Qu'écoutez-vous en ce moment ? III

Rappel du premier message :

Un nouveau topic pour vos musiques préférées

florence_yvonne a écrit:

le 13 06 à 8 h 15

@liv
Tu m'as donné envie de réécouter ce morceau d'Orange Blossom que j'aimais bien il y a quelques années: Habibi de l'album Everything must change (2005).

djep a écrit:

@liv
Tu m'as donné envie de réécouter ce morceau d'Orange Blossom que j'aimais bien il y a quelques années: Habibi de l'album Everything must change (2005).

c'est vrai que c'est une super artiste

musik !! encore et toujours !!

à 11 h 32 voilà ce qui est dans mes oreilles

et à 18 h 20 :)

Yapa .. c'est plus fort que moi.
L'intellectualisme m'em...de

C'est un appel désespéré à Dieu pour qu'il se manifeste...

Si tu ne sais élargir ton champ visuel, au moins élargis ton champ auditif.
Déçue, je suis ... limité, tu es.

@liv, super lien ci dessus, je ne connaissais pas du tout

pour mon réveil

La musique est mon église

Le fatalisme n'est pas une fatalité. C'est un espoir perdu dans une explication mal expliquée, mal comprise.

Rameutons l'ensemble
Trouvons tous ceux qui savent lire, entendre et voir
L'Avenir est nous
Soyons

Se complaire dans sa complainte ...
Car sans elle, je ne suis plus rien puisque toute l'importance de ma vie est dedans.
C'est omniprésent, cela revient sans cesse. J'en donne l'importance ! seule, je décide !
Quelle erreur choisir ?

La moins pire, celle qui fera le moins de dégât.

Arrêtez de vous tromper de sujet.
Il y a urgence !
pour nos enfants !

Jolie chanson, FY :)

Ce soir, je suis barmaid bénévole à un concert.
Ce sont eux ... KokoBasaï

Fond sonore

Comment ça marche ?

ben ? en cliquant sur le triangle

Vic Vogel s'éteint


Vic Vogel The way

Paroles de la chanson Urubus par Bernard Lavilliers
Urubus, vous n'avez pas de cri
Cri de chasse, cri d'amour, cri de peur
Urubus, vous attendez qu'on meure
Mort de faim, mort d'amour, mort de peur
Cercles noirs cisaillant le ciel vide
Sans espoirs, attentifs et avides
Sans beauté, sans couleur et sans race
Obstinés, nettoyeurs et voraces
Anonymes citoyens solitaires
Charognards, utiles, élémentaires
Voyageur si tu plies, si tu tombes
Méfie-toi de l^Òombre de ton ombre
Urubus, vous n'avez pas de cri
Cri de chasse, cri d'amour, cri de peur
Urubus, vous attendez qu'on meure
Mort de faim, mort d'amour, mort de peur

C'est ta vie qui ne tient qu'à un fil
Si tendu, si ténu, si fragile
Angle droit du désert du Sertão
Si stérile, si perdu, si brûlant
Le soleil, mangeur d'hommes et de fous
Immobile, efficace et tout roux
Trace encore quelques barreaux obliques
Entre toi et ta mort symétrique
Urubus, vous n'avez pas de cri
Cri de chasse, cri d'amour, cri de peur
Urubus, vous attendez qu'on meure
Mort de faim, mort d'amour, mort de peur
Le silence est un cri qu'on étouffe
Et la peur du sable dans ta bouche
La lumière un fusil dans les reins
La fatigue un foyer qu'on éteint
Tous tes pas dans la poussière qui danse
Sont comptés par le temps qui avance

Tu oublies et tu crois qu'il s'endort
Il te suivra jusqu'à Salvador
Tournez, Urubus
Quand la lumière des villes s'obscurcit vers le néon fragile !
Planez, Urubus
Au-dessus des soumis comme une ombre portée sur la vie !
Vivez, Urubus
Cachés dans vos buildings sans un cri, penchés sur vos plannings !
Vivez, Urubus
Glissez vos doigts d'acier dans nos démocraties avancées !
Tournez, Urubus
Donnez-nous un peu d'air et on vous laisse le phosphate et le fer !
Tournez, Urubus

Qui contrôlez le temps, mines d'or, de platine, de diamants !
Tuez, Urubus
Tout ce qui vous résiste, ce qui vit, qui respire, qui existe !
Fouillez, Urubus
Au fond de leurs entrailles, becs crochus, longs couteaux et tenailles !
Cherchez, Urubus
Ce qui nous fait marcher, ce qui nous fait rêver, nous aimer !
Planez, Urubus
Au-dessus du linceul que déchire le poing d'un homme seul !
Crevez, Urubus
Tombez comme des pierres sur la terre, le goudron en enfer !
Personne Urubus

Ne viendra vous becqueter
Même pas les fourmis rouges affamées
Urubus
Les aigles sont déchus
Innombrables vous gardez les issues !

Je voudrais oublier le temps
pour un soupir, pour un instant,
une parenthèse après la course,
et partir où mon cœur me pousse.

Je voudrais retrouver mes traces
où est ma vie, où est ma place,
et garder l'or de mon passé
au chaud dans mon jardin secret.

Je voudrais passer l'océan,
croiser le vol d'un goéland,
penser à tout ce que j'ai vu,
ou bien aller vers l'inconnu.
Je voudrais décrocher la lune,
je voudrais même sauver la Terre
mais avant tout je voudrais
parler à mon père,
parler à mon père.

Je voudrais choisir un bateau,
pas le plus grand ni le plus beau,
je le remplirais des images
et des parfums de mes voyages.

Je voudrais freiner pour m'asseoir,
trouver au creux de ma mémoire
des voix de ceux qui m'ont appris
qu'il n'y a pas de rêve interdit.

Je voudrais trouver les couleurs,
des tableaux que j'ai dans le cœur,
de ce décor aux lignes pures,
où je vous vois et me rassure.
Je voudrais décrocher la lune,
je voudrais même sauver la Terre,
mais avant tout,
je voudrais parler à mon père,
parler à mon père.

Je voudrais oublier le temps
pour un soupir, pour un instant,
une parenthèse après la course,
et partir où mon cœur me pousse.

Je voudrais retrouver mes traces
où est ma vie, où est ma place,
et garder l'or de mon passé
au chaud dans mon jardin secret.

Je voudrais partir avec toi,
je voudrais rêver avec toi,
toujours chercher l'inaccessible,
toujours espérer l'impossible,
je voudrais décrocher la lune,
et pourquoi pas sauver la Terre,
mais avant tout je voudrais
parler à mon père
parler à mon père
je voudrais parler à mon père
parler à mon père

Jaba The Earth is Flat

Honest with yourself

Basse +