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| Un nouveau monothéisme | |
| | Auteur | Message |
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météo Curieux
Nombre de messages : 21 Localisation : Europe Date d'inscription : 21/05/2006
| Sujet: Un nouveau monothéisme Ven 26 Mai 2006 - 5:37 | |
| Message envoyé par un membre d'un groupe yahoo, le 24 avril 2006. Ci-dessous, après ce message, se trouve l'explication de l'auteur.
Après 21 jours de coma, je me réveille avec un rêve qui bouleverse toutes mes croyances.
Le 21 mars 2006, à aux environs de 6H du matin, j'ai ouvert les yeux dans une chambre d'hôpital que je ne reconnaissais pas. Mais, du moment que je me sentais en plein forme, ça n'avait aucune importance. Le plus important était ce rêve que je venais de faire. Un rêve si étrange, si réel et si précis que je ne pensais qu'à une seule chose, l'écrire au plus vite. Au pied du lit était accroché un support contenant quelques feuilles et un stylo. Ça devait être des notes médicales me concernant. Je m'en étais servi pour écrire sans perdre une seule seconde. Tout le rêve se déroule dans un noir absolu, sous forme d'un dialogue avec une présence étrange. C'est un mystérieux compagnon du noir qui s'est mis à m'interroger sur mes croyances comme s'il n'en avait aucune connaissance. Et, à chaque fois que je lui en faisais part, il s'amusait à me les reproduire avec une ironie et une moquerie aussi logique que déconcertante. Au point ou je venais, à chaque fois, à en douter aussitôt après les avoir confirmés. Et après, il m'a étalé une autre philosophie de notre existence. Une autre perception de la vie, de la mort, de Dieu et de l'au-delà. Une perception dont je n'avais encore jamais entendu parler. Le plus étrange, c'est que, plus je cherchais à contester ses propos, plus je m'en trouvais convaincu.
Je me rappelle avoir été dans une obscurité absolue, la plus noire que je n'avais encore jamais vécu. Non seulement, je ne pouvais pas voir mes propres mains, mais, je ne les sentais même pas. Je n'avais, en fait, aucune conscience réelle de mon corps. Je criais de toutes mes forces sans être capable d'entendre je le moindre son de ma voix. Tout ce dont j'étais conscient, c'est que je cherchais à savoir où j'étais, et pourquoi j'y étais. Mais, je ne cherchais absolument pas en sortir. Je n'en avais même aucune envie.
Le temps passait dans la solitude et la monotonie les plus absolues, un temps lourd et pénible nettement plus réel que le temps dans les rêves. Alors que cette situation commençait à devenir insupportable, je sentais progressivement une présence étrange autour de moi. Je n'entendais certes rien, et je ne voyais rien non plus, mais j'étais de plus en plus convaincu que je n'étais plus seul. J'étais censé avoir peur, mais il n'en était rien. Cette présence n'avait absolument rien de menaçant, bien au contraire, j'y trouvais même une certaine forme de sécurité. J'ai décidé alors de tenter de communiquer avec elle: « Qui est là ? S'il vous plait, répondez-moi …» Aucune réponse …. Si je ne pouvais même pas entendre mes propres mots, alors comment pourrais-je entendre la réponse de ce mystérieux compagnon du vide. Néanmoins, puisqu'il n'y avait rien à faire d'autre, je persistais encore et encore. En fin, après plusieurs dizaines de tentatives, cette chose répondit : « Voulez-vous vous calmer un peu … ! » Je mentirais si je disais que j'avais entendue cette phrase. Non, je n'ai absolument rien entendue. Mais je savais que cette chose étrange voulait que je me calme. Et je savais aussi que la communication entre nous était possible. Tout ce qui va suivre sera représenté sous forme d'un dialogue. Un dialogue qui n'est autre qu'une transcription aussi fidèle que possible d'un échange de pensées avec cette mystérieuse présence. Moi : « Ecoutez …, Je voudrais savoir ce qui se passe, c'est quoi cet endroit et pourquoi j'y suis ? Et vous…, qui êtes vous? Et pourquoi êtes-vous ici avec moi ? » Lui : « Le corps qui vous a supporter depuis que vous êtes dans ce monde, est actuellement endommagé. Vous occupez provisoirement un autre support en attendant que votre corps puisse se remettre en état. » Il était clair qu'il se foutait éperdument si j'allais comprendre ou pas. Moi non plus, je ne m'attendais pas à une réponse aussi directe et sèche. Néanmoins, il ne m'a pas fallut beaucoup de temps pour la comprendre. Cette réponse venait seulement confirmer et expliquer une réelle conscience d'une totale absence de mon corps. Moi : « Dois-je comprendre que ce noir absolu, démuni de tout sens, est actuellement mon corps ? » Lui : « Provisoirement » Moi : « Et Vous… Qui êtes-vous ? Et pourquoi êtes vous venu ?» Lui : « Je ne suis pas venu. J'étais là. Seulement, il vous a fallut un peu de temps pour réaliser ma présence. Je vous ai aidé à venir ici. Et mon rôle est probablement de vous aider à reprendre possession de votre corps » Moi : « Vous venez de dire que vous allez `probablement' m'aider à reprendre possession de mon corps ? » Lui : « Effectivement » Moi : « Mais, pourquoi `probablement' ? » Lui : « Si votre corps s'avère définitivement endommagé, alors, je vais plutôt être chargé de vous aider à quitter ce monde » Et là, un sentiment de panique m'a brusquement envahit. Moi : « Je suis mort ! C'est ça ?…. Quitter ce monde pour aller où ? En enfer, c'est ça … c'est ça … dites moi … ? S'il vous plait …» Mais, à ma grande surprise … Lui : « Quel enfer !? » Moi : « L'enfer !… quoi ! …le feu, la souffrance les ténèbres … là où Dieu nous punira pour tous nos péchés … Vous voyez de quoi je parle…? » Lui : « Non ! Je ne vois pas du tout … !» Moi : « Vous vous foutez de moi ou quoi ? » Lui : « Surveillez votre langage s'il vous plait, Je ne vois absolument pas de quel `enfer' vous voulez parler ! » Moi : « Ok ! Vous devez sûrement appeler ça autrement. Je m'explique : Dieu, quand il nous a créés, il nous a envoyé dans ce monde pour nous mettre à l'épreuve. Si on pratique notre religion correctement, si on fait ce que Dieu nous a demandé de faire et on renonce à ce qu'il nous a interdit, on ira au paradis pour se faire récompensé de jouissance, de plaisir et de bonheur et ce, pour l'éternité. Sinon, on ira en enfer pour se faire punir de souffrances et de malheurs. » Lui : « Alors, Dieu aurait créé un lieu horrible appelé `enfer' pour vous y punir. Probablement, aussi, pour l'éternité ? » Moi : « Probablement » Lui : « Et `religion', c'est quoi ? » Moi : « Visiblement on ne va en finir … ! `Religion' c'est une croyance et un mode de vie qui nous a été dicté par Dieu par l'intermédiaire de son messager » Lui : « Si je comprends bien, dés que Dieu vous a créé, il vous a jugé, à priori, indigne d'être au paradis, il vous a, plutôt, envoyé dans ce monde où il vous a communiqué par l'intermédiaire d'un messager, une religion sous forme de consignes strictes que vous devez respecter à la lettre. Autrement c'est la souffrance et le malheur (`enfer') qui seront au rendez-vous. » Moi : « Non, pas exactement… Primo, en ma connaissance, il y a trois religions qui reconnaissent l'existence de Dieu. Toutes les trois sont semblables mais différentes. Seulement, il n'y a qu'une et une seule qui soit la vraie. Et qu'on doit adopter » Lui : « Et … deuxio …? » Moi : « Deuxio … Dieu ne nous a pas immédiatement envoyé dans ce monde. Le premier couple d'Humains (Adam et Ève), fût créé, plutôt, au paradis où tout était permis sauf un arbre fruitier qu'il ne fallait pas approcher. Certains disent que c'était l'arbre de l'immortalité, d'autre de la connaissance. Importe peu. L'essentiel … Devant l'encouragement du diable, Adam et Eve ne résistèrent pas à la tentation de cueillir un fruit de ce maudit arbre pour le croquer et désobéir ainsi à Dieu. Alors ils se sont retrouvés tous les deux dans ce monde, et nous avec » Lui : « C'est quoi ce … `diable' ? » Moi : « Tu ne vas pas recommencer … ? » Lui : « Je suis très sérieux, c'est quoi ? » Moi : « Le diable est une créature maléfique qui a causé notre perte et qui continue à nous pousser vers le péché pour nous éloigner du paradis et nous approcher de l'enfer » Lui : « Et qui a créé ce `diable' ? » Moi : « Quelle question ! Dieu, bien sûre » Lui : « Bon ! Récapitulons … Dieu Créa un couple d'Humains perfectibles (Adam et Eve), les installa au paradis et décida de les mettre à l'épreuve. Il ne leur a pas interdit de couper les arbres ni de déraciner les plantes, il leur a interdit de manger un fruit. Ce couple était obéissant et s'est abstenu d'approcher cet interdis sans se poser de questions. Jusqu'à ce que le `diable', que Dieu avait créé, et qui savait exactement où était cet interdit, vienne les encourager à le violer. Et, curieusement, Dieu, n'a rien fait pour empêcher ce `diable' de perturber une mise à l'épreuve aussi importante que décisive pour l'espèce humaine. » Moi : « En effet, si Adam avait plutôt fichu une bonne claque à Eve au lieu de lui cueillir ce fruit ou de la laisser le faire, on n'en serait pas arrivé là … non, je rigole. En fait, Il y en a qui croient que Dieu avait prédestiné l'espèce humaine à être sur terre jusqu'au jour du jugement dernier. » Lui : « Ce pauvre `diable' n'y était pour rien alors… ! Dieu voulait- il seulement le piéger ? Et pourquoi, alors, toute cette mascarade de faut paradis et de fruit extraordinaire à ne pas croquer ? Dieu cherchait-il des prétextes pour faire ce qu'il avait préalablement l'intention de faire ? » Moi : « Non, Dieu Voulait seulement … ! Je ne sais plus ce qu'il voulait ! Un petit moment ! C'est quoi cette insolente manière d'invoquer Dieu ? Ne seriez-vous pas le diable, par hasard ? » Lui : « Comment mes propos peuvent-ils vous paraître insolents alors que je ne fait que répéter ce que vous me dites ? Et puis, pensez- vous vraiment que je sois ce `diable' ? » Moi : « Pourquoi pas ? » Lui : « Après que ce `diable' vous aura chassé du paradis, et après qu'il vous aura empoisonné toute une vie sur terre, Dieu, lui-même, l'aurait chargé à venir personnellement s'occuper de votre mort ! Croyez-vous que Dieu puisse vous mépriser à ce point ? » Franchement, je savais plus quoi répondre. Après un moment de silence, il ajouta : Lui : « Parlons un peu de ces trois religions. Vous disiez que Dieu vous a envoyé trois messagers dans trois régions différentes pour vous communiquer trois religions semblables mais différentes ! Et qu'il vous fallait savoir laquelle de trois vous deviez adopter ! » Moi : « Qu'est ce que c'est que ce délire …! Non, Dieu n'a pas envoyé trois messagers, il en a envoyé plusieurs. Et pas dans différentes régions, c'était, successivement, dans différents peuples, mais pratiquement la même région. Et pas trois religions mais une seule. C'est nous qui en avions fait trois » Lui : « Pourquoi ? L'humanité était-elle regroupée dans une même région de la terre ? » Moi : « Non, les humains étaient disséminés sur pratiquement toute la planète » | |
| | | météo Curieux
Nombre de messages : 21 Localisation : Europe Date d'inscription : 21/05/2006
| Sujet: Re: Un nouveau monothéisme Ven 26 Mai 2006 - 5:38 | |
| Lui : « Alors, Dieu aurait décidé d'en prévenir quelques uns et d'ignorer les autres ! » Moi : « Non ! Ceux qui avaient été prévenus devaient prévenir les autres. Et … » Lui : « Et … ? » Moi : « Des guerres horribles avaient éclaté pour ça » Lui : « Donc, Dieu qui avait eu pitié de cette espèce humaine perdue dans ce monde, décida de les prévenir. Alors, au lieu d'envoyer simultanément plusieurs messagers dans différentes régions pour appeler simultanément à une même religion et éviter toute guerre religieuse possible, il aurait plutôt choisi d'envoyer successivement plusieurs messagers dans différents peuples d'une même région avec un seul et unique message dont ils devront assurer la propagation par tous les moyens, y compris la guerre !? Résultat, malgré l'unicité du message et la succession des messagers, l'espèce humaine s'est retrouvée confuse devant trois différentes religions ? » Moi : « Ooof ! … Ecoutez … Ce que Dieu a fait ou n'a pas fait, aurait fait ou n'aurait pas fait, ne me regarde pas. Moi, je vous dis ce que je croyais, et c'est tout ! » Lui : « Y croyiez-vous vraiment ? » Moi : « Je n'en sais trop rien !! » Lui : « Revenons à ces fameuses religions. Vous disiez qu'elles étaient semblables. En quoi consistaient-elles ? » Moi : « On dirait que vous me passez un examen !? » Lui : « Répondez s'il vous plait, ça m'intéresse de savoir » Moi : « Elles consistaient d'abord en une croyance puis en une bonne conduite et en fin, et c'est le plus important, en une pratique » Lui : « Une pratique … ? » Moi : « La pratique c'est un comportement quotidien particulier qui diffère d'une religion à l'autre. Des prières et des rituels à accomplir, une façon d'être et parfois même une apparence physique caractéristique à adopter » Lui : « Et si on parlait un peu de la punition que Dieu vous réserverait après la mort cet `enfer' tant redouté ? Selon vous pourquoi Dieu vous punirait-il ? » Moi : « Parce qu'on l'aura mérité ! Quelle question ! » Lui : « Je vais vous la reformuler autrement … Supposons que vous avez, par malheur, adopté la mauvaise religion, ou que vous en avez adopté la bonne mais sans la pratiquer correctement, ou que vous avez pratiqué correctement la bonne religion mais que votre conduite laissait à désirer ou que vous aillez été un horrible Tiran responsable d'affreux génocides et massacres. Alors dans quel but croyez-vous que Dieu pourrait vous châtier. Est-ce pour vous corriger afin que vous ne fassiez plus la même erreur ? Ou pour donner l'exemple aux autres afin qu'ils ne s'avisent pas à en faire autant que vous ? Ou pour vous mettre hors d'état de nuire ? Ou, tout simplement, par pure vengeance et mépris ? » Moi : « Effectivement, … Je ne vois pas ce que ça pourra être d'autre qu'une vengeance … ! Mais, ce que vous semblez oublier, c'est que c'est Dieu. Et il a le droit de nous punir comme bon lui semble. Par vengeance ou même par mépris, on est pas en mesure de contester quoique ce soit » Lui : « Contester quoi ? Ce ne sont que vos croyances ? Je me demande en quoi ça vous arrange de croire des choses aussi horrible sur Dieu ?! Vous vous rendez compte ? Vous croyez que Dieu pourrait faire subir à sa propre création une souffrance éternelle pour la punir de s'être mal comporter dans un monde cruel où elle devait affronter maladies et misères, guerres et famines, sécheresses et catastrophes, et ce, dans la confusion la plus totale, l'incertitude la plus absolue et l'injustice la plus absurde. Et tout cela, par pure vengeance ou par simple mépris ! » Moi : « Alors quoi ? Monsieur je sais tout. Si Dieu était si gentil. Comment aurais-je pu mériter de vivre paralysé depuis ma naissance. Les maladies, les misères, les injustices et les catastrophes, si ce n'est pas Dieu qui les aurait provoquées, pourquoi n'a-t-il rien fait pour les empêcher ? Allez-vous me dire que Dieu n'existe pas et que notre naissance, notre vie, notre mort et toute notre existence n'est qu'une succession de réactions chimiques s'effectuant dans le respect le plus absolu des lois bien établis de la physique quantique ? Allez-vous me dire que dieu n'est qu'une inconsciente puissance infinie qui se confond avec la nature, avec nous même et avec l'univers ? Je préfère mille fois croire en un Dieu Horrible comme vous dites plutôt que de croire en ces débilités. » Lui : « Qu'est ce que vous racontez ? Si Dieu n'existait pas, on ne serait pas entrain de discuter dans le noir. Et puis, qu'est ce qui vous empêcherait de croire en ces débilités ? » Moi : « Je veux bien y croire. Mais, pour ça, il aurait fallut que ma vie ne soit pas comme elle l'a été. Une suite infernale de souffrance et de douleur. Je ne vous donnerais jamais le droit de me priver de l'espoir d'une existence meilleur après ma mort » Lui : « Il y a un moment, vous aviez plus la trouille d'allez en enfer que l'espoir d'aller au paradis. Qu'avez-vous à vous reprocher ? » Moi : « Je ne saurais quoi vous dire. Il n'y a rien dans ce foutu monde qui puisse vous encourager à faire du bien, à commencer par nos propres croyances. Dieu, l'espoir en le paradis et la crainte de l'enfer, faisait partie de mon quotidien. Ca ne m'a pas, pour autant, empêché de faire plein de choses dont je ne peux être fier. Et puis l'handicap dont j'étais victime depuis ma naissance faisait que j'en voulais à tout le monde, y compris moi-même. C'est curieux, je viens de me rendre compte que je ne ressens aucune souffrance !? » Lui : « Ce n'est que lorsque vous allez reprendre possession de votre corps terrestre que vous allez pouvoir de nouveau souffrir. Ici, vous ne pouvez ni souffrir ni ressentir du plaisir. C'est un support totalement neutre » Moi : « N'est ce pas Dieu qui nous a donné ce corps qui nous fait souffrir ? » Lui : « Si. » Moi : « Ne venez-vous pas de confirmer, vous-même, que Dieu n'est pas si gentil que ça ? » Lui : « Ecoutez …, tout ce que vous venez de me raconter, je le savais. Je voulais seulement vous l'entendre dire. Maintenant, c'est à moi de prendre la parole. Vous pouvez croire que Dieu n'existe pas ou que Dieu n'est qu'une notion philosophique abstraite que chacun peut comprendre à sa manière (la nature, l'infini, … etc). Mais, ce qui ne risque que d'ajouter cruauté à la cruauté de votre monde, c'est de croire que Dieu soit une puissance absolue, consciente et, au même temps, cruelle et capable du pire à votre égard. Ca ne vous aide absolument en rien. Bien au contraire. Ce qu'est la nature de Dieu, je ne saurais vous le dire. Mais, je peux vous aider à l'imaginer de la meilleure manière qui soit. Ca pourrait vous aider à mieux apprécier les instants de joie et de bonheur, et à mieux accepter les souffrances et les malheurs que vous endurez dans ce monde. Je vous demanderais seulement de mettre de coté tout ce que vous avez pu croire jusqu'à maintenant et d'accepter de vous livrez à un petit jeu avec moi. Ce jeu qui s'appelle : `Pouvez-vous imaginer' n'a qu'une seule règle : `ne peut être imaginé que ce qui est techniquement et matériellement possible'. Êtes-vous prêt ? » Moi : « Je vous écoute … » Lui : « Avec les réseaux de communication rudimentaires dont vous disposez actuellement, pouvez vous imaginez que tous les Hommes de la planète puissent mettre en commun leurs intelligence, leurs savoir et tout leur potentiel afin de constituer une seule et unique puissance capable d'agir d'une manière cohérente, coordonnée et parfaitement synchronisée dans le but lutter contre les maladies, les misères et les injustices et toutes le horreurs qui rongent votre monde ? » Moi : « C'est un peu l'idéal. Mais, techniquement, c'est possible. » Lui : « Considérant les nouvelles conditions idéales où évoluera cette puissance, pouvez-vous imaginer que cette dernière puisse développer une parfaite maîtrise d'elle-même, de son environnement ainsi que des énergies et des richesses de son univers ? » Moi : « Parfaites maîtrise … ! C'est trop ambitieux. Mais, avec le temps, ce n'est pas exclu » Lui : « Parfait ! Maintenant, essayez de projeter votre imagination plus loin dans le future. Pouvez-vous totalement exclure que cette puissance réussira, un jour, à développer un savoir biochimique suffisamment avancé, lui permettant de créer, de toute pièce, une nouvelle cellule `vivante' capable d'absorber des éléments nutritifs, de grandir, de se débarrasser de ses déchets et de se reproduire ?» Moi : « C'est contre mon éthique religieux. Mais, je ne peux nier que même maintenant, la vie, d'un point de vue chimique n'a plus, vraiment, beaucoup de mystère pour nous. Elle est, certes, trop complexe. Mais on sait comment elle fonctionne. Je ne peux pas totalement exclure que cela serait possible un jour. Surtout, en considérant les conditions idéales supposées » Lui : « Ne croyez-vous pas que se serait, tout de même, un premier pas sur le chemin de la divinité. Ne seriez pas vous-même `Dieu' pour cette nouvelle forme de vie, aussi rudimentaire soit-elle ?» Moi : « C'est du n'importe quoi ! » Lui : « Passons à la deuxième étape du jeux. Supposons que l'avancement de vos recherches en bio-création et en biochimie, vous a permis, par améliorations génétiques successives, de faire évoluer votre cellule vivante en un micro-organisme complexe, capable de juger si le milieu où il évolue est suffisamment favorable pour sa reproduction. Et aussi, qui soit capable de décider, lui même, de se reproduire ou de ne pas se reproduire en conséquence. Puis, vous lui avez permis d'évoluer dans un milieu relativement favorable » Moi : « Pourquoi relativement favorable ? Ce sera le milieu le plus favorable possible. » Lui : « Ok, le plus favorable possible. Mais, malgré ça, après quelque temps, vous observez que certains individus refusent de se reproduire (décident de faire le mauvais choix) ? » Moi : « Etant donné que je devrais m'y attendre à ce choix de comportement, j'essaierais de leur faire changé d'avis » Lui : « Comment ? » Moi : « J'essaierait de leur faire gouter un milieu un peu moins favorable avant de les remettre dans leur milieu initial. Ils changeront sûrement d'avis » Lui : « Et s'il y en a qui ne changent toujours pas d'avis ? » Moi : « Il seront placés dans des milieux de moins en moins favorables jusqu'à ce qu'il changent d'avis » Lui : « Et si malgré avoir séjourné dans le milieu le moins favorable possible, certains individus persistent à faire ce mauvais choix ? » Moi : « Il seront privés de cette liberté de choix ainsi que de la capacité de se reproduire. Et ils seront définitivement placés dans leur milieu initial. Ils seront certes moins avantagés que les autres de point de vue capacités, mais je ne peux pas faire mieux. A quoi ça rime tout ça ? » Lui : « Pouvez-vous réaliser ce que vous venez de dire ? Quand il vous a été possible de créer un être vivant que vous avez pu doter d'une certaine capacité de jugement et d'une liberté de comportement, vous avez immédiatement décidé de lui offrir le meilleur environnement possible (un paradis), et ce, sans même vous demander s'il va pouvoir en faire bon usage. Ce n'est que lorsqu'il aura fait le mauvais choix, que vous avez choisi de dégrader progressivement son environnement (enfer). Non pas pour le punir, mais, uniquement, pour lui permettre de mieux apprécier son environnement initial afin qu'il se décide à renoncer à sa mauvaise décision. Au pire, quand vous avez perdu tout espoir, vous lui avez, seulement, retirez cette capacité de jugement et cette liberté de comportement ainsi que l'avantage que ça lui procurait. Mais, vous l'avez, tout de même, autorisé à mener une existence paisible dans son paradis initial. A aucun moment vous n'avez pensé que cette bestiole avait, délibérément, abusé de la liberté que vous lui avez offerte. Et qu'il vous faudra la doté d'une certaine capacité de souffrance dans le but de la punir pour s'être mal comporté. » Moi : « C'est débile. Le principe de punition, dans ce que vous avancez, n'a absolument aucun sens. Quoi que cette chose puisse s'apparenter à un être vivant, ça ne constitue à mes yeux qu'une succession complexe de réactions chimiques sans plus. Comment, pourrais-je concevoir de punir une réaction chimique ? » Lui : « Nous y voilà. Et si cette chose vivante que vous identifiez comme une vulgaire réaction chimique avait effectivement conscience d'elle-même, de ses capacités, de sa liberté de comportement et de vous-même. Si, malgré le fait que vous soyez son créateur, et que vous lui avez offert les meilleures conditions d'existence possibles, elle persiste à profiter de sa liberté de choix pour vous en réclamer encore davantage ? » | |
| | | météo Curieux
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| Sujet: Re: Un nouveau monothéisme Ven 26 Mai 2006 - 5:38 | |
| Moi : « C'est totalement irrationnel ce que vous êtes entrain de dire. Si cette chose que j'ai créée de toute pièce doit avoir une conscience ou un esprit, il va falloir que ce soit moi qui lui en donne … Maintenant, si vous me dites directement ce que c'est que cette autre perception de Dieu. » Lui : « Ok. Vous serait-il possible de considérer Dieu comme une puissance consciente et immatérielle de cet Univers disposant d'un pouvoir absolu sur la matière et ayant une parfaite maîtrise de la dimension spirituelle ? » Moi : « Moi, je croyais que c'était Dieu qui avait créé l'Univers ! » Lui : « Qu'il en soit ainsi. Avant de créer l'esprit humain conscient, libre et intelligent, Dieu aurait orienté les richesses et les ressources infinis de cet Univers vers la création d'un monde idéal capable d'accueillir sa noble création dans les meilleures conditions possibles. Il canalisa ensuite le comportement de la matière vers le création d'un corps humain parfait, permettant à cet esprit de mener une existence idéale dans le plaisir, la joie et le bonheur les plus absolus et en totale absence de toute forme de souffrance et de malheur. Des centaines de centaines de milliards d'humains évolueront à la perfection et en parfaite adéquation avec leurs environnement au ressources illimitées. » Moi : « Ca, c'est votre rêve. Ca n'a rien à avoir avec la réalité amère de notre monde ? » Lui : « Cet humain c'est bien vous et ce monde est bien le votre » Moi : « Expliquez-vous … » Lui : « Malgré le caractère paradisiaque de cette existence que Dieu a offert aux humains, certains individus, dont vous faites personnellement partie, jugeront qu'il en faudrait plus. Et leur caractère prétentieux va les conduire à se comporter d'une manière qui menacerait l'équilibre de ce paradis. Ce qui va leur couter de se retrouver, le temps d'une vie, dans ce monde imparfait où vous venez de passer vos 28 dernières années. Et qui serait le seul enfer que je connaisse » Moi : « Je ne n'arrive pas à vous suivre, là … . Vous dites que moi, j'aurais été dans un paradis. Et que, pour une raison ou une autre, j'ai jugé que ce paradis n'était pas assez bon pour moi. Alors, en voulant prétendre à plus, je me serais si mal comporté que je commençais à constituer une menace pour l'équilibre de ce monde magnifique. Alors Dieu m'a condamné à mener tout une vie dans ce bas monde terrestre » Lui : « En effet … » Moi : « Et tous les hommes qui sont dans ce monde, même, les plus favorisés, sont entrain de payer le prix de s'être mal comporté alors qu'ils étaient au paradis ? » Lui : « Effectivement … » Moi : « Si c'est le cas, pourquoi observe-t-on autant de disparité. Pourquoi ne somme-nous pas punis de la même manière ? » Lui : « Ce n'est pas une punition. C'est uniquement une dégradation de votre environnement vital, afin que vous puissiez mieux apprécier votre paradis initial pour ne plus risquer de le mettre en péril. » Moi : « Vous n'avez toujours pas répondu à ma question. Pourquoi, moi, ai-je été puni plus qu'un autre ? » Lui : « Vous n'avez pas été puni … vous … » Moi : « J'ai compris … appelez ça comme bon vous semble, mais répondez à ma question, aurais-je commis un délit plus grave au paradis ? » Lui : « Non !... Le paradis des Humains est beaucoup trop précieux pour que Dieu attende que votre comportement soit une réelle menace pour son équilibre. Alors, au moindre petit dérapage dans le mauvais sens, et c'est la bascule imminente dans le bas monde…. » Moi : « Alors … ? » Lui : « Laissez-moi terminer s'il vous plait. » Moi : « Je m'excuse » Lui : « Une fois sur terre, Dieu n'intervient plus pour vous empêcher d'agir dans le mauvais sens. Et cette totale liberté que Dieu vous donne, vous met face à une multitude de responsabilités que vous n'auriez jamais connu au paradis : La responsabilité envers votre santé et votre bienêtre, votre environnement, votre descendance et votre ascendance, votre avenir, votre entourage … etc. Assumer toutes ces responsabilités, doit être fait dans le strict respect des responsabilités des autres. Vous devez impérativement faire appel à votre intelligence pour éviter d'user de moyens qui peuvent s'inscrire dans le cadre du mal. Autrement, votre comportement sur terre risque de vous couter une autre condamnation. Les conditions de cette nouvelle condamnation découleraient de l'équilibre du mal et du bien accumulés à votre actif durant la condamnation antérieure. Ainsi, au lieu de retrouver le paradis, vous pourriez vous faire condamner à vivre dans des conditions de plus en plus cruelles. Et ce, tant que vous persistez à agir dans le sens du mal » Moi : « Et pourquoi …, Mais … ! » En fait je ne savais plus quoi dire il fallait que je prenne un peu de temps pour réfléchir à tout ça. Ce n'est pas tous les jours qu'on se retrouve face à de tels propos. Moi : « Mais pourquoi je ne me rappelle pas du paradis ou des de mes éventuelles vie antérieures ? » Lui : « Quand vous serez de retour au paradis, vous allez pouvoir vous rappelez de ce que vous avez endurez dans ce bas monde. Et ça va vous permettre de mieux apprécier votre existence paradisiaque. Par contre, le moindre souvenir de ce paradis alors que vous êtes dans ce monde terrestre, serait beaucoup trop cruel. » Moi : « Et que dites des plus favorisés de ce monde ? » Lui : « Croyez-vous qu'il existe un humain sur terre qui soit à l'abri de la souffrance ? En plus, le plus fort et le plus agréable des plaisirs sur terre, n'est que dérisoire devant le bienêtre paradisiaques » Moi : « Les guerres et le génocides, ce serait plutôt bien. Ca délivrerait un max d'humains de cet enfer ! » Lui : « Chaque humain quittant ce monde sera de nouveau jugé. Il ne reprendra sa place au paradis que lorsqu'il aura prouvé qu'il en est digne. » Moi : « Pourquoi je porterais secours à une personne en danger. Je devrais plutôt la laisser partir ! » Lui : « Il ne revient qu'à vous, et exclusivement à vous, de juger de ce qui est bien et de ce qui est mal. Néanmoins, je vais vous aidez un peu. Supposons que vous soyez en situation de danger. Souhaiteriez-vous que quelqu'un vienne vous porter secours ? » Moi : « Ca dépend … » Lui : « Ca dépend de quoi ? » Moi : « Premièrement, il faut que je sois sûre que ce danger va me tuer au lieu de faire souffrir ou de me donner un handicap. Deuxièmement, il faut que je sois sûre de m'être totalement acquitté de ma dette envers Dieu. Troisièmement, Il faut je sois sûre que j'aie suffisamment agi dans le bon sens pour que mon bilan me permette de rentrer au paradis. » Lui : « Et … » Moi : « Je ne peux être sûre de rien … » Lui : « Alors … » Moi : « Je souhaiterais qu'on me porte secours. » Lui : « Si on commençait par adopter une règle très simple : Faites pour les autres ce que vous auriez sincèrement souhaité qu'ils fassent pour vous. Et évitez de leur infliger ce que vous redoutez de leur part. Essayez de mesurer l'impacte de vos agissements et tirez en les leçons qui s'imposent. » Moi : « Qu'en est-il des religions et des croyances ? » Lui : « Vous pouvez croire à quoi bon vous semble. Seulement il faut qu'il vous semble réellement bon. N'acceptez rien sans être capable de le juger par vous-même. Les trois religions dont vous m'aviez parlé au début, contiennent plein de bonnes choses. Prenez en ce que vous jugez être le meilleur. En adopter une, en bloc, aveuglement ou rejeter le tout en bloc, serait une grave erreur. Si vous jugez sincèrement que ce que je suis entrain de vous avancer, est mal. Et que vous décidez de le rejeter en bloc. Ca vous appartient de le faire. Le plus important est que vous le jugiez réellement par vous-même. Et non pas parce que quelqu'un d'autre vous a dit que c'est mal et que vous le croyez sur parole. » Après quelques instants de silence … Lui : « Si c'était cette vision de l'existence qu'on vous a inculqué depuis votre naissance … ? » Moi : « Je crois que j'aurais mieux tolérer mon handicap, j'aurais mieux apprécié les rares moments de plaisir et de bonheur que j'ai eu la chance de vivre. J'aurai mieux résisté à certains gestes abominables que j'ai toujours regrettés. J'aurais cru en un Dieu Bon et gentil auquel je n'aurais jamais rien à reprocher. Toute la colère qui résultait de ma souffrance se serait convertie en en bonnes actions e en amour envers moi-même et envers les autres. Il y quelque chose qui cloche. Pourquoi je n'en avais jamais entendu parler. Pourquoi, personne n'y avait encore jamais pensé ? » Lui : « Contrairement au religions, c'est une pure pensée individuelle. Il n'y a aucun signe apparent. Aucune pratique. Vous n'êtes d'ailleurs même pas obligé d'y croire. Elle ne peut procurer aucun moyen de suprématie ni de pouvoir. Personne ne peut se proclamer représentant de Dieu pour contrôler les autres, parce que de part cette pensée même, il n'est pas mieux que les autres. »
L'explication de l'auteur, envoyée par le même membre le 30 avril 2006.
"Je ne peux pas croire en dieu parce qu'il est athée !"
Je suis né dans une religion dont j'ai très vite réalisé l`aberration pour ne pas hésiter à la rejeter de manière inconditionnelle. Et ce, avant de rejeter toutes les autres religions qui ne sont à mon sens que des inventions ingénieuses permettant à des hommes plutôt futés d'en contrôler d'autres qui le sont beaucoup moins.
Une amie d'études m'avait accompagné dans cette révolte contre notre religion et contre la religion en général. Ensemble, on avait commencé à aborder l'athéisme d'un point de vue logique, puis comme conviction, et on a fini par en avoir une absolue certitude.
Mon amie est morte avant de pouvoir souffler sa 22ème bougie. Elle est morte d'un cancer particulièrement affreux.
Pendant qu'elle soufrait le martyre en comptant ses derniers jours, j'étais allé lui rendre visite. On s'est dit bonjour, puis, un profond silence envahit la chambre. Plusieurs minutes durant je la regardais en n'ayant qu'une seule envie en tête, trouver le moyen de partager ne serait ce qu'une petite partie de sa souffrance. Avant de la quitter pour la dernières fois je lui avais demandé si je pouvais faire quelque chose pour elle. Elle me fixa d'un regard implorant que je ne pourrais jamais oublier et me demanda avec ces mots : « y a-t-il un moyen croire que ma mort ne sera qu'un passage vers un monde meilleur où je pourrais trouver l'amour et la joie que je n'ai pas eu le temps de vivre dans ce monde … ? ».
Elle ne m'avait pas laissé le temps de satisfaire sa requête.
Aujourd'hui, je soumettre à votre critique, une nouvelle vision de notre existence et de notre vie. Mais qui suppose l'existence d'un dieu, un dieu loin de toute religion. C'est une vision qui nous permettrait aussi bien de vivre pleinement nos instants de bonheur et de bien-être pour mieux les savourer, que d'accepter nos malheurs et nos fatalités pour mieux les contenir et les combattre. Une visions qui nous aiderait, à faire bien meilleur usage de notre liberté, en agissant spontanément pour le bien et en résistant farouchement à la tentation du mal. Une vision qui ne nous privera pas de l'espoir en en une vie meilleur après notre mort. Je sais que vous n'allez pas y croire. Moi non plus je n'y crois pas. Je l'ai inventé. Je voudrais seulement que, à travers une critique logique, vous puissiez me convaincre que cette idée n'est qu'une débilité inutile qui vient s'ajouter aux autre spour ne constituer qu'un parasite supplémentaire pour l'athéisme. Cette idée je l'ai enveloppé sous forme d'un « Rêve durant le coma. » Intitulé Un autre monothéisme: (http://fr.groups.yahoo.com/group/combattrelemonotheisme/message/708) . Bien sûre c'est un faux rêve d'un faux coma d'un faux « moi ». Tout est fiction. | |
| | | Ze Guru Professeur
Nombre de messages : 579 Date d'inscription : 28/03/2006
| Sujet: Re: Un nouveau monothéisme Ven 26 Mai 2006 - 10:13 | |
| C'est bien... juste une chose...
si l'objectifs est de s'occuper d'un environnement paradisiaque. et des conserver des envirronements dégrader...
lors on auras tendance à préserver et consolider le monde parfait. et on délaisseras l'envirronement dégrader...
il est possible même que l'on se réjouisse que le monde imparfait se dégrade encore plus...
on peut dirent que que le but de la punition et d'offrir un environnement dégrader qui peut comprendre aussi des limitations pas uniquement de l'envirronement, mais aussi des possibilité de limité le sujet de l'observation afin de pouvoir lui donner la dégradation approprier à sa personnalité afin de le faire vivre à niveau égale dans un univers dégrader.
Sinon un monde devrais corresponds à chaque défaut et ses univers ne cohabiterais pas tous ensemble...
Donc la souffrance, tant qu'elle ne détruit pas rends plus fort... mais surtout elle permet de vivre ensemble, elle ne doit pas être un obstacle à la communauté... Comme dans le cadre de l'amitié ou les défauts de l'autre sont connue et accepter comme partie de l'autre et aimer aux même titre que ses qualités. | |
| | | météo Curieux
Nombre de messages : 21 Localisation : Europe Date d'inscription : 21/05/2006
| Sujet: Re: Un nouveau monothéisme Dim 28 Mai 2006 - 12:26 | |
| C'est pour cela que l'incertitude est nécessaire. Si les les gens étaient sûrs d'aboutir dans un monde meilleurs après la mort ils ne feraient plus rien ici, on aurait des suicides de masse. Ils laisseraient leurs conditions de vie sans s'en soucier. De l'autre côté, la certitude qu'il n'y a rien après la mort présente de grands inconvénients. Notamment: c'est déprimant. Il me semble que la solution optimale est l'incertitude. | |
| | | Ashoka Curieux
Nombre de messages : 34 Age : 41 Localisation : Près de Calais (62) Date d'inscription : 01/03/2007
| Sujet: Re: Un nouveau monothéisme Ven 2 Mar 2007 - 1:20 | |
| Aussi faux que puisse être ce coma, et ce "moi", le message n'a jamais était aussi proche de ce qui est probablement la vérité. Enfin, je ne peux affirmer véritablement que c'est la vérité. Mais si je dis cela, c'est parce que je suis devenu déiste, en réflechissant sur l'univers, la vie et le créateur et que finalement, sans même avoir lu cet auteur où un autre parlant d'une telle vision, j'en suis arrivé à la même. Depuis quelques semaines, je parle de me vision à des tas de gens que je rencontre. Une athée qui ne jure que par les molécules fut surprise et très interessé par ma vision. Elle m'a dit (et étant une amie, je peux la croire) qu'elle en parlerait à son mari, alors que je lui parlais de ça sans souhaiter répendre la vision. J'en ai parlé à une autre amie qui est déiste. Mais, cette fois je n'ai dis que quelques mots, sans vraiment résumer l'idée. Voyant qu'on partageait tout les deux un certain goût pour la spiritualité, elle me raconta sa vision. Je fus surpris quand je vis s'écrire devant moi (à travers un tchat), mot pour mot, ma vision. Ainsi, j'étais presque sur le point de devenir réellement déiste, du moins prendre ceci pour une certitude. Elle me cita le livre "conversations avec dieu". J'ai lu des extraits et j'ai constaté que l'auteur faisait dire à dieu une description quasi similaire à ma vision. Les coincidences étaient insolentes Aujourd'hui encore, j'ai donner énoncé rapidement une idée qui tirait son inspiration de ma vision à des personnes. Une parmis elles, qui n'était pas du genre à être d'accord avec moi et qui montrait un désintéré pour la spiritualité ou la philosophie, me dit que mon analyse était bonne et qu'elle était d'accord. Ensuite, nous avons discuté, et j'ai exprimé un peu plus une partie de ma vision de la vie et du créateur, et elle fut attentive. Et ceux qui la connaissent vous dirait que ça ne peut tenir que du miracle Alors, je vois maintenant ce texte et je me dis, mais qu'est-ce qui ce passe ? J'oubliais de dire que tout à leur je parcourais le forum et voyais des discussions où les intervenants se retrouvaient d'accords sur des points qui se trouve justement dans ma vision. Je n'ai pas posté d'interventions. C'est comme-ci par le raisonnement, il était possible de toucher uen vérité qui nous semblait innaccessible. Selon ma vision, cela est tout à fait possible, puisqu'en fait, nous sommes une partie du créateur et donc, nous savons, mais nous sommes juste amnesiques :) | |
| | | florence_yvonne Admin
Nombre de messages : 49323 Age : 64 Localisation : L'Hérault Date d'inscription : 28/03/2006
| Sujet: Re: Un nouveau monothéisme Ven 2 Mar 2007 - 8:02 | |
| j'ai toujours été persuadée que nous avons dans nos gènes sous forme de mémoire atavique, le souvenir de ce que nous avons été dans notre état divin, c'est à dire, avant cette vie matérielle, et c'est à cet état 'que certains pourront qualifier d'angélique) que nous retournerons, une fois libérés de nos entraves de chair que représente notre corps mortel. | |
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