Forum des déistes, athées, inter-religieux et laïques
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Forum des déistes, athées, inter-religieux et laïques
Forum de discussion. Nous accueillons toutes vos opinions et témoignages relatifs aux sujets qui vous tiennent à cœur, dans un bon climat de détente et de respect.
Sujet: Les "religions" de Babylone la Grande. Mer 4 Fév 2015 - 20:48
Rappel du premier message :
Les croyances de l'antique Babylone :
La Babylone antique
Bible:
Jérémie 51:6 "Fuyez du milieu de Babylone."
Jérémie 51:7 "Les nations ont bu de son vin, c'est pourquoi les nations continuent d'agir follement."
Jérémie 51:28, 29 "Sanctifiez contre elle les nations, les rois de Médie, ses gouverneurs et tous ses chefs adjoints et tout le pays de la domination de chacun. Que la terre tremble et soit dans une violente douleur, car c’est contre Babylone que se sont dressées les pensées de Jéhovah, pour faire du pays de Babylone un objet de stupéfaction, sans habitant."
Jérémie 51:49 "Non seulement Babylone a été la cause pour que tombent les tués d’Israël, mais encore à Babylone sont tombés les tués de toute la terre."
Jérémie 51:63 "Lorsque tu auras achevé de lire ce livre, tu y attacheras une pierre et tu devras le lancer au milieu de l’Euphrate. Et tu devras dire : 'C’est de cette façon que Babylone s’enfoncera et ne se relèvera plus à cause du malheur que je fais venir sur elle ; et à coup sûr ils s’épuiseront.' "
N.T :
Babylone la Grande dans le livre de la révélation "apocalypse"
Révélation 18:4 "Sortez d’elle, mon peuple..."
Révélation 18:17 "...ceux qui habitent la terre se sont enivrés du vin de sa fornication."
Révélation 17:16 "Et les dix cornes que tu as vues, et la bête sauvage, celles-ci haïront la prostituée et la rendront dévastée et nue, et mangeront ses chairs et la brûleront complètement par le feu. Car Dieu leur a mis au cœur d’exécuter sa pensée, oui d’exécuter leur seule pensée en donnant leur royaume à la bête sauvage, jusqu’à ce que les paroles de Dieu se soient accomplies."
Révélation 18:24 "Oui, chez elle on a trouvé le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qu’on a tués sur la terre."
Révélation 18:21 "Et un ange vigoureux a soulevé une pierre semblable à une grande meule et l’a jetée dans la mer, en disant : “ Ainsi, d’un coup, sera jetée Babylone la grande ville, et jamais plus on ne la trouvera."
Taureau androcéphale ailé En Assyrie, des taureaux androcéphales gardaient les portes des palais et des villes. Ces animaux extraordinaires étaient constitués d'un corps de taureau, d'une paire d'ailes et d'un visage humain. Ils portaient des tiares entourées d'une ou plusieurs paires de cornes. Taillés dans la pierre, ces bêtes fabuleuses étaient des génies bienveillants, protecteurs des villes assyriennes. Ils pouvaient mesurer plus de quatre mètres de haut. Les taureaux androcéphales sont une caractéristique de l'art assyrien durant le Ie millénaire avant notre ère.
Auteur
Message
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 11:23
L'idolâtrie dans les religions
BIBLE
Ex 20.4, 5; De 5.8, 9
Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.
Deutéronome 4.15/18 Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Eternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux, la figure d’une bête qui rampe sur le sol, la figure d’un poisson qui vive dans les eaux au-dessous de la terre.
Deutéronome 29:16 Vous savez de quelle manière nous avons habité dans le pays d'Égypte, et comment nous avons passé au milieu des nations que vous avez traversées. 17 Vous avez vu leurs abominations et leurs idoles, le bois et la pierre, l'argent et l'or, qui sont chez elles.
C'est un culte rendu aux démons. 1 Corinthiens 10.14 à 22
Vous ne vous ferez point d'idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elles, car je suis l'Eternel, votre Dieu. Lévitique 26:1
Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient en même temps leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. 2 Rois 17:33
2 Corinthiens 6.14/17 :
Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres? Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle? Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles?
On apporte de Tarsis des lames d’argent, et d’Uphaz de l’or, L’ouvrier et la main de l’orfèvre les mettent en œuvre; Les vêtements de ces dieux sont d’étoffes teintes en bleu et en pourpre, Tous sont l’ouvrage d’habiles artisans. Jérémie 10:9
Les idoles des nations sont de l’argent et de l’or, Elles sont l’ouvrage de la main des hommes. Psaumes 135:15
«Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.» (Exode 20:3-6)
Jérémie 50:8 Fuyez de Babylone, sortez du pays des Chaldéens, Et soyez comme des boucs à la tête du troupeau!
Apocalypse 18:4
Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux.
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 11:30
L'idolâtrie dans les religions
Hindouisme, Bouddhisme, islam et la Chrétienté = Babylone
Chapelets
Genèse (11, 1-9) - La tour de Babel
Gravure Gustave Doré la Bible Ancien Testament La tour de Babel
La Genèse Gn 11:1- Tout le monde se servait d'une même langue et des mêmes mots. Gn 11:2- Comme les hommes se déplaçaient à l'orient, ils trouvèrent une vallée au pays de Shinéar et ils s'y établirent. Gn 11:3- Ils se dirent l'un à l'autre : Allons ! Faisons des briques et cuisons-les au feu ! La brique leur servit de pierre et le bitume leur servit de mortier. Gn 11:4- Ils dirent : Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet pénètre les cieux ! Faisons-nous un nom et ne soyons pas dispersés sur toute la terre ! Gn 11:5- Or Yahvé descendit pour voir la ville et la tour que les hommes avaient bâties. Gn 11:6- Et Yahvé dit : Voici que tous font un seul peuple et parlent une seule langue, et tel est le début de leurs entreprises ! Maintenant, aucun dessein ne sera irréalisable pour eux. Gn 11:7- Allons ! Descendons ! Et là, confondons leur langage pour qu'ils ne s'entendent plus les uns les autres. Gn 11:8- Yahvé les dispersa de là sur toute la face de la terre et ils cessèrent de bâtir la ville. Gn 11:9- Aussi la nomma-t-on Babel, car c'est là que Yahvé confondit le langage de tous les habitants de la terre et c'est de là qu'il les dispersa sur toute la face de la terre.
The Religions of Babylon
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 11:34
L'origine païenne de l'Islam.
Le terme "Allah", comme le Coran lui-même en est témoin, est bien connu dans la période pré-islamique
En effet, tant le terme "Allah" et son l'homologue féminin à l'époque "Allat" n'étaient pas rares parmi les noms théophores safaïtiques en Arabie du Nord.
Lorsque, en d'autres termes, la révélation coranique a commencé à utiliser ce mot, il n'a pas été l'introduction d'un nouveau nom de Dieu qui était étranger aux oreilles des arabes contemporains, les historiens ont démontré que Allah désignait le chef de la kaaba (sorte de panthéon se situant à la Mecque) , et c'était l'appelation donnée à un des "360 dieux [un pour chaque jour de l'année] " vénérés par les arabes païens et ceci avant la venue de Mohamed.
Dans la tradition païenne en Arabie, "le dieu lunaire" était communément appelé "Allah", c'est-à-dire le chef ou le dieu élevé parmi les dieux qui étaient adorés par la société pré-islamique et il était associé à trois autres divinités.
En voici la preuve:
le père de Mohammed qui était le gardien de la ka'ba à la Mecque s'appelait Abd'Allah ce qui signifie "serviteur de Dieu". En effet, "Allah" équivau au français "Dieu"; bien qu'il s'agisse d'un titre et non pas du nom de Dieu. Il n'était pas rare qu'en Moyen-Orient "ce mot d'origine sémitique" soit employé pour désigner une ou plusieurs divinités païennes (soit "dieu" ou "dieux").
Un peu d'histoire et géographie démontrant l'origine païenne l'Islam original (ce qui est encore le cas aujourd'hui)
Parmi les prescriptions faites par le Coran en matière de culte, beaucoup ne font que restaurer de vieilles traditions sémitiques conservées pendant des millénaires dans le désert, parfois transformées par le contact des Arabes avec les judéo-chrétiens. Les symboles tels que le symbole du croissant de lune qui peut être trouvé sur le sceau d'impressions, de stèles, de la poterie, des amulettes, tablettes d'argile, les bouteilles, poids, boucles d'oreilles, colliers, mur de peintures murales, etc ..., les temples et les rituels de l'islam moderne, ont été pratiquées par les polythéistes avant que Mohammed naisse.
Partout dans le monde antique, Les archéologues ont découvert des temples du dieu lune dans tout le Moyen-Orient. La religion dominante de l'Arabie était le culte du "dieu lune" qui avait d'ailleurs reçu la nomination "Allah" ( le Dieu ). Au sud de l'Arabie les archéologues ont même découvert le Temple de Hureidha (un temple dédié au "dieu lune").
Au moment ou la troupe de syrus voulait traverser la Mer Rouge pour aller vers l'Egypte, ils ont créé un temple du feu à la Mecque, qu'on le nomme aujourd'hui la " Kaaba Muhammadienne ", les iraniens l'ont nommé " l'endroit de feu " (ateshgah) et c'était un lieu sacré pour les Iraniens dont la religion était le zoroastrisme mais qui fut plus tard influencé par les pratiques religieuses babyloniennes, comme c'était le cas dans tout le Moyen Orient.
Ateshgah de bakou (Azerbaïdjan)...........Ka'aba de Zoroastre ( Iran )
Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 ka'bas dans la péninsule arabique, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.
(Remarque : lorsqu'un musulman prie où qu'il se trouve il se tourne toujours vers la ka'ba alors que la Bible nous dit que la demeure de Dieu sont les cieux spirituels et non un endroit précis sur Terre. La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétienne. Puis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu ancestral d’un culte païen. L’importance de ce lieu chez les musulmans s’affirme avec le pèlerinage de la Mecque (le hadj), un des cinq piliers de l’Islam.).
D'après la version musulmane la ka'aba (الكعبة) à la Mecque signifierait cube en arabe, mais la Ka'aba elle-même est l’ancienne " Kaabou ", du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l'al-'Uzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité.
La principale divinité du temple était le "dieu lune" aussi connu comme "Hubal"; les trois filles, al-Lat, al-Uzza et Manat sont parfois représentées avec "le dieu lune" avec un croissant de lune au-dessus d'eux. L'une des principales divinités de ce temple était également "Baal" et la lune sous le symbole de la déesse Astarté présentée comme sa campagne, leur union était censée assurer la fertilité pour l’année. Le terme habBa‛al (le Baal) est appliqué au faux dieu Baal. L’expression habBe‛alim (les Baals) se rapporte aux diverses divinités locales considérées comme les propriétaires ou les possesseurs d’endroits particuliers où elles exercent une influence.
Dans le Moyen Orient Baal était considéré comme le propriétaire du ciel, considéré par ses adorateurs comme celui qui donnait les pluies et la fertilité, pour cette raison le prophète Élie ordonna une sécheresse au nom de Yahvé (1R 17:1). Après trois années et six mois, Baal s’étant révélé incapable de mettre un terme à la sécheresse en réponse aux nombreuses suppliques que ne manquèrent pas de lui adresser ses prêtres et ses adorateurs, Élie convoqua tout le peuple au mont Carmel afin qu’il soit témoin d’une grande épreuve qui déterminerait qui est le vrai Dieu. À l’issue de cette épreuve, les adorateurs de Baal furent humiliés et 450 prophètes de Baal tués. Yahvé, et non Baal, fit ensuite pleuvoir pour mettre fin à la sécheresse. — 1R 18:18-46 ; Jc 5:17.
A la kaaba, on a trouvé une multitude de symboles du croissant de lune et pas moins de vingt et un inscriptions avec le nom du "dieu Lune".
Le croissant de lune, symbole du "dieu lune" fut plus tard adopté par les musulmans comme signe général de l'Islam se trouvant encore aujourd'hui en haut des mosquées et des minarets.
Le culte des pierres dans la société arabe préislamique et l'actuelle " Pierre Noire " de la Ka'ba.
La Pierre Noire était scellée au coin de la Ka'ba dans le temple de La Mecque bien avant l'Islam. C'était une idole particulière car « venue du ciel » ( une météorite ou un bétyle ).
Le culte préislamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n'est pas isolé dans l'Antiquité : on peut citer la pierre noire d'Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c'est sous la forme d'un bétyle qu'en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome.
Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l'objet de la vénération des fidèles, telles l'Artémis de Sardes ou l'Astarté de Paphos. En Arabie ce n'était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société préislamiques, par exemple la "pierre rouge" était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman ou la "pierre blanche" dans la Kaaba d'al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
[size=150]Quand Mahomet détruisit les 360 idoles contenues dans la Ka'ba, il conserva toutefois la « Pierre noire » , en déclarant qu'elle était un ancien cadeau de Dieu. C'est ainsi que cette pierre aurait le pouvoir surnaturel d'absorber les péchés de celui qui la touche, d'où sa couleur noire, alors qu'à l'origine elle aurait été blanche[/size].
Sachant que la « Pierre noire » était une pierre vénérée par toutes les tribus le fait d'avoir voulu garder la « Pierre noire » cela avait pleinement un but politique de rapprocher ainsi les différentes tribus. La preuve c'est que Mahomet a accepté l'éminence et l'intercession des idoles des Quoriche afin de connvertir ces derniers en son propre rite.
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 11:37
MITHRAS – Originalement Persan (plus tard adoré en Inde et à Rome)
Le Mithriacisme qui est en général le nom donné à l'époque romaine ,mais Mithra est une divinité bien plus ancienne . A l'origine, ce Dieu était révéré par les iraniens, il s'agissait alors d'un Dieu bienveillant qui protégeait les justes. Du fait de cette origine indo-iranienne, on le retrouve dans l'Hindouisme aux cotés d' Indra , dont il possède les attributions guerrières. Pour la même raison, Mithra est présent dans le Zoroastrisme, où Ahura Mazda intègre certains aspects majeurs du Mithra indo-iranien, et dans le Manichéisme.
Le Mithraïsme fut introduit en Occident au premier siècle après Jésus-Christ par les Romains et devint très populaire au sein de l'armée et de la classe marchande , La première allusion romaine à Mithras date de 96 après J.C. Ce culte s'est répandu tout d'abord à Rome, ensuite dans toute la péninsule puis dans tout l'empire où ces transplantations donnèrent lieu à des syncrétismes locaux. Les temples dédiés à ce Dieu, les mithraeum, vont s'édifier du II ème au VI ème siècle sur toute l'étendue de l'empire romain.
L'histoire de mithra :
Mithra naquit dans une caverne, le 25 Décembre, d'une mère vierge. Il vint du Ciel pour naître en tant qu'homme, pour racheter les péchés des hommes. Il était connu en tant que "Sauveur", "Fils de Dieu", "Racheteur" et "Agneau de Dieu".
Avec douze disciples il voyagea loin et beaucoup en tant qu'enseignant et illuminateur des hommes. Il fut enterré dans un tombeau d'où il s'éleva des morts – un événement célébré annuellement avec beaucoup de réjouissement.
Le conflit mithraisme /christianisme :
Le culte mithraïque fut le plus sérieux rival des débuts du christianisme, se répandant depuis la Syrie, l'Anatolie et la Phrygie partout dans l'empire romain .
Le besoin d'unir le paganisme et le christiannisme :
Pour apporter la paix interne à l'Empire, l'Empereur Constantin donna statut officiel au Christianisme, .il a déclaré le Christianisme comme étant la religion de l'état (Constantin a forcé tous les païens de son empire à être baptisés dans l'église romaine),mais constantin savai qu'il y avait un besoin d'unir le paganisme et le Christianisme.
L'église romaine corrompue était remplie de païens convertis d'apparence maintenant mascaradant comme Chrétiens, qui tous devaient être pacifiés. Quelle meilleure façon de "Christianiser" leurs idolâtries païennes. Ainsi, les religions Babyloniennes mystérieuses fut introduites par Constantin débutant en 313 A.V. (et établirent une position avec le conseil de Nicaea en 325 A.V.).
Constantin et l'église romaine : corruption du christianisme pour le rendre plus savoureux au païens convertis par la force :
le Christianisme a dû subir une transformation pour que Rome païen puisse se "convertir" sans pour autant abandonner ses anciennes croyances et rituels.
L'effet actuel était de paganiser le Christianisme officiel. "Une religion combinée avait été fabriquée, de laquelle... le Christianisme fournissait la nomenclature, et les doctrines et droits du Paganisme.
L'introduction des doctrines païennes et des fêtes païennes :
Les fêtes Païennes fût reclassifiées comme des fêtes Chrétiennes.
En 375 A.V., l'Église de Rome sous le Pape Julius 1 annonça simplement que la datte de naissance du Christ fût "découvert" être le 25 décembre, et était accepté comme tel par les "fidèles". Le festival de Saturnalia et l'anniversaire de Mithras pouvaient maintenant être célébrés comme l'anniversaire du Christ!).
Quant aux statues, la nudité païenne fut couverte avec le costume d'une Christianité déformée" (W.E. Vine). Les coutumes Païennes impliquant vêtements, chandelles, encens, images, et processions étaient toutes incorporées dans l'adoration de l'église et se poursuivent aujourd'hui même.
Les rituels Païens et idoles prirent des noms Chrétiens (e.g., Jésus-Christ était présenté comme le soleil de la divinité - Malachi 4:2 - remplaçant le Dieu du soleil Sol Invictus).
Les païens adhérent au christianisme :
Les païens sont venus en masse dans les endroits Catholiques d'adoration, ils étaient en effet encore capables d'adorer leurs dieux, mais simplement sous de différents noms.
Cela leur importait guère s'ils adoraient la déesse mère Égyptienne et son enfant sous les anciens noms (Isis et Horus), ou sous les noms de la "Vierge Marie" et "l'enfant Christ." D'une façon ou l'autre, c'était la même ancienne idole-religion .
Conclusion :
Ce qui est clair c'est que la doctrine chrétienne d'aujourd'hui est un parfait mélange entre les religions païennes de Rome et de la pure foi de Jésus et de ses apôtres .
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 11:40
les symboles, l'invocation des saints, la Trinité, la mère et l'enfant qui est Sémiramis avec son enfant, etc, ont pour origine Babylone qui du temps de Rome était le Mithraïsme avec sa trinité païenne.
Quels sont les théologiens qui ont été les premiers à employer le mot “trinité” dans leur œuvre de ‘construction’ doctrinale ?
L’Encyclopédie Catholique répond: “Jusqu’à présent on n’a trouvé dans l’Écriture aucun terme particulier qui englobe les trois Personnes divines. Le mot trias (dont trinitas est la traduction latine) se rencontre pour la première fois chez Théophile d’Antioche vers 180 ap. J.-C. (...) Peu après, il apparaît sous sa forme latine, trinitas, dans les œuvres de Tertullien.”
Cependant, la triade de Théophile se composait de ‘'Dieu", de Sa Parole et de Sa sagesse. Elle n’avait donc qu’un lointain rapport avec celle de la "chrétienté" ! Quant à Tertullien, la même encyclopédie explique que “son enseignement trinitaire est incohérent”, entre autres choses parce que d’après lui “il fut un temps où le Fils n’existait pas”. Par conséquent, le moins que l’on puisse dire, c’est que contrairement à la "chrétienté" contemporaine ces deux hommes ne voyaient pas en Dieu un Père, un Fils et un Saint-Esprit coéternels.
Pourtant, le mot “trinité” est resté. Par la suite, les théologiens ont "construit" pierre à pierre la doctrine qu’elle désigne actuellement. Mais l’ont-ils bâti sur le fondement de la Bible ou sur celui de la théologie philosophique ? L’Encyclopédie britannique penche pour la seconde hypothèse. Voici ce qu’on y lit: “La théologie chrétienne a choisi la métaphysique [ou philosophie] néo-platonicienne de la substance et des hypostases [essences ou natures] comme point de départ pour interpréter le rapport qui existe entre le ‘Père et le Fils’.” Le problème majeur des théologiens était de présenter “Dieu le Père”, “Dieu le Fils” et “Dieu le Saint-Esprit” non comme trois Dieux, mais comme un seul. Pendant des années, ils se sont disputé pour savoir si les personnes de la Trinité étaient de substance semblable (en grec homoïousia) ou de même substance (homoousia). Cette controverse a été tranchée (par un "vote" !) en faveur de l’homoousia au concile de Nicée, en 325, puis à celui de Constantinople en 381.
L’Encyclopédie britannique poursuit ainsi: “Dès le début, les deux parties en présence [à Nicée] ont pris pour cheval de bataille le concept néo-platonicien de la substance, qui était étranger au Nouveau Testament.
Le Dictionnaire de théologie catholique, un ouvrage de référence en 15 volumes, avoue: “Il semble incontestable que la révélation du mystère de la Trinité n’a pas été faite aux Juifs.”
Les symboles:
Partout dans l'histoire, que ce soit les Babyloniens et les autres nations païennes, tous avaient des symboles pour identifier leur croyance a un dieu triple.Voici ce les l'archéologie nous dévoile.
Trimurti, la trinité hindoue
Ici les traces de Babylone partout dans le monde.
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 11:43
Le complot du nouvel ordre mondial les Bilderbergs dans l'apocalypse
Le plan du nouvel ordre mondial et ses marchands de Babylone la grande.
l'antichrist de l'apocalypse
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 11:45
Babylone la grande
« Quand les hommes diront "paix et sûreté!", c'est alors qu'une ruine soudaine fondra sur eux comme les douleurs sur la femme enceinte, et ils n'y échapperont pas. » 1Th 5 3
manou Exégète
Nombre de messages : 4084 Age : 43 Localisation : suisse Date d'inscription : 24/06/2012
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 12:01
moi je trouve qu'il a super bien travaillé c'est un exposé complet, imagé, expliqué. je lirais tout mais cela prendra du temps car c'est un sujet très intéressant.
je voudrais arlitto, que tu t'intéresse aussi au monde des djinns cela pourra compléter ton exposé. et tu y trouvera des choses qui t'intéresseront sûrement.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 12:37
manou a écrit:
moi je trouve qu'il a super bien travaillé c'est un exposé complet, imagé, expliqué. je lirais tout mais cela prendra du temps car c'est un sujet très intéressant.
je voudrais arlitto, que tu t'intéresse aussi au monde des djinns cela pourra compléter ton exposé. et tu y trouvera des choses qui t'intéresseront sûrement.
T'inquiète pas, il n'y a rien de personnel, ça vient de la grande secte satanique américaine qui inonde le net de ce genre de propos contre toutes les religions. Sinon, il insulte ton prophète et tu applaudis ? j'ai du mal de te comprendre ... Si tu veux en avoir la preuve, la prochaine fois que tu vois des témoins de jéhova, tu leur demande leur brochure sur les religions et tu verras par toi-même le copier-coller
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 13:51
Je pense que tu as raison Jayrâm, son discours et sa documentation ressemblent beaucoup à ceux d'un TJ.
Loganj Exégète
Nombre de messages : 12270 Age : 56 Localisation : Flandres Romanes . Date d'inscription : 19/11/2013
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 14:04
C'est quoi , c'est une maladie d'être avec Jéhovah Dieu qui met en garde contre tous les maux ? elle est bonne .
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 14:25
jayrâm a écrit:
T'inquiète pas, il n'y a rien de personnel, ça vient de la grande secte satanique américaine qui inonde le net de ce genre de propos contre toutes les religions. Sinon, il insulte ton prophète et tu applaudis ? j'ai du mal de te comprendre ... Si tu veux en avoir la preuve, la prochaine fois que tu vois des témoins de jéhova, tu leur demande leur brochure sur les religions et tu verras par toi-même le copier-coller
Tu racontes n'importe quoi et en plus tu mens, je ne suis pas du tout TJ, la principale partie de mon travail est tirée de l'excellent ouvrage "Les deux Babylones" d'Alexander Hislop et ne vient en aucun cas de la littérature des TJ.
Mais, je vois que tu transpires la haine par apport aux TJ, je suis persuadé que tu es apostat pour avoir autant de haine envers eux. Moi, je n'en connais aucun, alors, au lieu d'insulter ma personne, venez plutôt, si vous le pouvez contredire ce que j'affirme ici, qui est irréfutable. CQFD !.
Stop au HS. Merci
.
manou Exégète
Nombre de messages : 4084 Age : 43 Localisation : suisse Date d'inscription : 24/06/2012
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 14:31
jayrâm a écrit:
manou a écrit:
moi je trouve qu'il a super bien travaillé c'est un exposé complet, imagé, expliqué. je lirais tout mais cela prendra du temps car c'est un sujet très intéressant.
je voudrais arlitto, que tu t'intéresse aussi au monde des djinns cela pourra compléter ton exposé. et tu y trouvera des choses qui t'intéresseront sûrement.
T'inquiète pas, il n'y a rien de personnel, ça vient de la grande secte satanique américaine qui inonde le net de ce genre de propos contre toutes les religions. Sinon, il insulte ton prophète et tu applaudis ? j'ai du mal de te comprendre ... Si tu veux en avoir la preuve, la prochaine fois que tu vois des témoins de jéhova, tu leur demande leur brochure sur les religions et tu verras par toi-même le copier-coller
je sais qu'il insulte l'islam, mais cela ne m’empêche pas de lire ce qu'il a exposé surtout que ces textes concernent babylone et son histoire. c'est plus tard qu'il insulte l'islam mais il faut commencer depuis le début et j'y reviendrais.
il n'a pas dit qu'il était témoin de jéhovah ni de quelle religion il est.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 19:21
Code:
je sais qu'il insulte l'islam
Dire la vérité n'est pas une insulte, si j'ai inventé une chose sur l'islam et son "prophète" que l'on me dise et me montre laquelle
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 19:29
Le Vatican poursuit un dessein satanique ( véridique )
Le paganisme dans l'église catholique
Satanisme :Le pape invoque Lucifer en plein culte au vatican
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 19:36
La musique, un moyen de propagande pour les satanistes (présentation de l'église de Satan)
Présentation de l'église de Satan créée par Anton LAVEY et de ses adeptes. Lors de leurs concerts, beaucoup d'artistes offrent un culte à Satan, il y a juste que les fans n'en sont peut-être pas toujours conscients. La musique et les médias sont un moyen de propagande pour les satanistes (ils ne s'en cachent pas d'ailleurs, voir dans la vidéo). Si l'on va au bout des choses, il s'agit d'une propagande fasciste et anti-chrétienne. Cette musique a une influence sur les personnes qui l'écoutent et sert à les endoctriner malgré eux.
BEYONCE VEUT FAIRE INTERDIRE LES PHOTOS DE SA POSSESSION AU SUPER BOWL
LES AGENTS DE BEYONCE ONT VOULU FAIRE DISPARAITRE LES IMAGES DU SUPERBOWL CAR ON LA VOIT LE VISAGE PLEIN DE HAINE ET LES YEUX NOIR COMME POSSEDÉ A LA MIS TEMPS ELLE ARRETTE DE CHANTER ET DECLARÉ AU PUBLIC VOULOIR RESSENTIR LEUR ENERGIE ELLE LANCE ALORS SA TETE EN ARRIERE ET LORSQUE ELLE LA REDRESSE ON VOIT LE VISAGE HIDEUX ET LA GORGE GONFLES LES YEUX NOIRS SIGNE DE POSSESSION RESSORTENTIR DANS LES PHOTOS VOILA POURQUOI ELLE VEUT QU'ELLE DISPARAISSENT DU WEB SA FILLE BLUE DE SANG BLEU COMME ALLUSION ON POUVAIT PAS FAIRE MIEUX BREF PAS ÉTONNANT APRÉS TOUS LES SYMBOLES DEMONIAQUES DANS SES CLIPS VOUS CROYEZ QUOI QUE C'ÉTAIT POUR LE FUN RÉVEILLEZ-VOUS /////
Le Satanisme dans l'industrie de la musique ( Rihanna, Beyonce, Lady Gaga)
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 19:43
L’enseignement le plus universellement reconnu dans la chrétienté, concernant la nature divine, est la doctrine de la « Trinité ». Aussi choquant que cela puisse paraître, cette doctrine n’est pas fondée sur la Bible.
L’origine de la doctrine sur la Trinité
En ce qui concerne la nature de Dieu, les chrétiens orthodoxes enseignent qu’Il est « un Dieu en trois personnes ». Aussi choquant que cela puisse paraître, nulle part, la Bible n’enseigne la Trinité, quoique ce concept touchant à la nature de Dieu soit le plus répandu parmi ceux qui se considèrent chrétiens ! En fait, le terme « trinité » n’apparaît pas même une seule fois dans la Bible. Dans ces conditions, quelle est l’origine de cet enseignement, et comment en est-il arrivé à être universellement adopté ?
Environ trente ans après la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, Jude, le plus jeune parmi les demi-frères de Jésus (fils de Joseph et de Marie), exhorta les frères « à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes » (Jude 3).
Il est donc manifeste que la véritable foi chrétienne avait déjà été dispensée, avant la rédaction de l’Epître de Jude. Jude expliqua, que des hommes impies s’étaient introduits secrètement dans l’Eglise, et qu’ils avaient déjà commencé à tordre les véritables doctrines données par Jésus-Christ à Ses disciples.
Des érudits catholiques admettent même que Tertullien (150-225 apr. J.-C.) fut le premier écrivain à utiliser le terme de « trinité ».Si cet enseignement fondamental concernant la nature de Dieu était exact, pourquoi ne fut-il pas révélé 150 ans plus tôt, après la crucifixion et la résurrection de Jésus-Christ ?
Pour quelle raison cette doctrine ne fut-elle pas enseignée et expliquée par les premiers disciples du Christ, y compris l’apôtre Paul ? Comme nous le verrons plus loin, ceux-ci donnaient, en réalité, une explication tout à fait différente de la nature du véritable Dieu !
Au cours des IIème et IIIème siècles, il n’y avait pas seulement une seule hérésie en cours, mais plusieurs qui se contredisaient. Il semblerait qu’à cette époque, il y eut presque autant d’idées différentes qu’il y avait d’écoles de philosophie et de professeurs. La pensée catholique prédominante, de laquelle l’enseignement orthodoxe et protestant relatif à ce sujet a jailli, n’est que l’héritière de l’hérésie qui a triomphé en supplantant toutes les autres.
L’arrière-plan de l’orthodoxie relative à la Trinité, qui a vu le jour au troisième siècle, ne vient pas du texte biblique, mais des écrits des philosophes grecs. A ce propos, The Roman Catholic New Theological Dictionary, en se référant à l’enseignement biblique traitant de la nature du Saint-Esprit, au chapitre « Trinité », admet ceci : « En tant que tel, l’Esprit n’a jamais fait l’objet d’un culte explicite dans le Nouveau Testament, et n’a jamais été non plus décrit dans les discours du Nouveau Testament, comme une entité entretenant des relations réciproques et personnelles avec le Père et le Fils » .
Plus loin, dans ce même article, des érudits catholiques modernes, discutant du fond de l’orthodoxie relative à la Trinité, reconnaissent que des influences païennes ont marqué leur théologie :
Des chrétiens […] versés dans la philosophie devenue dominante à l’époque du moyen platonisme saisirent l’occasion de déclarer et d’expliquer le message chrétien selon une façon de raisonner, qui était familière aux classes éduquées de la société hellénistique implantée partout […]
Persuadés que le Dieu qu’ils (les philosophes grecs) enseignaient était le Père de Jésus-Christ, et que le salut qu’ils proclamaient était celui de Jésus, les apologistes adoptèrent un grand nombre de points de vue hellénistes Tertullien] est connu pour avoir été le premier à employer le terme « trinité ».
Origène s’appropria la philosophie du moyen platonisme de façon plus systématique que les apologistes et que Tertullien ne l’avaient fait. Mais son « concept de la génération éternelle » n’était qu’une adaptation de la doctrine du moyen platonisme, selon laquelle le monde spirituel tout entier était éternel.
Le Fils est éternellement issu (ou engendré) de la toute existence de Dieu et, par conséquent, de l’essence même du Père, mais en second après le Père […] Origène, comme Tertullien, inventèrent un terme générique pour les « trois » de la divine triade. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont « trois hypostases » […] La contribution majeure d’Origène, dans le formulation de la doctrine de la Trinité, fut la notion d’éternelle génération. Ce terme générique désignant les « trois » (hypostases) fut ensuite adopté et affiné au quatrième siècle (page 1054).
Tertullien vécut à Carthage, en Afrique du Nord, et rompit plus tard avec Rome pour devenir Montaniste. Autrement dit, il croyait aux déclarations de deux femmes, qui prétendaient être des prophétesses. Elles entraient en transe, et saisies de gesticulations frénétiques, elles « parlaient en langues » en prétendant être le Paraclet (un terme désignant le Saint-Esprit dans l’Evangile de l’apôtre Jean), et enseignaient un message appelé la « Nouvelle Prophétie ».
Tertullien et Origène firent partie des théologiens catholiques, qui prospéraient durant la dernière partie du deuxième siècle et le début du troisième. Aucun d’eux n’avait vu le jour moins d’un siècle après la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, lors du jour de la Pentecôte. Ce sont eux qui établirent le fondement de l’enseignement catholique (et plus tard protestant) relatif à la Trinité et à la nature de Dieu – ce fondement ne vient pas des apôtres du Nouveau Testament tels que Pierre, Paul ou Jean.
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 19:47
Le Nouveau Testament n’enseigne pas la Trinité
Ayant vu que l’origine de l’orthodoxie « chrétienne » avait pris forme de nombreuses années après la rédaction du Nouveau Testament, considérons maintenant ce que nous apprend réellement le Nouveau Testament. Pour commencer, il serait utile d’examiner deux passages des Ecritures, qui sont parfois cités par les Trinitaires pour tenter d’accréditer leurs enseignements.
Premièrement, notez que certaines traductions, comme la version Osterwald et la version Segond Révisée (Colombe) en français, ou la Bible King James en anglais, contiennent un passage dans 1 Jean 5 :7, qui dit : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un. »
A première vue, ce verset semble enseigner la doctrine de la Trinité. Cependant, ce qu’il faut savoir, c’est que ce verset n’a jamais figuré dans aucun des plus anciens manuscrits grecs inspirés.
Ce verset, à l’origine, est une insertion introduite dans le texte en latin, que presque tous les spécialistes bibliques reconnaissent ! The Interpreter’s One Volume Commentary on the Bible, publié par Abingdon Press, explique qu’au cours des controverses du quatrième siècle, au sujet de la doctrine de la Trinité, le texte fut rajouté – d’abord en Espagne vers l’an 380 apr. J.-C., puis repris dans la Vulgate, qui est la version officielle de l’Eglise catholique romaine, écrite en latin (page 939).
A propos de ce verset, Bullinger’s Companion Bible note en marge du texte : « Ces mots ne figurent dans aucun manuscrit grec antérieur au seizième siècle. Ils furent d’abord trouvés en marge de certaines copies en latin. De là, ils migrèrent dans le texte ». Dans son commentaire, The New Bible Commentary Revised déclare simplement que, « ces mots ont été rajoutés, et ont été carrément exclus de certaines versions, y compris des notes en marge » (page 1269)
Il est évident que les premiers Trinitaires, de l’Eglise catholique, étaient tellement à court d’arguments bibliques pour étayer leur doctrine, qu’ils ajoutèrent tout simplement ces mots au texte original ! Ce qui, en fin de compte, n’est qu’un aveu de la nature non biblique de ce qu’ils enseignaient !
Le discours de Jésus, transcrit dans Jean 14 et 15, est une autre partie des Ecritures qui est souvent tordue, en vue de démontrer que le Saint-Esprit est une personne, au même titre que le Père et le Christ. Dans la nuit de Sa dernière Pâque, Jésus-Christ révéla à Ses disciples qu’il allait retourner auprès du Père : « Et il vous donnera un autre consolateur ». Le terme grec utilisé ici est paracletos, dont le sens se réfère à quelqu’un qui apporte de l’aide ou un support. Selon le contexte, il est clair que cela se rapporte au Saint-Esprit, que Jésus avait promis d’envoyer à Ses disciples, après Son ascension vers le Père.
Certains ont prétendu que le Saint-Esprit devrait être considéré comme une « personne » divine, parce que le pronom « il » est utilisé dans ces versets.
Cependant, la langue grecque (dans laquelle fut rédigé le Nouveau Testament), de même que de nombreuses autres langues modernes (comme l’anglais ou l’allemand, par exemple), assignent trois genres aux noms : le masculin, le féminin et le neutre. Le genre d’un nom est fixé par la langue et n’a que peu, ou rien à voir, avec le sexe ou la nature du nom.
Par exemple, le nom grec pour « petite fille » est du genre neutre, tandis que le mot « main » est du genre féminin, indépendamment du fait que cela se rapporte à une partie d’un corps de femme (en français, le mot main est également féminin et non pas masculin, même s’il s’agit de la main d’un homme). D’autre part, le mot « pied » est toujours du genre masculin. Selon les règles de la grammaire, le pronom utilisé – « il » ou « elle » en français – doit toujours s’accorder avec le nom auquel il se réfère. Il est à noter que, dans la langue française, il n’y a que le genre masculin et le genre féminin ; le genre « neutre » n’existe pas. En grec, le nom pneuma, traduit par esprit, est neutre, ]et prend toujours un pronom neutre dans les langues où le neutre existe, tandis que paracletos est masculin et demande un pronom masculin. En résumé, il faut retenir que le pronom qu’on utilise, n’est en rien une preuve que le nom auquel il est rattaché désigne une personne !
Le Saint-Esprit est une puissance qui sort de Dieu (Luc 1 :35). Il est le moyen par lequel Il créa et amena à l’existence l’univers tout entier (Psaume 104 :30). Il est la puissance par laquelle Dieu agit dans l’esprit des êtres humains, créés à Son image (Genèse 6 :3). C’est également la puissance par laquelle des boiteux remarchèrent miraculeusement, des aveugles recouvrèrent la vue, des sourds entendirent et des morts ressuscitèrent de la tombe, au cours du ministère terrestre de Jésus-Christ (Luc 5 :15-17).
La Bible décrit le Saint-Esprit de diverses façons. Le Saint-Esprit est comparé au vent. Après tout, le mot grec qui est traduit par esprit est pneuma, qui signifie « vent » ou « souffle ». Dans l’Ancien Testament, le mot hébreu équivalent est ruach, qui a exactement le même sens.
Le Saint-Esprit est aussi comparé à des eaux vives (Jean 7 :38-39). Comme l’air et l’eau sont indispensables à la vie, de même le Saint-Esprit est la source de la vie éternelle pour les chrétiens (Romains 8 :11). L’air et l’eau peuvent se mouvoir tous les deux et dégager une force, qui affecte et transforme les éléments avec lesquels ils entrent en contact, comme le Saint-Esprit.
Dieu nous accorde Son Saint-Esprit à dessein ! Il est le moyen par lequel nous pouvons participer à la puissance de Dieu, à Son attitude et à Sa pensée. L’Esprit de Dieu est destiné à transformer notre vie, par le renouvellement de notre esprit (Tite 3 :5 ; Romains 12 :2). Nous avons la faculté de devenir une nouvelle création parce que Dieu nous transforme en écrivant Ses lois dans nos cœurs et nos pensées (Hébreu 8 :10).
Quoique le Saint-Esprit joue un rôle vital en accomplissant le but divin, il n’a jamais été décrit comme une personne, contrairement à ce que sont le Père et le Christ.
Par exemple, dans les versets d’introduction de presque toutes les Epîtres de l’apôtre Paul, il y a une salutation identique à celle qui est utilisée dans Romains 1 :7 : « Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! » 1 et 2 Corinthiens, Galates, Ephésiens, Philippiens, Colossiens, 1 et 2 Thessaloniciens, et Philémon commencent tous par cette formule identique. 1 et 2 Timothée et Tite commencent par une phrase, dont la tournure est légèrement modifiée. En outre, 2 Pierre, 2 Jean et Jude commencent de la même façon. Le point à relever est le suivant : aucun des livres du Nouveau Testament ne commence par une allusion, même de loin, de salutations qui émaneraient d’une Trinité, associant le Saint-Esprit aux personnes du Père et du Christ, en tant que personnage séparé et distinct.
Dans son introduction au premier chapitre de 1 Jean, l’apôtre bien-aimé parle de l’importance de notre communion avec Dieu, et des uns envers les autres. Notez la façon dont cela est exprimé : « Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ » (verset 3). La Bible ne dit nulle part que notre communion est avec le Saint-Esprit, comme elle l’est avec le Père et avec le Christ. Au contraire, le Saint-Esprit émane du Père et du Christ, et il est à l’origine de notre communication à Dieu et des uns envers les autres. Il est le moyen par lequel le Christ vit Sa vie en nous (Galates 2 :20).
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 19:55
Dans son livre, datant de 1992 et intitulé Egyptian Religion, Siegfried Morenz écrivit [traduction] : « La Trinité était une préoccupation majeure des théologiens égyptiens » et il ajoute même « Trois dieux étaient combinés pour ne former qu’un seul être auquel on s’adressait alors au singulier. La théologie chrétienne subi l’influence spirituelle directe de la religion égyptienne ».
Le concept d'un Dieu trinitaire devint ainsi donc la doctrine de la Trinité dans l'Église catholique romaine primitive. Alors à ses débuts, la doctrine trinitaire fût l’un des principaux points doctrinaux débattus lors du tristement célèbre concile de Nicée en 325 de notre ère. Cette doctrine poursuivit son développement suite au concile de Nicée, pour finalement devenir la Trinité de la Rome pontificale incluant Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bien que par certains détails elle peut différer légèrement d’un groupe à l’autre, c’est cette même doctrine de la Trinité qu’enseignent la plupart des dénominations chrétiennes aujourd'hui. Rappelez-vous cependant, il n’est fait mention de nulle Trinité dans la Bible.
Les « versets trinitaires »
Certains aiment à présenter comme preuve de la Trinité quelques versets où les trois supposées « personnes » de la Trinité sont censément présentes. Généralement, ils commenceront par utiliser la supposé formule baptismale contenue en Matthieu 28:19. « Allez donc et instruisez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ».
Tout d’abord, il y a de fortes présomptions que la partie soulignée fut modifiée. Eusèbe de Césarée, surnommé par certain « Père de l'histoire ecclésiastique », fut un auteur prolifique qui vécut aux environs de 265 à 340 de notre ère.
L'un de ses ouvrages les plus reconnus est son Histoire Ecclésiastique, un récit qui relate l'histoire de l'Église de ses débuts apostoliques jusqu'à la période qui est celle d'Eusèbe de Césarée. Il s'agit encore aujourd'hui de la principale référence concernant l'histoire de l'Église sur cette période. Eusèbe cite de nombreux versets bibliques dans ses écrits, Matthieu 28:19 est l'un de ceux-ci. Il ne cite jamais ce verset tel qu'il apparaît désormais dans nos versions contemporaines de la Bible, mais il termine toujours le verset par les mots suivants : « en mon nom ».
Un exemple de ceci se trouve dans le Livre III de son Histoire Ecclésiastique au Chapitre 5 et à la Section 2 décrivant la persécution des leaders juifs à l'encontre de l'église apostolique. « Le reste des apôtres fut aussi l'objet de mille machinations dans le but de les mettre à mort. Chassés de la Judée, ils entreprirent d'aller dans toutes les nations, pour enseigner et prêcher avec la puissance du Christ qui leur avait dit : « Allez enseignez toutes les nations en mon nom.» (Traduction d’Émile Grapin, 1905).
De nouveau, il cite Matthieu 28:19 de la même manière dans son ouvrage Harangue à la louange de l'Empereur Constantin. « [Q]uel Roi ou quel Prince, quel Philosophe, ou quel Législateur, quel Prophète, soit Grec ou Barbare, a jamais acquis un si absolu pouvoir, et une si haute réputation, que de faire publier ses louanges durant la vie, par la bouche de tous les peuples ? Notre Sauveur a sans doute eu seul cet avantage,
lors qu'après avoir vaincu la mort, il a dit à ses Disciples : « Allez enseigner toutes les nations en mon nom » (Traduction de Louis Cousin, 1686. Chapitre 16, section 8). Les notes et commentaires qui accompagnent la très catholique Bible de Jérusalem vont en ce sens puisqu’il y est affirmé ce qui suit concernant la formule dite baptismale « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » : « Il est possible que cette formule se ressente, dans sa précision, de l'usage liturgique établi plus tard dans la communauté primitive. On sait que les Actes parlent de baptiser « au nom de Jésus », cf. Ac 1 5+, 2 38+. Plus tard on aura explicité le rattachement du baptisé aux trois personnes de la Trinité ». Ainsi, cela laisse à penser que la formule baptismale trinitaire ne se trouve pas dans le manuscrit original tel qu'il fut écrit par Matthieu.
Eusèbe qui se trouvait au concile de Nicée et qui était impliqué dans le débat visant à déterminer si le Christ était Dieu ou une créature de Dieu, n’a jamais fait usage de la formule trinitaire, mais à toujours cité le passage avec les mots suivants : « en mon nom ».
Certainement que cette formule trinitaire aurait été utilisée dans ce débat si elle avait effectivement existé. Ainsi, il semble évident que les manuscrits les plus anciens contenaient ce verset tel que l’utilise Eusèbe et que la formule baptismale que l’on connaît maintenant fut ajoutée afin de refléter la compréhension qu’avaient de ce verset et de Dieu les trinitaires.
Si Matthieu 28:19 telle que nous le trouvons maintenant était réellement ce que l’on lisait dans le manuscrit original, rien ne justifie alors la désobéissance des apôtres dont pas une seule fois il nous est rapporté qu’ils utilisèrent cette formule baptismale.
Tous les récits de baptême que nous avons dans les écrits apostoliques démontrent que les nouveaux baptisés l'étaient au nom du Seigneur Jésus Christ, ce qui corrobore les citations faites par Eusèbe de Matthieu 28:19.
Même si, à l'encontre de toute probabilité, il était fait mention du Père, du Fils et du Saint-Esprit dans le manuscrit original, cela ne suffit pas à justifier la doctrine trinitaire. La doctrine de la Trinité affirme que le Père, le Fils et le Saint Esprit forment tous ensemble « un seul Dieu ». Sans aller plus en détails, en expliquant qu’il ne s’agit pas en effet d’une formule baptismale reconnu dans le récit des Actes des apôtres, il nous suffit encore de remarquer que la présence dans un même verset de trois entités distinctes ne suffit pas à démontrer que Dieu le Père, Jésus, et le Saint Esprit constituent une trinité ou un Dieu trinitaire et qu’ils sont tous les trois égaux en substance, en puissance et en éternité. La liste de trois personnes, par exemple Jules, Nathan et Enzo, dans un même texte, quel qu’il soit, ne fait pas de ces trois individus un seul et même être.
Un autre passage fréquemment utilisé par les trinitaires se trouve en 1 Jean 5:7-8 et est communément appelé Comma Johanneum par les érudits bibliques. On peut y lire : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un. Il y en a aussi trois qui rendent témoignage sur la terre; l'Esprit, l'eau, et le sang; et ces trois-là se rapportent à une seule chose ».
Dans cette citation des Écritures, les mots soulignés sont ceux qui furent ajoutés à certains manuscrits grecs. Ils n’appartiennent pas au manuscrit original. Même les trinitaires les plus ardents sont d’accord pour admettre que la phrase précédemment soulignée est introuvable dans les plus anciens manuscrits grecs.
L’Église catholique romaine l’admet elle-même dans une note de bas de page de l’une de ses propres versions de la Bible, la Bible de Jérusalem. Cette note affirme ce qui suit : « Le texte des vv. 7-8 est surchargé dans la Vulg. [La Vulgate, traduction latine des Écritures datant du 4ème siècle] par une incise (ci-dessous entre parenthèses) absente des mss [manuscrits] grecs anciens, des vieilles versions et des meilleurs mss de la Vulg., et qui semble être une glose marginale introduite plus tard dans le texte : « Car il y en a trois qui témoignent (dans le ciel : le Père, la Verbe et l’Esprit Saint, et ces trois sont un ; et il y en a trois qui témoignent sur terre) : l’Esprit, l'eau et le sang, et ces trois sont un ».
Un érudit trinitaire reconnu, Henry Alford (1810-1871), dans ses écrits affirme même catégoriquement que cet ajout aux Écritures se trouverait omis de tous les manuscrits grecs antérieurs au début du 16ème siècle. Un texte si peu fiable ne peut certainement pas être utilisé pour supporter la doctrine de la Trinité.
Nous avons vu et nous savons donc que ces deux textes n’appartenaient pas aux manuscrits originaux. Cependant, même si cela avait été le cas, ils ne changent en rien le contenu général des Écritures et ne suffisent certainement pas à établir une quelconque Trinité. En Matthieu 28:19, les mots Père, Fils et Saint Esprit peuvent tout aussi bien être compris comme correspondant au titre de Seigneur Jésus Christ contenu dans le livre des Actes (Jésus, le Fils, fut fait Seigneur par le Père et oint du Saint Esprit). De la même manière, en 1 Jean 5:7-8, le fait que ces « ces trois-là [soient] un » ne signifie en rien qu’ils soient un seul et même individu, mais bien plutôt qu’ils partagent un objectif commun et agissent d’un même accord.
Conclusion
En conclusion, nous devrions tous être d’accord pour admettre que Jésus n'est pas Dieu au sens absolu, et certainement pas Dieu le Fils comme les trinitaires voudraient nous le faire croire. Dans les écrits apostoliques, Jésus est de manière constante appelé le Fils de Dieu. Comme l’affirment les Écritures, que Jésus est la première création de Dieu (Colossiens 1:15 ; Apocalypse 3:14) et qu’il est le Fils unique de Dieu, né de la vierge Marie. Dieu, le Père, est le seul Dieu tout-puissant, devant lui il n'y a « point d’autres dieux » (Exode 20:3).
Le Père est le Créateur de toutes choses. Croire ainsi ne diminue en rien l’importance de Jésus Christ, qui en sa qualité de Fils de Dieu mérite à juste titre de siéger à la droite de Dieu (Marc 16:19 ; voir aussi Actes 7:56). Jésus Christ est notre Seigneur. Il a été nommé à cette fonction par Dieu.
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Jeu 5 Fév 2015 - 20:01
La grande prostituée est démasqué.
Apocalypse 17 :
“1 Et l'un des sept anges, qui tenaient les sept coupes vint et me parla, disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur de grandes eaux, 2 avec laquelle les rois de la terre se sont livrés à la fornication, et les habitants de la terre ont été enivrés du vin de sa fornication. 3 Et il me transporta en esprit dans un désert, et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphèmes, et qui avait sept têtes et dix cornes. 4 Et la femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or et de pierres précieuses et de perles ; elle avait à la main une coupe d'or pleine des abominations et des impuretés de sa fornication. 5 Et sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.
6 Et je vis la femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus : et en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement. 7 Et l'ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, et qui a les sept têtes et les dix cornes. 8 La bête que tu as vue a été et n'est plus ; et elle doit monter de l'abîme et s'en va à la perdition ; et les habitants de la terre, dont le nom n'est pas écrit dans le livre de la vie dès la fondation du monde, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. 9 C'est ici que doit se montrer l'intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. (…) 18 Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre.” (Apocalypse 17 : 1 – 9, 18)
L’interprétation de la Grande Prostituée d’Apocalypse 17:
La femme représente l’Eglise. Comme elle est qualifiée de prostituée, cela veut dire qu’elle a abandonnée le vrai message du Seigneur pour des pratiques païennes.
Elle est la mère des prostituée parce que d’elle sont sorties d’autres mouvements qui ne sont pas eux aussi resté dans la doctrine du Christ.
Cette église égarée est l’Eglise Catholique, parce qu’Apocalypse 17 : 9 et 18 indiquent que la femme est assise sur sept montagnes et qu’en fait elle est une ville qui règne sur les rois de la Terre.
Or, l’Eglise Catholique a son siège a Rome (elle est d’ailleurs appelée “Eglise de Rome”), une ville qui est construite sur 7 collines (on l’appelle d’ailleurs “Urbi Septicollis” = la ville aux sept collines) et qu’à l’époque de l’écriture du livre d’Apocalypse et pendant plus d’un millénaire elle était la ville maîtresse du monde. L’Eglise catholique, pendant qu’elle était la religion d’Etat dans l’empire romain et d’autres pays d’Europe, avait fait couler le sang de beaucoup de ceux qui refusaient sa doctrine, chose qui la rapproche encore de la description de la Grande Prostitué car celle-ci est ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus.
La grande prostituée a forniqué avec les rois de la terre "les pouvoirs terrestre"
L'eglise Catholique et Hitler [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Une Image Vaut Mille Mots. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
LES CRIMES DE L'INQUISITION [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
L'église catholique romaine la prostituée d'apocalypse [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
SATANISTES DANS L'EGLISE CATHOLIQUE !!!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
.
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Ven 6 Fév 2015 - 9:31
Arlitto a écrit:
jayrâm a écrit:
T'inquiète pas, il n'y a rien de personnel, ça vient de la grande secte satanique américaine qui inonde le net de ce genre de propos contre toutes les religions. Sinon, il insulte ton prophète et tu applaudis ? j'ai du mal de te comprendre ... Si tu veux en avoir la preuve, la prochaine fois que tu vois des témoins de jéhova, tu leur demande leur brochure sur les religions et tu verras par toi-même le copier-coller
Tu racontes n'importe quoi et en plus tu mens, je ne suis pas du tout TJ, la principale partie de mon travail est tirée de l'excellent ouvrage "Les deux Babylones" d'Alexander Hislop et ne vient en aucun cas de la littérature des TJ.
Mais, je vois que tu transpires la haine par apport aux TJ, je suis persuadé que tu es apostat pour avoir autant de haine envers eux. Moi, je n'en connais aucun, alors, au lieu d'insulter ma personne, venez plutôt, si vous le pouvez contredire ce que j'affirme ici, qui est irréfutable. CQFD !.
Stop au HS. Merci
.
Je ne sais pas qui a copié l'autres, Hislop ou les témoins de Jéhova mais c'est bien la même doctrine sectaire et répugnante. Ce n'est pas avec de tels propos cyniques qu'on va favoriser la paix, donc tu n'es qu'un fouteur de m..... Il n'y a rien à contredire car ce ne sont que des croyances sectaires et haineuses qui ne reposent sur rien. On sait bien aujourd'hui que la bible n'est qu'une compilation de mythes anciens, et n'a rien d'un ensemble cohérent. Alors dénoncer les autres religions à partir de ça, c'est complètement idiot. Quel est le but recherché ? vomir sa haine des autres religions sous couvert d'un texte qui n'est sacré que pour ses adeptes. Mais je pourrais en dire autant aux intégristes de toutes les religions. Vous commencez à nous emm....r à polluer ce forum de copier-coller sans même citer ses sources. .
Invité Invité
Sujet: Re: Les "religions" de Babylone la Grande. Ven 6 Fév 2015 - 11:16