" Un des fondements du christianisme est qu’il y a deux mille ans, Dieu a manifesté son amour à l'humanité en envoyant sur la terre «son fils unique».
Pendant une période, cette croyance a peut-être aidé certains d’entre eux à évoluer, mais maintenant il faut abandonner une énormité pareille.
Car ce n’est pas une bonne compréhension de l’amour de Dieu, qui est immense, inépuisable, infini.
Dieu a eu beaucoup de fils et de filles, Il en a et Il en aura encore beaucoup.
Depuis des milliers d’années, Il envoie sur la terre des êtres exceptionnels pour éclairer leurs frères et leurs sœurs, et Il en enverra d’autres.
Il n’a que faire de ceux qui Lui interdisent d’avoir d’autres fils que Jésus, ou qui racontent qu’avant la venue de Jésus les humains étaient privés de la vraie lumière.
Comme si le salut des humains devait dépendre de l’époque où ils ont vécu: avant Jésus ou après lui!
Les Eglises peuvent bien s’obstiner à fixer un commencement et un terme à la révélation divine, le Seigneur, Lui, n’est pas impressionné par ces décrets.
Il continue à ne pas en tenir compte, Il est bien au-delà, et Il ne cessera pas d’envoyer des êtres qui apporteront chaque fois de nouvelles lumières au monde. "
Source====>Témoignage de
Omraam Mikhaël Aïvanhov (1900-1986) que j'intitule volontiers :
UN COUP DE PIED DANS LA FOURMILIERE.=====>
« Donner un coup de pied dans la fourmilière »:L’expression est très évocatrice : c’est lorsqu’une déclaration ou
une remise en question vient troubler la vie d’un petit monde qui est tout centré sur ses préoccupations, ses obsessions et son petit ronronnement. Quelque chose d’inattendu ou de désagréable vient mettre en émoi "tout un tas de gens" qui auraient préféré ne pas trop se poser de questions.