Je suis

Ce soir ,Je suis semblable au pelican du désert,
je suis comme le hibou des lieux désolés.
Je veille ,et je suis comme un passereau solitaire sur un toit.

L'opprobre m'a brisé le coeur ,et je suis accablé : et J'ai attendu que quelqu'un eût de la compassion de moi ,mais ''IL N'Y EU PERSONNE'' ,et des consolateurs mais je n'en ai pas trouvé .ILs ont mis du fiel dans ma nourriture et ,dans ma soif ,ils m'ont abreuvé de vinaigre...

Mon âme ,Sous la souffrance morale
Moi qui a tant aimé et tout enduré
Me voilà rejetté ,une paria de l'amour
Cet insupportable misère me pèse
Je vois ,déjà,cette croix s'élever ,l'ultime lieu ,de ma dernière nuit
Mes ennemies s'élèveront en accusateurs
Ils me rueront de coups ,ils diront de moi
Qu'elle n'a que faire ici ,car elle ne désire que l'amour
Qu'elle n'est pas bienvenue,car elle ne désire qu'être aimé
Ils acclameront chacune de mes phrases,comme étant les pires ,écrites
Prétexteront n'importe quoi ,pour ce justifier
Si de part ma présence ,je brise votre coeur de béton
Et qu'aux flammes ardentes,je me brûle les ailes
Qui me sauvera ,qui me gardera cette fois
Lui m'avait abandonné ,en enfer ,pas un mots ,ni même un adieu
L'amour ultime d'un coeur d'homme aussi sec ,que le bois mort
Et qui n'a que faire d'une belle dinde ,d'une idiote de l'amour
Lumière éparse c'est toi que je lisais ...en respect des auteurs
Comme je l'ai toujours fait...maintenant
Du danger de la perdition passionnelle et du châtiment éternelle
Qui me guet,qu'il n'est qu'un caquet d'oilles
De l'humiliant séjour de lui qui tourmente et hânte l'esprit
que par l'éther ,l'ennemie joue de mes sens
Et quand brise le coeur ... ses délateurs
D'où reviendras-tu
En des désirs d'amour ,
Par lui s'enfuira l'esprit de la belle
Qu'il soit fort,doux et vaillant ,mais libre comme le vent
Ce soir ,souffre la solitude ...d'antan
Le manque ..est une gerçure sur le coeur
Mais que sache la mort ,à genoux ,l'amour est folie
Le manque..est toi

Ce qui est chouette avec l'amour ,c'est qu'il me faut, sous le dernier des bourreaux...le soumettre
Rien n'est pire qu'un amour déçevant et qui geint l'outrage ordurière
Celui qui n'a jamais aimé ,à le coeur aussi dur que la pierre
Le classicule de l'amour ,me ravit le coeur à l'envolée
C'est par amour que j'ai péché,et c'est sous lui que j'expire
À Son regard , l'infinie de l'amour me frappa si violemment que mon coeur éclata en sanglot
L'amour n'aura d'insensé que la supplice d'être ignoré
C'est à la grandeur de son amour, que mon coeur devient son esclave
Sous la nudité des corps, l'esprit se perd en folie d'amour
Un jours sans vous et je n'existe plus
Vous me voyez misérablement éprise du piège de son coeur
Et de son amour ,il m'aura volé l'âme
Une femme à genoux

Citation :

Me voilà rejetté ,une paria de l'amour
Cet insupportable misère me pèse

Le phénomène de l'exclusion est grandissant, et la cause en est le chômage
qui dérive de la surpopulation.

On délaisse certains membres de sa famille par peur du lendemain, d'avoir
a héberger ou donner du pain à son propre frère même en France on voit ça
de plus en plus.....

Depuis toi, ce monde ne tient plus qu'à un seul mot.
Le ravissement ce fait joyeux voleur de coeur.
C'est sous, l'indignité apprivoisé que s'ouvre ma passion de t'aimer.
À tes genoux ,mes douceurs trouvent vérités.

Une femme qui jure de lui
cache son mystère
Si ,après l'amour ,elle pleure en secret .

Rien n'est plus grand que la pureté du sentiment
Mais la solitude révèle l'ampleur du désir

De vie, l'indicible bonheur d'être amoureuse
Une grâce en baisés ,sur son coeur..

Le gouffre amer sous tes lèvres
Ne débite que tes insanités mais l'abject du coeur n'est que la prémice promise
d'un refus consentis à demi mots,salopard et tu te joue de moi
Le violeur d'âme de qui me jalouse de tout mes aveux ,d'une bouche affolée
Toi l'indomptable Casanova à l'allure si fier
Que de la fine pointe brandit,trouve toujours preneur
Et dont ,elle ne sera point résister ,en oeil vif de désir
Couvre l'amante de sa folie et en exulte le sexe
Jusqu'aux cris déchirant ,en passe des murs
De la belle qui se meurt en saccade ,j'extirperai sa résignation
L'intensité à la croupe ,l'éclair dans son lit,ne sauront point lui déplaire
Et d'ajouter,que si perdition de cette âme pur se fait sous l'amour
L'enfer n'en sera que fier de l'acceuilir,une âme de plus pervertis à souhait est un délice sans pareil
Et qu'il n'est point plus grand honneur d'homme que celui qui arrive à soumettre
Une femme à genoux avec le sourire aux lèvres
Le gouffre de l'amer faites à la femme,est une cruauté qui devient ,aux aguets du moindre signe d'érectitude
D'une promesse jetté dans l'ardente fournaise de la perdition, en démentis
La passion d'une femme pour l'homme et sous son corps qui s'enflamme honteusement est sans repairs
Et qu'elle cour au risque, en y perdant tout ses sens
aime-la, sous la crainte d'abandon cette soumise à l'échafaud de tes mains.. qu'elle en chavire
Qu'elle ni voit plus clair ...qu'elle ni tienne plus qu'à un fil
T'aimer à ne plus savoir ,t'aimer à en perdre la tête et t'aimer plus que tout !
Qu'elle en perde la raison sous le mal de ton indifférence
Place là sous ton désir..jusqu'à ce qu'elle en crève

Voilà bien une dinde farcie à la crème fraîche ..l'ironie est une autruche conquise qui avoue l'amour
Laisse là donc avouer le sien ...et n'en fait fit
Pourquoi s'enticher demain une autre dira pareil..
C'est la mièvrerie des coeurs de femmes qui ne sont d'aucun intérêt pour l'homme.

Franchement ,ne serais-ce que pour l'effort ..un mot

Génial...

Tu as dit génial...c'est la fin,qui ta plus ..