- Mariine a écrit:
- Est-ce Jésus ou les hommes qui ont fondé une religion en se basant sur Jesus??!
Les vainqueurs écrivent l'histoire les Romains n'étaient pas hébreux et pourtant le siège de la soit disante religion fondé par Jésus se trouve à Rome. Vous trouvez pas ça bizarre? Que ce soit chez l'ennemi que l'on retrouve les fondements? Ce même ennemi qui a fait des copies, ce même ennemi qui cache au public certains textes. Ce même ennemi qui dans ses actes est en total opposé des textes qu'ils se prétend défendre et représenter.
On se demande souvent qui était Jésus mais la vraie question et surtout qu'est réellement l'histoire de Jésus, l'origine, la vérité que depuis des siècles les gagnants ont falsifiés. Pire volé et mixté avec des textes d'autres cultures plus anciennes. Heureusement pour nous que le plus important est avant tout le message et non le messagé mais quand les 2 ont été falsifiés dur dur de s'y retrouver.
Si vous désirez vraiment vous y retrouver lisez le livre dont le nom est indiqué, je vous fait parvenir une introduction et la table des matière afin que vous sachiez à quoi vous attendre.
Les héritiers de l’impérialisme romain Si vous vous demandez pourquoi Rome est appelé dans la bible « la nouvelle Babylone, la mère des prostituées» qui représente le dragon ou le Diable, je vous suggère de lire le livre écrit par François- J. Lessard et édité par Louise Courteau Éditrice.
François-J. Lessard à mis plus de 25 ans de recherches et d’écritures pour nous faire part de ses recherches.
Voici l’avant propos, indispensable à consulter pour la compréhension de ce livre.
Il est évident que l’histoire du christianisme depuis ses débuts est inséparable de celle de l’humanité, particulièrement l’occidentale, d'où, pour les fins de notre propos, la nécessité d’exposer la situation politique de telle ou telle région du globe à certaine époques, sans avoir la ridicule prétention de donner un cours complet d’histoire universelle.
Cette histoire nous révélera-t-elle qu’un mal psychologique et spirituel s »est sournoisement introduit dans l’organisme chrétien et développé graduellement à l’issu de sa victime? Cela pourrait s’avérer exact et en exaspérer plusieurs.
En effet, les faits, tous vérifiables, rapportés dans ce livre ne manqueront pas de démasquer le vrais visage de quelques centaines de personnages supposément respectables et honorés publiquement, comme le dénommé Giovanni Masai Ferretti, un pape dont une grande artère de Montréal porte le pseudonyme, et qui sauf de rare exceptions on été en réalité des assassins couvert de sang des pieds à la tête, de 752 à 1870. Ces individus ont des héritiers directs, bien vivant, en 2005. Il faudra donc s’attendre à ce que ces derniers s’insurgent contre les faits exposés ici et « ruent dans les brancards ».
Pourquoi s’intéresser à l’histoire du christianisme? Pour ma part, ce sont des questions du genre « pourquoi l’inquisition ?», « Pourquoi les croisades » qui m’ont d’abord poussé à entreprendre des analyses documentaires en vérifiant à chaque étapes si les déclarations de tel ou tel auteur étaient ou non confirmés par d’autres et si le simple bon sens et la logique rendaient crédible ou non telle affirmation. J’ai voulu non seulement connaitre les faits et en faire l’analyse et la synthèse, mais aussi voir les relations de causes à effets entre eux.
Au départ, mon ignorance quasi-complète en la matière m’a fait travailler à tâtons plutôt que selon un ordre chronologique, dont le point initial aurait été l’an 33. Comment soupçonner que saint Pierre n’avait jamais été « évêque de Rome »et encore moins « pape »? Qu’il n’y avait jamais eu d’évêques à Rome avant le milieu du 2e siècle et pas de pape avant 386? Comment deviner que « l’Église romaine »avait fondée au cœur même de l’Église chrétienne, en quelques étapes de 754 à 769, d’abord au moyen d’un premier faux document, puis consolidée vers 850 par la falsification de 120 pièces authentiques datant du temps des apôtres… complètement fictives?
Jusqu’à cette recherche, j’avais cru naïvement à un grand nombre de mensonges, répétés de siècle en siècle par « L’Église Romaine ».
Mes recherches m’ont laissé partagé entre la stupeur, l’indignation et la colère, laquelle j’ai pris le temps de laisser tomber autant que possible. Le rire à parfois contribué à désamorcer cette colère; ainsi en fut-il quand j’ai pris connaissance du texte de l’édit du second pape d’Avignon, Jacques Dièse (Clément V) taxant, pour emplir ses coffres, les plaisirs sexuels des laïcs et du clergé, femmes et hommes!
Mais comment a-t-on pu en arriver à une telle décadence, ainsi qu’aux effroyables conséquences d’une monstrueuse fourberie, pendant que d’innombrables catholiques sincères de dévouent corps et âmes pour leurs semblables partout sur le globe?
C’est à Rome, en 313, sous le règne de l’empereur Constantin 1er, qu’a commencé le glissement, d’abord imperceptible, vers le fond de l’abime. Il s’est accéléré graduellement, sans que le « skieur » ne se rendre compte qu’il s’éloignait de plus en plus de la piste sécuritaire et se dirigeait tout droit vers un gouffre.
C’est cette histoire vraie que ce livre tente d’exposer aux yeux du lecteur, cela depuis 313 jusqu’en 2003.
Cette histoire est tissée de faits indéniables, implacables et enchainés les uns aux autres par voie de conséquence. Il n’y est malheureusement pas question « d’accidents de parcours ».
Je n’ai pas tenté de dissimuler des faits qui contre diraient une thèse que je voudrais soutenir, ni de cacher des personnages méritoires dont le courageux comportement à contre courant (comme celui du pape martyr saint Célestin V (août à décembre 1294) ou du pacifiste Benoit XIV (1740 – 1758) Risquerait d’atténuer la noirceur du tableau. Au contraire, placé vis-à-vis une avalanche de faits accusateurs et à une suite de sinistres individus, c’est avec acharnement que j’ai cherché des héros et des saints authentiques à la barre du navire chrétien. Devant des constats si décevants, il aurait bon de découvrit plus de circonstances atténuantes et plus d’acteurs respectables pour alléger le dossier et le rendre plus acceptable aux sceptiques.
Passer en revue la vie d’environ deux cent cinquante « papes » dans une tentative de trouver parmi eux des gens humbles, serviables. Pacifiques, héroïques, aura été un travail fastidieux, mais indispensable à la compréhension l’analyse nous aura conduit à voir quels actes d’importance collective les acteurs de ce drame ont posé, régulièrement et de fait, quand ils n’étaient pas sur la scène publique, à présider des manifestations pompeuses, à prononcer de beaux discours, à faire des charités ostentatoires ou à donner des bénédictions « urbi et orbi »
C’est donc avec un souci d’objectivité et un désir de mettre à jour la vérité des faits que j’ai entrepris le travail dont je m’apprête à exposer les fruits. Dans ma quatre- vingt- sixième année d’existence et touché par une maladie grave, je n’ai pas la plus petite envie de mentir ou de distordre l’histoire, enfin de lui faire »me donner raison ». Avant de comparaitre devant le Dieu auquel je dois tant de bonheur depuis mon premier souffle et dont l’indulgence m’est indispensable, je ne peux que me redire qu’il doit détester le mensonge. Maintenant, à –Dieu-vat
« C’est à ses fruits que vous saurez reconnaitre si l’arbre est bon ou méchant », un arbre bon ne donne pas de mauvais fruits
Croyez moi vous en aurai pour satisfaire votre soif de connaissances et de vérités concernant les héritiers de l’impérialisme romain.
Je vous donne un aperçue de la table des matières
Chapitre 1- Le chemin du « triomphe » du christianisme, de l’an 33 à 313
Chapitre 2- L’embourbement, de 314 à 476
2.1 L’intrusion de l’incroyant Constantin dans la haute direction du christianisme
2.2 L’introduction de la violence dans les mœurs pontificales
2.3 Les deux grandes erreurs de l’empereur Théodose
2.4 L’invention de la papauté
2.5 La Longue agonie de l’Empire romain d’Occident
2.6 La bataille des champs Catalauniques
2.7 L’Empire s’écroule
Chapitre-3 Le glissement vers la décadence de 476 à 754
3.1 Les imitateurs de Constantin, Clovis et les Francs, chouchous des évêques
3.2 Les Goths s’imposent
3.3 Les Byzantins arrivent
4.4 Théodora la Grande
3.5 Les papes après l’infortuné Silvère décédé en 537
3.6 Le rôle indu du haut clergé dans l’administration publique et sa trop grande richesse
3.7 La Guerre des icônes ou la Querelle des Images
3.8 Le point sur la situation politique en Europe occidentale
3.9 Quelle « Indispensable victoire pour l’Europe entière »
3.10 Les Lombards font peur
Chapitre 4- La chute dans l’abime de 754 à 769 et ses conséquences jusqu’en 1870
4.1 La fausse donation de Constantin
4.2 La création des États Pontificaux
4.3 La fondation de « l’Église romaine » (l’édifice) sur les États Pontificaux(les assises)
4.4 Le pacte France-papal
4.5 Les « fausses Décrétales »
4.6 Les meurtres en séries : 8 papes en 8 ans
4.7 La première « pornocratie », de 904 à 1048
4.8 L’imposition du célibat aux prêtres, par un pape « porno »
4.9 Le schisme d’Orient
4.10 Une autre impératrice importante d’Orient
4.11 Les guerres « du Sacerdoce et de l’Empire »
4.12 Les croisades
4.13 L’inquisition
4.14 Les prodromes du déménagement de la papauté à Avignon
4.15 Un saint en enfer
4.16 Les 7 papes d’Avignon
4.17 Le Grand Schisme d’Occident
4.18 La chute de Constantinople
4.19 La revanche de l’Islam sur les Croisés et sur l’Occident
4,20 Intermède
4.21 Les familles aristocratiques papales ou la seconde pornocratie
4.22 L’éclatement du protestantisme en Allemagne
4.23 Le schisme protestant d’Angleterre
4.24 « L’affaire de la Régale » : la France, l’Acadie et la Nouvelle-France à quelques pas du protestantisme
4.25 L’ère des révolutions
4.26 L’avant première, 1775
4.27 La grande première : La Révolution française de 1830
4.28 Les révolutions sud – américaines
4.29 La révolution grecque
4.30 La deuxième Révolution française de1830
4.31 Les révolutions de 1848
4.32 La révolution italienne
4.33 Le dogmatisme
Chapitre 5- De 1878 à 1958 : virages stratégiques
5.1 Léon XIII
5.2 «Saint » Pie X
5.3 La première révolution russe
5.4 La première révolution chinoise
5.5 La première guerre mondiale
5.6 La seconde révolution russe
5.7 La continuation du « chapelet » des révolutions
5.8 L’entre deux guerres
Chapitre6-De 1929 à nos jours
6.1 La plus escroquerie commise depuis Jésus-Christ
6.2 Judas investit ses « 30 deniers »
6.3 Les princes Pacelli
6.4 Les beaux restes du « romanisme » depuis 25 ans
6.5 Le ténébreux pontificat de Montini
6.6 La richesse astronomique de « l’Empire «Vaticanais »
6.7 « La banque du Vatican » commande 950 millions$ de titres forgés, en 1971
6.8 Jean-Paul 1er, assassiné
6.9 L’élection d’un pape polonais, … embêtement pour l’URS
6.10 Le scandale Embrosiano
6.11 L’extension des accords de Latran par Jean-Paul II
6.12 Les Jésuites
6.13 L’Opus Dei
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Michel