Dieu ne désire pas que les humains vivent en paix

Jésus disait qu'il apportait le conflit, et non la paix. Mahomet a mené introduit le jihad, qui est par essence un conflit. Il faut donc en comprendre que celui qui les envoie ne veut pas qu'on vive en paix. D'ailleurs, c'est encore à cause de lui qu'une majorité des conflits dans le monde a lieu.

Quand tu vas au cinéma, tu préfères un film où il y a au moins un peu d'action, des gentils et des méchants ? sinon s'il n'y a que des gentils, c'est vite ennuyant.

Les films gentils contre méchants tendent aussi à me lasser rapidement. J'ai passé l'âge pour regarder du manichéisme.

...je me demande si dieu produit à hollywood. Ca expliquerait la faible qualité de son scénario.

Tu préfères les histoires à l'eau de rose un peu nunuche où l'on devine déjà que tout finira bien    il n'y a pas de suspens... et pourtant le monde est une grande comédie, inépuisable en rebondissements.

... la cinématographie ne se résume pas qu'à la guerre des gentils contre méchants et les romances. Comme tu viens de le citer, il y a aussi les comédies, les guerres des gentils contre gentils, et bien entendu des mélanges de genres. Prends les Simpsons par exemple. Y a-t'il vraiment des gentils et des méchants dans cette série?

l'intondable a écrit:

Jésus disait qu'il apportait le conflit, et non la paix. Mahomet a mené introduit le jihad, qui est par essence un conflit. Il faut donc en comprendre que celui qui les envoie ne veut pas qu'on vive en paix. D'ailleurs, c'est encore à cause de lui qu'une majorité des conflits dans le monde a lieu.

Le problème tient dans l'art et la manière de recevoir l'idée de la paix et de la concorde universelle.
Au demeurant cette idée ( et donc cette voie comportementale ) existe mais l'homme terrestre n'est pas fichu de la comprendre autrement que par le truchement de son esprit double/dual/diabolique/terrestre/animal.

Ainsi des incarnations comme ce Jésus-Christ clame haut et fort l'existence et la validité de la paix et de l'amour dans un monde incapable de le concevoir autrement que par la division, la guerre et la violence.

Un monde paradisiaque serait un monde qui n'évolue plus, l'homme deviendrai lascif, amorphe. Nous avons besoin d'être mis en échec, de l'aiguillon de la souffrance et du mécontentement pour nous faire avancer. La terre en tant que lieu d'apprentissage ne sera jamais un monde totalement en paix. Et puis le monde n'est qu'une projection de ce qui se passe en soi.

Vaincre le monde, en tant que mode conditionneur physique, et comprendre que le vrai challenge se trouve dans l'élaboration personnelle d'un état métaphysique apte à ce libérer du cycle éternelle des réincarnations...
Ne pas saisir le fil rouge des enseignement ésotériques c'est se condamner soi-même à des souffrances, à des guerres, à des divisions et à des morts sans fin.