Cerveau : mais où est donc la conscience ?

Avant d’aborder tout sujet sur la conscience, il faut commencer par la définir, même si la tâche n’est pas si évidente. Il s’agirait de notre expérience personnelle de la perception, de la pensée, de l'émotion et de l'action d’après le philosophe William James. Dès lors, plusieurs questions peuvent émerger de cette définition : À quoi sert la conscience ? Pourquoi est-elle si difficile à contrôler ? Si nos actions sont sous notre contrôle conscient, pourquoi est-il si difficile pour la plupart d'entre nous de suivre un régime (et de résister à d'autres envies) ?

Des chercheurs de l’Université de Boston ont tenté de répondre à ces questions en élaborant une nouvelle théorie de la conscience. « En bref, notre théorie est que la conscience s'est développée comme un système de mémoire utilisé par notre cerveau inconscient pour nous aider à imaginer l'avenir de manière flexible et créative, et à planifier en conséquence », explique l'auteur Andrew Budson, professeur de neurologie.

De précédents travaux rapportent que la conscience ne s'écoule pas linéairement avec le temps et qu’elle se produit souvent dans le mauvais ordre (c'est-à-dire après, plutôt qu'avant ou avec, la perception, la décision ou l'action). En clair, et selon la nouvelle théorie, nous ne percevons pas le monde, ne prenons pas de décisions et n'effectuons pas d'actions directement. « Au lieu de cela, nous faisons toutes ces choses inconsciemment et ensuite (environ une demi-seconde plus tard), nous nous rappelons consciemment les avoir faites », ajoute Budson.

D’ailleurs, la lenteur de la conscience ne pouvait précédemment pas expliquer les nombreuses décisions et actions qui se passent souvent en une fraction de seconde lors de la pratique d'un sport ou d'un instrument de musique. Nous pouvons aussi nous dire que nous allons prendre une cuillerée de crème glacée et, finalement, le récipient est vide parce que notre esprit conscient n’a pas contrôlé notre action !

Même nos pensées relèveraient davantage de l’inconscience que de la conscience. En effet, si le but de la conscience est de nous permettre de contrôler nos pensées et nos actions, ce contrôle est souvent difficile à réaliser. « Ce manque de contrôle explique pourquoi nous pouvons avoir du mal à arrêter un flot de pensées qui défilent dans notre tête lorsque nous essayons de nous endormir, et aussi pourquoi la pleine conscience est difficile », argumente le neurologue.

Comme l’étude théorique avance des hypothèses, les chercheurs rappellent qu’elles peuvent être réfutées. En outre, ils reconnaissent que leurs hypothèses n'ont abordé que plusieurs petits aspects de la conscience, et ont ignoré plusieurs des parties de toute théorie complète de la conscience. Budson et ses collègues considèrent qu’un certain nombre de troubles neurologiques et psychiatriques comme la maladie d'Alzheimer, la schizophrénie, le trouble dissociatif de l'identité ou encore certains types d'autisme sont des troubles de la conscience.

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

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Le problème en français c’est qu’on regroupe awareness et cosnsciousness sous le terme conscience alors que les deux sont différents, l’un est le faite d’être présent-là et l’autre est la conscience réflexive , la conscience d’avoir conscience si l’on veux .
Aussi il me semble qu’en français ,on confond perception , connaissance et conscience comme si il était synonyme en partant du postulat que toute conscience est conscience de quelque chose mais pour beaucoup de culture ça ne vas pas de sois .
C’est pour ça qu’on parle des expériences de consciences sans object
Même pendant mon sommeil j’ai conscience aux réveil d’avoir bien dormis , d’avoir fait l’expérience l’expérience d’une conscience sans contenu .

Pour répondre à la question d’où viens la conscience ? Si cette question as un sens métaphysique et scientifiquement , empiriquement elle est par elle même une non-question.
Puisque de faite toute expérience vécu est conscience , une chose dans lequel je n’aurais pas conscience par définition n’est pas pour moi .
On peux dire que je vis des expériences plus ou moins consciencieusement avec plus ou moins d’attention mais de faire toute expérience est conscience , tout mon plan psychique est conscient n’en déplaise aux freudien orthodoxe .

D’ailleurs on devrait même pas employé le terme inconscience mais plutôt de près conscience .

Dire que la conscience est quelque part dans le cerveau ou ailleurs, c'est déjà du matérialisme, qui n'explique pas la conscience.

Après, la conscience, notre conscience personnelle, est absolument au sommet de la hiérarchie des certitudes. Si nous croyons en avoir une c'est que nous en avons une, ce ne peut pas être une illusion.

C’est le premier constat qu’on peux faire si on l’enlève on ne peux plus avoir de certitude après cela même si il y as et auras toujours des gens pour jouer lés contradicteur compulsif et affirmer que la conscience n’existe pas .

Tu dis que la conscience personnelle est une certitude mais pour l’être qui vis toute conscience est conscience personnelle puisqu’elle est incluse dans son expérience, je peux pas faire l’expérience d’une conscience qui ne serais pas mienne , je peux faire l’expérience d’une altérité mais cette altérité telle que je la perçois apparaît comme une extension de mon environnement mais justement cette environnement apparaît comme une prolongation de ma propre conscience(pas d’un point absolu mais d’un point de vue experienciel )

C’est le premier constat qu’on peux faire si on l’enlève on ne peux plus avoir de certitude après cela même si il y as et auras toujours des gens pour jouer lés contradicteur compulsif et affirmer que la conscience n’existe pas .

Tu dis que la conscience personnelle est une certitude mais pour l’être qui vis toute conscience est conscience personnelle puisqu’elle est incluse dans son expérience, je peux pas faire l’expérience d’une conscience qui ne serais pas mienne , je peux faire l’expérience d’une altérité mais cette altérité telle que je la perçois apparaît comme une extension de mon environnement mais justement cette environnement apparaît comme une prolongation de ma propre conscience(pas d’un point absolu mais d’un point de vue experienciel )

La conscience cosmique est comme un hyper cerveau, c'est évidemment le premier attribut de Dieu ?
Qui influe dans l'Esprit distinct et qui cet esprit à son tour doit fabriquer une conscience morale objective en la cristallisant au coeur de sa corolle éternelle ?

La conscience c’est la conscience , après c’est aux niveau de l’individualité qu’on est différent .

Ce n'est pas simplement la conscience selon Bouddha :

Le Bouddha Gautama définissait le grand tout ainsi :

L'oeuil
les cinq sens,
la conscience,
les phénomènes de la conscience,
les consciences,
les objets .

La conscience est la conscience mais il y as différent état qui se manifeste dans la conscience je dirais ça .

Si on observe correctement le vide devant soi en posture de Zazen, en étant relaxé et décontracté, on peut être la conscience cosmique ou plonger dans l'absolu et ne faire qu'un avec la source originelle ...

Autrement dit si on observe bien devant soi en maîtrisant sa respiration, on a plus besoin de regarder, on voit la conscience on est la conscience .

On EST un neurone du cerveau cosmique , Loganj , donc on ne devient pas Un avec elle , on est déjà intégré en elle sauf qu’on en as pas conscience .
Mon point de vue est proche de celle de certains théologiens chrétiens et hindous .

Il y as aussi la notion de tsim-tsoum dans le judaisme ou dieu se retire de lui même pour laissé apparaître la création mais si cette espace est fini ça veux dire qu’aux delà de l’univers fini , il y as Dieu-univers fini .

A savoir si il y as plusieurs source Absolu , il y as quelque mois je soutenais que oui c’était mon intuition initiale maintenant j’en suis pas sûr par contre il y as bien une pluralité d’existant aux sain de l’univers .