Les arbres communiquent entre eux, via un langage chimique élaboré. Ils échangent, à longueur de journée, une foule d’informations.
Incroyable, n’est-ce pas ? La découverte des VOC (composés organiques volatils) est extrêmement
récente et le champ d’investigation est immense.
Cela prouve que nous sommes tous reliés... D'apprendre cela devrait immédiatement transformer la compréhension de la vie de celui qui vient de lire cela, pourtant malgré cette preuve, la plupart des gens ne font aucune recherche complémentaire pour en savoir plus... Alors que cette réalité remet toute notre vie en question..
C'est ce qu'à découvert le biologiste Ruppert Sheldrake : les champs morphiques qui relient les hommes et les animaux entre eux.
Ce serait comme une matrice invisible comme un espace qui engloberait les être vivants.
Il nous est tous arrivé de vivre d'étranges phénomène qu'on a du mal à expliquer comme d'avoir oublié quelqu'un depuis des années et de penser à lui d'un coup et le téléphone sonne et c'est justement lui au bout du fil..
Comment font les nuées d'oiseaux en vol pour changer de direction tous ensemble en une fraction de seconde sans se toucher alors qu'ils sont très rapprochés, pareil pour les poissons qui nagent en bancs, comment un animal sait que son maître va rentrer en cette seconde, comment se repère un pigeon,les oiseaux migrateurs...
Des expériences ont été faites en rendant les poissons aveugles puis leur ont sectionné au niveau des ouies des poissons étudiés et leur nage est restée pourtant synchonisées avec celles des autres..
Voici une histoire vraie qui nous oblige à transformer notre regard sur nous et la nature ainsi que notre relation aux autres :En 1980, plusieurs corps de Koudous d’élevage sont retrouvés inanimés dans leurs enclos au pied
d’acacias. Des chercheurs sud-africains se penchent sur le sujet et suspectent aussitôt des
mécanismes de défense inédits.
Une expérience est réalisée : fouetter vigoureusement les feuilles et les analyser.
Le constat est clair : en deux heures, les acacias ont augmenté deux fois et demie leur teneur en
tanin. Et, des acacias situés à plusieurs mètres de là en ont fait autant. Il y a eu transmission d’un
message d’alerte d’un arbre à l’autre.
En étant agressée, la feuille d’acacia libère un gaz : l’éthylène, qui rayonne sur six mètres, se dépose
sur les feuilles voisines et déclenche chez ces dernières la sécrétion du tanin.
De récentes études ont montré que la teneur en tanin contenue dans les feuilles pouvait atteindre
des doses létales.
En période de sécheresse, l’herbe se fait rare. Les feuilles d’acacias sont la seule denrée accessible
pour les antilopes. Limités géographiquement par leurs enclos, les koudous agressent à répétition les mêmes arbres. La survie du végétal étant compromise, l’acacia augmente sa production de tanin, provoquant inéluctablement la mort de l’herbivore.
Ce phénomène n’a pas été observé dans la nature, car à l’état sauvage les koudous changent
d’arbres lorsque le goût des feuilles se trouve altéré.
L’étrange communication des arbres n’a pas cessé de nous étonner. D’autant plus que nous-même,
êtres humains, émettons en permanence des messages inconscients aux individus alentours.
En plus d’utiliser la parole comme moyen d’expression, notre corps envoie et reçoit une multitude de phéromones, porteuses de caractéristiques personnelles.
Ces molécules proviennent pour la
majorité des aisselles, du cuir chevelu, des tétons et des organes génitaux.
Ces informations chimiques échangées dans les airs jouent un rôle essentiel dans nos relations
sociales.
Ce qui est le plus extraordinaire dans l'histoire c'est que les arbres ce trouvant à des kilomètres de là, n'ayant pas été au contact des antilopes, ont reçu l'information et ont réagit de la même manière... Ce qui prouve qu'ils ont reçu l'information des premiers arbres.