Un titre un peu provocateur pour une série de réflexions.
En Belgique, un jeune homme de 21 ans a été tué par son ex-beau-père, alors qu'il s'interposait entre lui et sa mère pour la protéger.
L'ex-compagnon n'avait pas supporté la rupture ni que l'objet de ses désirs lui trouve bien vite un remplaçant.
Il a tenté de l'étrangler. Il avait prévu de la tuer puis de se suicider.
Et comme Luca, son fils, voulait l'en empêcher, il s'est fait poignarder et en est mort.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'assassin considérait son ex, non seulement comme l'objet de ses désirs, mais son objet tout court : elle ne peut pas être à moi, elle ne sera à personne.
Il voyait son ex-femme comme sa propriété.
En août 21, la directrice de la course Spa-Francorchamp a été assassinée par son mari duquel elle venait de se séparer. Elle avait une relation sentimentale avec une autre femme. Le mari a tué sa femme, la maîtresse de celle-ci puis s'est suicidé.
Est-ce qu'il y a une propension, chez ces messieurs a considéré les dames comme des "conquêtes" et leur propriété ?
Bien sûr que des femmes jalouses, maladivement jalouses, ça existe.
Mais je vois davantage, dans l'actualité, de cas d'homme supprimant leur (ex) compagne, voire parfois leurs enfants, dans cette optique :
si elle n'est pas à moi, elle ne sera à personne d'autre, que de femmes trucidant leur (ex)-compagnon.
Que peut-on mettre en place pour éduquer les mentalités ?