D'où vient le mal ?

Une vidéo doit être accompagnée d'un résumé, ne serait-ce qu'une phrase.

J'ai bien mis une phrase dans la case prévue à cet effet mais elle n'est pas apparue .

C'était : " Des réflexions intéressantes de Mr Daniel Sibony " .

Tchar a raison et "réflexions intéressantes" n'est pas un résumé.
Il faut un résumé du contenu pas un titre.
Merci de nous en donner un dans votre prochain message

D'accord !

Je trouve la réponse "psychanalytique" de mr Sibony très intéressante et pertinente . J'en recommande

le visionnage à toute personne s'intéressant ,se questionnant sur la présence évidente du mal en notre

monde terrestre .

Le mal vient de l'ignorance qui elle vient d'esprits distincts primaires qui n'ont que le germe d'une âme .

Dogiraudet a écrit:

D'accord !
Je trouve la réponse "psychanalytique" de mr Sibony très intéressante et pertinente . J'en recommande
le visionnage à toute personne s'intéressant ,se questionnant sur la présence évidente du mal en notre
 monde terrestre .

Ah ben je suis peut-être compliqué, mais ça ne me donne pas envie de visionner (ce qui est toujours plus contraignant que simplement lire quelque chose). Ca ne donne aucune idée de ce qu'il raconte, hormis que c'est "psychanalytique".

En fait Tchar il part de l'exemple de cette sorte de mal absolu qu' a représenté le nazisme et à partir

de cet exemple il développe le problème des questions identitaires collectives ou individuelles qui mènent à l'apparition du mal au sein du monde humain .

Ce qui est bien, n'est pas mal. Ce qui est mal, n'est pas bien.
Est-ce qu'il y a un seuil précis où nous pouvons dire, en haut de ce seuil, c'est bien, en bas c'est mal.
Est-ce qu'il y a une zone tampon ou une zone grise où le bien et le mal sont impossibles à déterminer?
Depuis la nuit des temps, l'humanité se fixe un seuil pour savoir si cela est bien ou mal.
Mais ce seuil varie suivant le temps, les cultures, les connaissances.
Ce seuil est un seuil terrestre. Il ne faut pas oublier la zone grise qui s'élargit de plus en plus avec le temps et les connaissances.
Cette zone grise, en s'élargissant, empiète sur le bien et sur le mal.
Qu’est-ce que le bien, qu’est-ce que le mal?
Le bien est, quand le mal est. Le bien existe, implicitement, par la découverte du mal. Chacun s'approprie le bien en supposant que l'autre possède le mal ...et vice versa.
Qu'est-ce qui en résulte? Admettre que le bien et le mal font partie de l’humanité. Que l’on peut faire le bien ou le mal soit par action ou par omission.
Qu’est-ce qui est bien, qu’est-ce qui est mal. Cela dépend du contexte où l'on se trouve. Par exemple, dans la nature, le gros mange le  petit, la procréation
appartient aux  plus forts génétiquement, le code génétique s'adapte aux contraintes naturelles, les riches et puissants contrôlent les faibles et pauvres.
Tout cela se résume par une "idée d'ordre". Je dirais que le bien et le mal ne s'appliquent  même pas ou bien n'existent pas dans ce contexte.
C'est tout simplement une question de survie. Tout cela fait partie du monde. D'un autre côté, le fait d'aimer ses ennemis, si l'on vous frappe sur la joue, tendre l'autre,
la main droite doit ignorer ce que fait la main gauche, sacrifier sa vie pour sauver celle des autres et le plus souvent des faibles et des pauvres,  
suppose que cela est un "ordre d'idée". Tout ce contexte ne fait pas parti du monde mais, d'un monde.
 Le bien et le mal prennent forme quand ces deux mondes ou bien "l'ordre d'idée et l'idée d'ordre" coexistent pour faire l'humanité.

Dieu a créé l'arbre de la connaissance du bien et du mal, avant de créer Adam et Eve, donc le mal existait déjà, l'arbre existait déjà.

On parle d'arbre, pas d'arbrisseau.

Dogiraudet a écrit:

En fait Tchar  il part de l'exemple de cette sorte de mal absolu qu' a représenté le nazisme et à partir de cet exemple il développe le problème des questions identitaires collectives ou individuelles qui mènent à l'apparition du mal au sein du monde humain .

Bon, j'ai visionné. En bref, il tourne autour du phénomène appelé totalitarisme, sans jamais le nommer, et sans remarquer ce qu'Hannah Arendt a bien mis en évidence (même si elle a beaucoup grossi les traits) : à la base il y a une idéologie qui doit conquérir le monde, de gré ou de force, pour faire son bonheur. D'où les multiples convergences et parfois connivences entre nazisme, communisme, et aussi islamisme.

Sur la soumission aux ordres inhumains, il aurait pu citer l'expérience archi-classique de Stanley Milgram. (https://bouquinsblog.blog4ever.com/soumission-a-l-autorite-stanley-milgram)

Et le Marquis de Sade, là-dedans ?

Tu as raison, je ne vois pas le rapport.