a consultées et analysées ne laissent pas de place au doute : le bilan humain n’a pas de précédent dans l’histoire des guerres israélo-palestiniennes.

Très vite, un débat s’installe dans les médias occidentaux : peut-on accorder de la crédibilité aux chiffres du Hamas ? Le parti islamiste, au pouvoir à Gaza depuis 2006, pilote les ministères en charge de recenser les victimes. Pour les soutiens indéfectibles de l’État israélien, la réponse est simple : les chiffres du Hamas sont totalement truqués.

Pourtant, l’ampleur des destructions est colossale et visible depuis le ciel. Le bilan des morts à Gaza avancé par le Hamas, est largement sous-estimé selon certains observateurs militaires. Cet été, la revue scientifique The Lancet publiait un article sur le comptage des victimes en affirmant qu’il pourrait largement dépasser les 100 000.

Les données présentées ici proviennent majoritairement de bilans difficilement publiés par le ministère de la Santé et le bureau des médias de Gaza. Pour la Cisjordanie, elles sont issues des bilans du programme OCHA des Nations Unies.

Une moyenne de 3 485 victimes par mois

Ma source

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Tchar, je te propose un deal.

Tu expliques ton opinion sur Nétanyahou (pas sur Israël ou la Palestine) et je ferais de même

Je commence :

Netanyahou est le loup déguisé en mouton, le bourreau déguisé en victime.

Netanyahou est le pire criminel le guerre depuis Hitler (Hitler à eu la décence de se suicider.

Il y a eu entre 5 et 6 millions de juifs morts dans les camps de concentration, combien faudra t'il de temps à Nétanyahou pour dépasser ce chiffre ?

BENJAMIN NETANYAHU : UN CRIMINEL DE GUERRE AU POUVOIR ?




Tu vois ? je donne mes sources.

Des sources antisémites qui reprennent les caricatures de l'époque nazi. Toujours le même mythe du juif assoiffé de sang à la solde de Satan.

florence_yvonne a écrit:

Netanyahou est le pire criminel le guerre depuis Hitler (Hitler à eu la décence de se suicider.

Là, c'est tellement exagéré que ça en devient monstrueux. Il n'y a plus de discussion possible.

alex_x a écrit:

Des sources antisémites qui reprennent les caricatures de l'époque nazi. Toujours le même mythe du juif assoiffé de sang à la solde de Satan.

Mais bien sur, le monde entier est antisémite

Il y a beaucoup de critiques justes à faire envers Nétanyahou. Plusieurs israéliens ne s’en privent pas. Je suis moi même très critique de son approche. Nous pouvons le faire et éviter l’antisémitisme.

Alors, critiquer la politique guerrière de Netanyahou serait de l'antisémitisme ?

A Jérusalem, le limogeage du ministre de la Défense dénoncé dans la rue

9 363 vues  7 nov. 2024
Une manifestation a eu à nouveau lieu mercredi soir en Israël, cette fois près du bureau de Benjamin Netanyahu et près de la Knesset à Jérusalem, pour manifester contre le limogeage du ministre de la défense Yoav Gallant. L'opposition israélienne est unie pour dénoncer ce limogeage, justifié par Benjamin Netanyahu par des  différends "politiques" alors que le pays est en guerre sur plusieurs fronts depuis plus d'un an.

M. Netanyahu a limogé M. Gallant après après des divergences sur la conduite de la guerre à Gaza, et l'a remplacé par son homologue des Affaires étrangères Israël Katz qui a promis de vaincre les "ennemis" du pays.

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Des israéliens antisémites  ? ou contre Netanyahou ?

florence_yvonne a écrit:

Alors, critiquer la politique guerrière de Netanyahou serait de l'antisémitisme ?

A partir d'un certain niveau d'exagération, de deux poids deux mesures malveillant, on ne peut qu'y penser.

L'exagération est le fait de Nétanyahou.

Sous les huées et les protestations, Benyamin Netanyahou promet à l'Onu de continuer la guerre

En pleine guerre à Gaza, et alors qu'Israël bombarde désormais le Liban, le premier ministre israélien a tenu ce vendredi un discours guerrier à l’Assemblée générale de l’Onu. L’ennemi reste l’Iran.

Sous les huées de la salle, le premier ministre israélien est monté à la tribune de l’Onu. Afin de protester contre les crimes commis par Benyamin Netanyahou et son gouvernement depuis le 7 octobre dans la bande de Gaza de nombreux diplomates ont quitté l’assemblée. « Je n’avais pas prévu de venir ici cette année. Mais vu les mensonges proférés par de nombreux intervenants, j’ai décidé de parler au nom de mon peuple et de mon pays » a immédiatement réagi le chef du gouvernement israélien.

Face aux condamnations de la CPI, aux protestations internationales et aux pressions de nombreux pays qui réclament un cessez-le-feu immédiat à Gaza et désormais au Liban, Benyamin Netanyahou a osé affirmer qu’« Israël veut la paix » et « appelle à la paix. (…) Mais nous sommes confrontés à des ennemis sauvages qui veulent nous détruire », ciblant l’Iran comme principale menace.

Israël contraint de se défendre
En marge de sa venue, des protestations se sont déroulées à New York et devant le siège de l’Onu contre le gouvernement israélien. « Arrêtez de tuer des enfants, mettez fin à la guerre, signez l’accord, ramenez les otages à la maison » ont lancé plusieurs manifestants qui réclament que la guerre à Gaza et au Liban s’arrête.

Pour Netanyahou, « Israël a été contraint de se défendre sur plusieurs fronts » et d’adresser « un message à Téhéran : “si vous nous frappez, nous vous frapperons” ». Les autorités israéliennes ont pourtant clairement violé les souverainetés des États en bombardant le Liban, en assassinant, fin juillet à Téhéran, le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh ou en attaquant l’ambassade d’Iran à Damas.

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Israël rejette l'idée d'une famine à Gaza

JÉRUSALEM (Reuters) - Israël a rejeté samedi les avertissements d'un groupe d'experts internationaux en sécurité alimentaire évoquant une famine dans certaines zones du nord de Gaza où Tsahal combat le groupe palestinien Hamas.

"Malheureusement, les chercheurs continuent de s'appuyer sur des données partielles et biaisées et sur des sources superficielles ayant des intérêts particuliers", écrit l'armée dans un communiqué.

Le Comité indépendant d'étude sur la famine (FRC) a mis en garde vendredi contre l'imminence d'une famine dans certaines parties du nord de Gaza, insistant sur l'urgence d'une action des parties en conflit pour améliorer la situation.

Israël a déclaré avoir accru ses efforts pour faire parvenir de l'aide, notamment en ouvrant un point de passage supplémentaire vendredi.

Depuis le début de la guerre en octobre 2023, 39.000 camions chargés de plus de 840.000 tonnes de nourriture sont entrés à Gaza, a indiqué Israël, et des réunions ont lieu quotidiennement avec l'Onu qui dispose de 700 camions.

Les Etats-Unis, principaux alliés d'Israël, ont sommé l'Etat hébreu d'améliorer la situation dans les jours à venir sous peine de réduire la coopération militaire.

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