Je n’était pas aux courant de l’existence de ce mouvement ,je vous partage le texte du site en question
[size=18]Le Spiritualisme Trinitaire Marial est un mouvement, aux caractéristiques religieuses, qui s’est développé au Mexique entre 1866 et 1950. Il a produit notamment « Le Troisième Testament » qui, selon ses propres récits, serait le troisième volet de la Bible chrétienne. Ce livre se compose d’un texte principal, connu sur le nom de « Libro de la Vida Verdadera » -Livre de la Vie Véritable- dont sa première édition en espagnol, en douze volumes, est apparu en 1956 à Mexico.[/size]
[size=18]Contrairement à tout ce qu’affirment et attendent toutes les religions et confessions mineures du Christianisme, le Spiritualisme Trinitaire Marial soutient que le deuxième avènement du Christ ne serait pas quelque chose à venir, mais quelque chose qui se serait déjà produit. Et non pas à Rome, non au Mont Athos, ou en n’importe quel autre centre de la foi orthodoxe ; ni, comme beaucoup l’espéraient, dans la Jérusalem judéo-chrétienne, ou encore dans l’enceinte du protestantisme, mais dans un pays du dénommé tiers monde: le Mexique.[/size]
[size=18]En effet, selon les propres récits du Troisième Testament, une telle chose se serait produite dans le plus grand silence et à l’abri des évènements qui ont secoué le monde pendant tout cette période, entre1866 et 1950, dans les faubourgs de Mexico, principalement. Mais un tel second avènement ne se serait pas produit sur le plan physique (en matière, selon ses propres mots) mais en esprit ou « sur une nuée » comme cela a été symboliquement prophétisé dans le Nouveau Testament.[/size]
[size=18]Ce second avènement en esprit aura permis que des centaines des personnes issues du peuple (au début analphabètes par la plupart) captaient « par inspiration » quelques milliers de catedras (littéralement « enseignements magistraux ») aussi bien du « Père », du « Christ » ou du « Saint Esprit » que de « Marie », du « Prophète Elie » ou du « Monde Spirituel de Lumière ».[/size]
[size=18]Ces textes-là ne seraient pas seulement une simple continuation des écrits de la Bible mais une très étonnante progression et mise à jour de la connaissance spirituelle y exposée. Une connaissance qui, selon les propres récits du Troisième Testament, ne s’adresse pas seulement « au peuple d’Israël », « aux chrétiens » ou à d’autres pratiquants des religions ou disciplines spirituelles mais aussi à tous les esprits « que ce soit incarnés ou désincarnés » que ce soit dans ce monde ou «d’autres » mondes.[/size]
[size=18]On y retrouve, développées, non seulement des choses qui demeuraient peu claires, ambiguës ou confuses dans la Bible, ou dans la tradition chrétienne en général (comme la Trinité, les notions d’enfer, du diable, du péché, de la mort, etc.), mais aussi plein des choses qui continuent d’être peu claires, ou carrément mystérieuses : réincarnation, « récyclement et évolution de la matière » (y compris des matières humaines) ; explicitation de la différence entre esprit, âme et corps ; existence de ‘x’ dimensions dans ‘l’Univers’ (qui ne serait qu’une expression ‘infinitésimale’ de La Création) et, peut être aussi, de ‘x lignes’ du temps ; existence, certaine, de vie dans « d’autres mondes », etc.[/size]
[size=18]Il faut dire tout de suite que la qualité « littéraire » des textes ne correspond ni au milieu social où, théoriquement, ils ont eu leur origine, ni au temps historique où, théoriquement, ils se sont produits. Cela ne veut pas dire qu’ils sont extrêmement complexes ou compliqués. Tout au contraire : ils sont d’une extraordinaire simplicité. Et pourtant, la profondeur des choses qui y sont exposées dépasse, très largement, toute connaissance que l’on peut avoir, encore de nos jours, en la matière.[/size]
[size=18]D’une façon difficilement explicable, les textes du Troisième Testament sont rédigés en même temps avec la plus grande rigueur et, en même temps, avec la plus grande simplicité, dans un espagnol du plus « standard » ou du plus « neutre » que l’on peut concevoir. Il n’y a pas dans le Troisième Testament, en effet, aucun « régionalisme » ni « particularisme » qui permettrait de situer « géographiquement » son origine, ni d’ailleurs aucune expression qui permettrait de le situer chronologiquement.[/size]
[size=18]Il s’agit d’un espagnol accessible, certes, à tout le monde, mais, au même temps, énormément riche en contenu « la parole que je vous enseigne -y lit-on- est claire et simple dans sa surface mais profonde jusqu’à l’infini, dans son contenu ». Un langage qui, par ce fait, se prêtera toujours à plusieurs niveaux d’interprétation -toujours complémentaires, jamais contradictoires- un langage dont son niveau de compréhension sera en consonance étroite avec le niveau d’évolution et de compréhension de celui qui le lit. [/size]
[size=18]Un langage où, malgré les erreurs humaines que l’on peut trouver partout (dans ces éditions tout à fait artisanales, et uniques, qui existent encore aujourd’hui) tout semble être en étroite relation avec le tout et avec chacune de ses parties. Un langage où rien ne semble être laissé au hasard. Un langage dont son unique « semblable » serait, précisément, celui qu’on utilise dans la Bible. [/size]
[size=18]Quelque chose que, dans sa propre «logique», correspondrait au «commencement» d’un temps différent, au «commencement d’une ère nouvelle »… Celle ère du Saint Esprit tant attendue, et par la suite oubliée? Celle où s’accompliraient les prophéties de la «fin du temps» ? Celle où «vos fils et vos filles prophétiseront, vos vieillards auront des songes, vos jeunes auront des visions.» ? Aux croyants de décider ! Aux studieux d’analyser ![/size]
[size=18]Quelles sont les raisons qui plaident en faveur de l’authenticité de ces textes ? Par-dessus tout, les textes en eux mêmes, la sagesse et la profondeur des réflexions, révélations et avertissements qui y sont exposés. En d’autres termes, le fait d’être « reçus », selon toutes les évidences, en de nombreux sites, à travers de nombreux « porte-parole » conservant, malgré tout, une unité en son esprit, en son « caractère », en son « style ». Quelle obscure force pourrait organiser un tel jeu illusoire et séducteur durant des décennies dans un pays entier ?[/size]
[size=18]Dans ces « révélations » qui, selon ses propres récits, auraient commencé dans l’année de 1866, avec les premiers messages transmis par l’intermédiaire de Roque Rojas, on trouve, en tout cas, l’explication de notions qui étaient, et continuent de l’être dans la plus grande partie du christianisme, considérées comme des mystères, notamment celui de la trinité : qui ne serait que la manifestation de « Dieu » en trois phases distinctes, comme « Père » comme « Fils » et comme « Saint Esprit ».[/size]
[size=18]Des manifestations qui correspondraient avec le niveau d’évolution que l’humanité aurait atteint à chacune de ces périodes. Ainsi la première manifestation de Dieu, en tant que Père, en tant que Puissance, aurait eu la finalité principale d’exposer la Loi ; la deuxième, en tant que Fils, prônel’Amour ; et la troisième, celle qui aurait commencée en 1866, comme Saint Esprit, la Sagesse. Ainsi, Dieu serait à chaque fois exactement le même, sauf que manifesté de manière distincte. Voici éclairci le grand mystère de la trinité ![/size]
[size=18]De son côté, le mystère de la « résurrection de la chair » est expliqué en tant que réincarnation de l’esprit. Le jugement « final » n’y existerait pas, puisque tous les esprits seraient jugés « en permanence » à travers de la loi de la « réincarnation », dérivée de celle de la « restitution ». Ainsi tous les esprits jouiraient de la possibilité de se réincarner tant de fois que nécessaire pour apprendre et assumer tout ce que la vie humaine aurait à leur apprendre. Mais celle-ci ne serait à peine qu’un échelon des innombrables que contiendrait l’échelle d’évolution des esprits.[/size]
[size=18]Au fait, le Troisième Testament affirme que la loi de la réincarnation serait déjà suggéré plus ou moins clairement dans le Nouveau Testament, surtout en ce qui concerne la venu du prophète Elie, réincarné en Jean le Baptiste. Mais aussi en ce qui concerne la venue même de Jésus qui, comme on le sait, était considéré la plupart de temps comme l’un des prophètes de l’antiquité. (Il faut se rappeler que la réincarnation était un concept accepté dans le christianisme primitif et qu’il a été banni, par des raisons politiques, seulement en 543, par l’empereur romain Justinien) [/size]
[size=18]En accord avec ce qui postule le Troisième Testament, chaque être humain serait un ensemble d’esprit, d’âme et de « matière ». L’esprit serait éternel, pure essence, tel que son créateur. L’âme aussi subtile qu’elle puisse être serait pourtant substance -et n’existerait pas, donc, avant la création- elle serait l’élément subtil à travers lequel l’esprit se manifesterait dans le monde matériel. La matière, finalement, le corps physique, ne serait « qu’un fugace vêtement » « duquel l’esprit change tant de fois qu’il est nécessaire pour son évolution ».[/size]
[size=18]Le tout -esprit, âme et corps- soumis, dans ses propres plans, à la Loi de l’Evolution. Aussi incroyable que ça puisse paraître, ces trois éléments auraient, chacun de son côté, ses propres tendances et inclinations. Mais il correspondrait à l’esprit de s’imposer sur le reste. « Beaucoup de force a la matière dans ses inclinations et faiblesses mais l’esprit et doué d’une puissance supérieure et, avec, il pourra s’imposer. Quel mérite votre esprit aurait-il s’il agissait dans un corps dépourvu de volonté et d’inclinations propres ? »[/size]
[size=18]Bien que «étincelle» de Dieu, l’esprit serait doué de libre arbitre et, plus encore, d’une sorte de «personnalité» ou «moi spirituel» que le rendrait tout à fait singulier et unique. Et ça sur tous les plans ou étapes de l’évolution. C’est ça qui se manifesterait d’une façon plus ou moins constante tout au long de son parcours à travers la vie, ou étape, humaine : c’est qu’on connaît communément comme caractère et que, selon l’évolution de l’esprit, peut s’exprimer plus ou moins fidèlement à travers de «la matière» ou corps physique.[/size]
[size=18]Chaque expérience, chaque vie humaine (chacun de ces « voyages d’évolution spirituelle ») serait jugé, à travers la lumière de sa conscience, par le propre esprit ; qui, à partir de cela (et après un laps de repos et méditation) formerait son propre plan d’évolution. Ainsi, sa nouvelle incarnation se ferait dans un corps d’homme ou femme, dans une race humaine ou dans une autre, avec telle ou telle autre tendance, etc. Mais, contrairement à tout ce qu’on pourrait penser, aucune des réincarnations ne serait aléatoire.[/size]
[size=18]Au contraire, chacune répondrait et serait en consonance avec tout un ensemble d’esprits, de telle façon que, à travers un certain mécanisme (dont la mathématique serait en dehors de toute portée humaine) chaque esprit trouverait sur son chemin tous les esprits avec lesquels il devrait agir. «Dans ce monde chacun de vous est, par la sagesse de Dieu, à sa place et près de qui il doit être. A chaque homme est assigné un cercle où il doit habiter, dans lequel il y a des esprits incarnés et désincarnés avec lesquels il doit interagir» Voici en quelques traits la loi de la réincarnation telle que la conçoit le Troisième Testament.[/size]
[size=18]Il est simple de déduire tout ce qui en dérive. En effet, selon le Troisième Testament, la mort, telle qu’on la comprend n’existerait pas, ni la «condamnation éternelle», ni «l’enfer» ni aucun esprit dont la finalité serait celle de tenter les hommes et les pousser à faire le mal. Il existerait des esprits (incarnés ou désincarnés) en plusieurs niveaux d’évolution, plus ou moins conscients de la réalité, plus ou moins libres, plus ou moins capables de se soustraire aux influences du bien ou du mal, qui dès les débuts des temps « flotterait » dans le (s) monde (s), et plus ou moins capables de les influencer.[/size]
[size=18]Elles sont nombreuses, donc, les différences qu’on peut remarquer entre les écritures de la Bible et celles du Troisième Testament, mais celles-ci ne seraient pas, en fin de compte, une question de fond mais, peut être, seulement d’interprétation, et de niveau, bien évidemment. Si l’on croit à ce que dit le Troisième Testament, tout aurait été dit et annoncé (en accord au niveau atteint par l’humanité à ce temps-là) dans les écritures des «premier et deuxième temps»; mais des erreurs d’interprétation (et même des altérations conscientes) auraient déformé la compréhension originelle des choses.[/size]
[size=18]Tout cela ajouté au manque de foi aurait provoqué l’incapacité de la chrétienté à reconnaître les signaux qui annonçaient très clairement la « fin du monde » (qui bien qu’avec énormément de dégâts et pertes innombrables de vies humaines ne serait pas « la fin du monde » telle qu’on l’avait compris). Le monde en effet, après le « nouveau déluge » et « la purification » continuerait à être « le même » après avoir fait disparaître ce qui serait « pervers » et « artificiel ». [/size]
[size=18]Une chose est claire : le ton d’admonition et remontrance présent, certes, dans la Bible et matraqué jusqu’à l’épuisement par les églises, disparaît presque complètement dans le Troisième Testament, qui malgré ses avertissements, assez sévères, vis-à-vis de « la fin du monde » et sur la nécessité impérieuse de régénération, efface presque complètement le ton « apocalyptique » de la Bible. Tout y est éclairci et « adouci » par la voie de « la sagesse » et de « l’amour ». Et cela malgré les prophéties annoncées.[/size]
[size=18]Mais, celles-ci sont, comme on l’a dit, énormément relativisées : « Après cette nuit de tempête qu’aura vécue ce monde, l’arc-en-ciel de la paix apparaîtra et tout retournera à ses lois, à son ordre et à son harmonie. Vous verrez à nouveau le ciel propre et les champs fertiles, les eaux, dans leur courrant, redeviendront pures et la mer sera clémente ; il y aura des fruits dans les arbres et des fleurs dans les prés, et les moissons et les récoltes seront abondantes. Quant à l’homme, qui aura été purifié et guéri, il se sentira digne, à nouveau, et verra son chemin préparé pour son ascension et son retour vers moi »[/size]
[size=18]Et, plus important encore, à ces prophéties viendraient s’ajouter d’autres non seulement incroyables, mais même pas imaginables pour le commun des chrétiens : l’arrivée certaine de la « communication d’esprit à Esprit » et aussi celle de la communication directe entre esprits (qu’ils soient incarnés ou désincarnés), la possibilité de récupérer (et de pouvoir gérer) tout son passé spirituel, la possibilité d’élargir tous les « sens supérieurs » de l’esprit (voyance, inspiration, révélation, prophétie, etc.), l’«emménagement», certain, en d’autres mondes ou demeures, la possibilité de recevoir des enseignements toujours plus clairs, toujours plus élevés, etc.[/size]
[size=18]En fait, le Troisième Testament est énormément intéressant même si on le prend dans son sens exclusivement littéraire. L’imagination est toujours comblée face aux horizons « infinis » qu’il ouvre. Ses propos sont toujours cohérents et infailliblement séduisants, même pour le lecteur le plus sceptique. Plus encore, toutes les questions qui y sont traités sont d’une incontestable actualité et donnent infailliblement un éclaircissement beaucoup plus poussé que le discours scientifique le plus élaboré ou le texte ésotérique le plus audacieux.[/size]
[size=18]Bien évidemment, il serait absurde de prétendre établir des critères de véracité scientifique dans tout ce qu’affirme le Spiritualisme Trinitaire Marial, mais une chose est claire : il n’est pas impossible que le Troisième Testament soit, en effet, le troisième volet de la Bible chrétienne, puisque tout correspond, à peu près, avec tout ce qu’y a été dit. Cela étant, croire que tout ce qu’y a été dit est vrai ou non, est une toute autre question. (Qui échappe bien évidemment à toute possibilité d’analyse scientifique).[/size]
[size=18]Par contre, il n’est pas impossible d’établir et de délimiter le contexte historique et social dans lequel s’est produit ce mouvement qui, étrangement, est aussi peu connu. Et cela malgré le fait que ses textes soient déjà traduits en plusieurs langues. Cette étude s’avère tout à fait possible. La tâche n’est pas simple pourtant ; surtout si l’on considère que, en plus de ses textes fondamentaux, et de ses principaux sites internet, elle est très limitée l’information bibliographique ou journalistique sur laquelle on peut compter. [/size]
[size=18]En revanche, ils sont nombreux, encore, les témoignages, de première main, qu’on peut recueillir auprès des témoins ayant vécu, de l’intérieur, les dernières années de ce mouvement, à Mexico. A travers ces témoignages on peut reconstituer assez facilement l’atmosphère qui régnait dans ses enceintes que beaucoup appelait, à tort, temples. Là où en plus de « recevoir » les catedras divinas se produisaient toutes sortes de prodiges et guérisons « miraculeuses ».[/size]
[size=18]Des guérisons réelles, paraît-il, des guérisons surprenantes qui étaient données par les « facultades » qui, par centaines, exerçaient dans toutes les enceintes. Des guérisons qui se réalisaient, au début, en utilisant tout l’attirail habituel de la médecine indigène du Mexique et qui petit à petit commençaient à devenir plus subtiles et moins « matérielles ». (A la fin des années 40, dans les enceintes les plus développées, et les plus fidèles aux commandements du Troisième Testament, on se servait presque exclusivement d’eau simple, et de la prière).[/size]
[size=18]Il faut dire que c’est au sein de ce mouvement que se sont formés beaucoup des guérisseurs que l’on a faussement associés à la tradition dite « chamanique ». Celle-ci a été, logiquement, l’une des questions qui divisaient, depuis des années, le Spiritualisme Trinitaire Marial. Parce que depuis le début des révélations il a été dit que « les guérisons matérielles » seraient seulement transitoires, une simple façon de montrer « au peuple », imprégné encore de fanatisme, qu’un temps nouveau était arrivé.[/size]
[size=18]Une manière, aussi, de montrer au « peuple d’Israël par l’esprit » que les hommes étaient dotés du « don de guérison », et que, en le développant, tous pouvaient ressembler à leur « Maître » dont l’unique finalité, au moment de guérir les malades, aurait été celle d’apprendre à ses disciples à faire de même. « Tout ce que vous voyez que je fais, vous aussi, vous pouvez le faire ». D’après les témoignages, cet exercice aurait éveillé l’ambition matérielle et mondaine de quelques-uns des adeptes.[/size]
[size=18]Et tout ça à l’encontre du commandement clair et précis de ne pas « matérialiser », dans tous les sens, les guérisons. En tout cas, il paraît que celui-ci a été un facteur de division important au sein du Spiritualisme Trinitaire Marial, surtout dans le décennie cruciale des années 40, dans laquelle se sont définis les faits et les circonstances qui ont produit le schisme qui diviserait, en 1950 et jusqu’à nos jours, ce mouvement qui, selon ses propres récits, était appelé à être porteur d’une nouvelle renaissance spirituelle pour l’humanité.[/size]
[size=18]Les faits sont plus ou moins connus : le 17 décembre 1950, c’est à dire 14 jours avant la fin de la période établie très clairement dans les textes du Troisième Testament pour l’accomplissement de ces « révélations à travers l’entendement humain », une partie majoritaire a prétendu recevoir une catedra divina, dans laquelle l’inspirateur de toutes les révélations antérieures faisait marche arrière dans son commandement et permettrait que ces pratiques continuent indéfiniment. [/size]
[size=18]La partie restante, par contre, acceptant que les révélations «à travers de l’entendement humain» devaient finir inévitablement le 31 décembre 1950 s’est résigné à se passer de ces rassemblements « toujours joyaux et toujours très nombreux » et après la réception de cette dernière catedra, s’est donnée la tâche de rassembler les quelques 3000 autres qui ont commencé à arriver de toutes les enceintes (de Mexico et d’ailleurs) où elles ont été reçues. [/size]
[size=18]Paradoxalement la plus part d’entre elles venait des enceintes refusant d’arrêter ce genre de communications, puisque ses dirigeants ont voulu effacer ainsi toute trace du commandement clair et précis de tenter, et accepter, à partir du 1ier janvier 1951, l’accomplissement de l’autre très importante prophétie du Troisième Testament : la communication « d’esprit à Esprit ».[/size]
[size=18]Cette partie minoritaire du Spiritualisme Trinitaire Marial a réalisé un énorme travail de sélection et d’épuration des toutes les catedras reçues, jusqu’à les rassembler et fusionner, en 366 Enseignements, qui ont été édités par la première fois, comme on l’a dit, à Mexico en l’année 1956. Il s’agit, jusqu’à nos jours, d’une édition absolument artisanale de 12 volumes, qui malgré leur modestie a réussi à faire connaître ce texte qui devrait être connu plus largement, analysé et discuté, tel qu’il le mérite, vue sa qualité et son éventuelle transcendance. [/size]
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