Titre : Canular téléphonique
Écrit le 14.04.2007
Les opérateurs pakistanais de téléphonie mobile ont été submergés d'appels de clients paniqués par un message faisant état d'un virus mortel transmis par le biais des téléphones portables.
La rumeur a été prise si au sérieux que certaines mosquées ont même annoncé que ce virus avait fait des morts et que les propriétaires de téléphones devaient craindre la colère divine.
Les auteurs de ce canular affirmaient pour leur part que ce virus avait fait 20 morts.
On dénombre 52 millions d'utilisateurs de portables parmi les 160 millions de Pakistanais.
----------------------------------------------------------------
Titre : Hindou dingue
Écrit le 13.04.2007
Il n'a pas la langue dans sa poche, ni dans sa bouche d'ailleurs. Après avoir prié la déesse Kali dans un temple de la banlieue de Jammu, un jeune fermier indien a sectionné une partie de son organe pour la remettre au prêtre.
Suresh Kumar, qui a entre 20 et 30 ans, avait auparavant rédigé une note à l'attention de la police: "J'avais promis, si mon voeu se réalisait, d'offrir ma langue à la déesse Kali". Le jeune homme ne précisait cependant pas quel était ce souhait, a rapporté le commissaire Zahid Manhas.
Après ce sacrifice, Suresh Kumar saignait tellement que les policiers l'ont conduit à l'hôpital, où les médecins lui ont recousu la langue. Ils ne pouvaient pas dire dans l'immédiat si l'agriculteur pourrait de nouveau parler.
Dans l'hindouisme, Kali est la déesse de la mort. Elle est souvent représentée en train de tuer des démons
-----------------------------------------------------------------
Titre : Rite religieux ou pas ?
Écrit le 04.04.2007
Cinq corps décomposés, peut-être ceux d'un couple et de leurs enfants qui seraient morts l'un après l'autre au fil des années, ont été retrouvés dans une habitation au Japon, ce qui suscite des spéculations dans les médias quant à certains rites mortuaires religieux.
La police n'a pas été en mesure d'identifier ces corps pour partie momifiés, pour partie déjà à l'état de squelettes, qui gisaient sur le dos allongés sur des matelas dans une maison d'Omuta, dans l'île de Kyushu.
Selon les médias nippons, il pourrait s'agir des corps d'un couple de nonagénaires et de leurs deux filles et de leur fils, qui vivaient dans cette maison.
"Ils sont morts voici vingt ans à quatre ans, l'un après l'autre", écrit le journal Yomiuri, qui cite un proche de la famille. "Ils croyaient que les morts reviendraient à la vie si on ne touchait pas à eux".
La police a déclaré qu'une autopsie serait nécessaire pour déterminer l'âge, l'identité et le sexe des corps.