Radicalisation : danger du discours anti trans

L'internet n'est pas le meilleur lieu pour s'informer. Nous pouvons tomber rapidement dans des discours plus ou moins radicaux. Prenons l'exemple du discours anti trans. Le phénomène trans genre est nouveau. Il peut être très déconcertant et peut même donner lieu à des discours extrémistes parmi les personnes transgenres. Nous devons être attentif pour distinguer la science du faux.

Les sites anti trans peuvent être attrayant puisqu'il nous invite d'abord à nous poser des questions. Qui a dit que cela était mal sain ? Cependant, petit à petit nous nous embarquons sur une pente glissante. D'une remise en question nécessaire, l'on nous convainc d'une idéologie du genre qui voudrait tout détruire. Ensuite, l'on propose des discours pouvant engendrer la haine. Finalement, nous voyons que derrière le discours anti trans, c'est la même homophobie du passé qui se cache.

Nous avons tous des moments faiblesses. Je ne peux généraliser mais j'ai mes moments de faiblesses. Par exemple, lorsque j'ai voulu m'éloigner de certains groupes extrémistes à gauche. J'ai eu du mal à trouver le centre. Je le cherche encore.

Nous pouvons avoir confiance en la science et aux personnes trans elles-mêmes. Nous n'avons pas à tout comprendre mais seulement à accepter leurs existences et créer des espaces de liberté où tous peuvent se sentir en sécurité.

alex_x a écrit:

Nous pouvons avoir confiance en la science et aux personnes trans elles-mêmes. Nous n'avons pas à tout comprendre mais seulement à accepter leurs existences et créer des espaces de liberté où tous peuvent se sentir en sécurité.

Attention, il y a un business de la transition médicalement assistée (ça, c'est nouveau), qui rapporte gros et peut donc susciter un lobbying avec des publications présentant toutes les apparences voire toutes les garanties de la scientificité.

A part ça, je cite : "Nous féministes souhaitons alerter le grand public sur la situation de la communauté lesbienne en France et à l’international. Pour commencer nous souhaiterions rappeler que les lesbiennes ne sont pas les seules à vivre dans la peur de l’activisme trans extrême.

"James Caspian, Eva Poen, Kathleen Lowrey… la liste est longue de chercheurs universitaires (américains, canadiens, britanniques ...) harcelés et parfois licenciés par leur hiérarchie sur ordre des activistes trans radicaux (qui ne représentent pas l’ensemble des communautés trans).

"James Caspian a par exemple été attaqué pour avoir essayé de mettre en place une étude sur le pourcentage de personnes regrettant d’avoir «changé de sexe». Le simple fait de vouloir faire une étude sur le sujet étant maintenant considéré comme offensant. (...)

"Depuis un an environ, on observe dans les pays anglophones et scandinaves un boom de personnes mettant en scène sur Twitter, Reddit et YouTube leur dé-transition. Mais ces personnes devront vivre toute leur vie avec les conséquences de leur transition. Plus la transition est avancée, plus les dommages physiques sont lourds et irréversibles. Les hormones créent des problèmes osseux sévères. Les ablations sont définitives. (...)

"En Suède, le nombre de fillettes de moins de 18 ans voulant «changer de sexe» (une chose techniquement impossible) pour tenter de devenir des personnes transmasculines a été multiplié par 15 de 2010 à 2018. Selon les statistiques du gouvernement suédois, parmi elles 15% étaient autistes et 19% hyperactives."

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Bonjour Tchar,
J'ai un de mes amis de 20 ans sur le net qui a voulu aller jusqu'au bout de la transition, en prenant d'abord des hormones féminines qui lui ont causé un AVC, maintenant, il est gravement handicapé, mais a toujours ses parties, du coup.
Bon après-midi.
Paul.

Je pense que ça devrait être réservé à des gens qui souffrent de grosses dysphorie de genre et utilisé avec parcimonie .
Pour le reste le « juste » milieu dont cherche Alex aussi ce serait de reconsidéré le genre comme ce qu’il est une construction en grande parti culturel , si on le fait il y auras certainement moins de gens qui voudront changé de genre puisqu’ils auront moins d’identification à celui ci .
D’ailleurs les transgenre le disent eux même que quand ils changent de pronom ils ne ressentent plus forcément le besoin de changer de sexe .
Il y as certe une minorité de gens qui se sentent réellement mal à avoir des organes génitaux du mauvais sexe mais ce n’est pas forcément une majorité .

Bonjour, Un Être Humain,
C'est de la faute à notre société de meerde, si on pouvait s'habiller, comme on voudrait sans que ça gêne le voisin, on n'aurait pas recours à tous ces stratagèmes pour passer inaperçu.
Bon après-midi.
Paul.

transgenre homosexuel hétérosexuel, bisexuel, transidentité du genre, Non-binaire et autres sont avant tout de êtres humain, la différence est lié par les yeux qui regarde.

Croyez y a beaucoup moins de raté dans dans une transition transgenre que dans les chirurgies esthétiques

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Bien sûr Florence Yvonne mais ici ce n’est pas le propos il y as des excès dans les deux sens que ce soit dans ceux de médecin qui rendent trop difficile la transition mais d’autre propose trop vite des changements hormonaux .
La question c’est comment trouvé le juste milieu .
Il ne faut pas entrer dans des discours qui renierait la réalité trans ni dans des discours qui assimilerais toute dysphorie à une dysphorie de genre .
La subtilité à l’adolescence c’est de différencié la dysphorie naturel qu’il y as parfois à cette âge la concernant son propre corps et la dysphorie réellement causé par une mauvaise identité de genre .

AH bon ? le sujet n'es pas le danger de l'éreintement des variations sexuelles ?

Oui bien sûr mais je veux dire tu dis les personnes trans sont des gens comme les autres mais ça je pense qu’ici sur ce forum personne ne le remet en question .

Je l'espère.

florence_yvonne a écrit:

Croyez  y a beaucoup moins de raté dans dans une transition transgenre que dans les chirurgies esthétiques.

Tu as des stats en fonction du nombre d'opérations ? Ce n'est pas un peu tôt pour juger vu que les transitions de genre médicalement assistées sont quelque chose de récent ?

Après, le point commun est que c'est lucratif pour les gens qui opèrent, donc ils sont forcément tentés d'encourager la clientèle.

Cherche sur internet et dit moi combien d'article tu trouveras d'opération transgenre inutile voire ratées et combien d'opération esthétique inutile, voire raté, je t'en trouverais plein.

Après être passées entre les mains de chirurgiens incompétents,

Je peux te montrer plein de photos si tu ne me crois pas.

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Cela veut dire être anti trans a par se mêlera de ce qui ne nous regarde pas ? par raté on parle souvent de personnes qui changent d'avis et qui veulent revenir en arrière, mais ce n'est pas possible.

florence_yvonne a écrit:

Cherche sur internet et dit moi combien d'article tu trouveras d'opération transgenre inutile voire ratées et combien d'opération esthétique inutile, voire raté, je t'en trouverais plein.

Après être passées entre les mains de chirurgiens incompétents,

Je peux te montrer plein de photos si tu ne me crois pas.

Mais je te crois. Je le sais qu'il y en a, que c'est carrément de l'escroquerie dans bien des cas ! Mais le pourcentage par rapport au total, dans un cas comme dans l'autre, tu as des chiffres, des études ?

Non, je n'ai pas le temps.

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360 ch a écrit:

Revenons aux faits. Dans une étude de 2019, sur 3398 personnes ayant entamé des procédures de transition, seulement 16 ont exprimé un certain regret. Ce qui correspond à 0.46%. D’autres études mettent en avant divers chiffres, certains plus élevés, certains plus bas. Mais ce sont toujours des pourcentages minimes. Alors pourquoi tant d’attention médiatique? Pourquoi parler de transition via l’angle de la détransition?

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radio canada a écrit:

Le Dr Montoro a vu dans sa clinique des jeunes regretter. De 2 % à 5 % des cas. « C’est sûr qu’il y en a qui vont se désister et j’aimerais pouvoir le prévoir, convient-il, mais quand je vois la majorité des jeunes qui arrivent avec une dysphorie de genre et qui, grâce à la transition, vont mieux à l’école, vivent moins d’anxiété, ont moins d’idées suicidaires, je trouve cela très intéressant comme travail. »

Dans le pourcentage de détransition, il y a 5% de ceux pour qui s'était le mauvais choix, un tiers sous la pression des parents, l'autre tiers par pression sociale et le restant pour des raisons financières.

Ne faites pas une loi d'une exception.
Le pluriel en X des noms se terminent par ou ou ne concernent que sept mots. Les 161 autres prennent un S

Je ne dirais qu'une chose, mélez-vous de vos affaires (ceux qui sont concernés se reconnaitrons)

Citation :

Je ne dirais qu'une chose

Euh ... sous quelle condition ? !

Aucune, sinon se mêler de ses affaires.

Tu as employé le conditionnel donc c'est sous condition.

Non, c'est sans condition, je dis à ceux qui tiennent un discours anti trans, mêlez vous de vos affaires.

Je ne vois pas de condition.

Citation :

Je ne dirais

1ère personne du singulier du conditionnel présent.

Non, c'est du futur, j'aurais pu dire, demain Je ne dirais qu'une chose, mêlez vous de vos affaires

conjugaison futur simple je dirai/je ne dirai pas

Bon, le s est en trop

J'avoue la conjugaison n'est pas mon fort.

Le futur c'est "je dirai" et ça ne se prononce pas pareil.

Bah, je dirais

Ou tu vois une condition ? et puis quand on a compris ce que je voulais dire, ce n'est pas important.

Pffff ...je laisse tomber, le hors-sujet nous mène trop loin.

L'important, c'est l'intention.