partager

ma foi me procure un sentiment que j'ai toujours recherché, la sérénité, seule ombre à mon bonheur, ne pas pouvoir le partager.

est-ce cela que vous ressentez aussi ?

ça se partage pas ça se distille...

Ze Guru a écrit:

ça se partage pas ça se distille...

dans un allambic ?

florence_yvonne a écrit:

Ze Guru a écrit:

ça se partage pas ça se distille...

dans un allambic ?

Dans un sens celui des alchimistes, certain pense qu'un partie d'entre eux on introduit la science des chakras sous la forme déguiser de l'alchime pour la caché à un époque controverser et que l'athanor corresponds au corps dans lequels il faut faire un précipités des énergies pour obtenir la pierre philosophole, un metaphore du roc repris par les francs-maçon ou l'être est un pierre qu'il faut tailler pour en faire resortir le diamant ou l'oeuvre qui si cache...

Pour le déisme je n'emploirais pas le mot foi. Pour moi la foi c'est quand on est strictement sur de quelque chose, voire même qu'on est obligé d'en être sur. Les déistes ont une démarche d'incroyance. Ils croient en Dieu, mais après, ils sont conscient que leur idée de Dieu n'est qu'une projection humaine, et n'est que partielle, imparfaite, qu'ils peuvent se tromper sur certains points et que personne n'a la vérité absolue.

Pour un religieux, le déisme peut déjà être traumatisant. Par exemple étant petit, la mort m'était totalement étrangère. J'étais sur que de toute façon, après on réssusciterait, pas une seconde je n'aurais eu l'idée que la Bible pouvait se tromper. Tout comme le feu brûlait et la pluie mouillait, Dieu avait envoyé son fils pour nous sauver et nous allions être ressuscités après la mort. Le fait de ne plus avoir d'indication sure sur ce point peut faire tout drole au début. Et ceci sans être athée matérialiste (alors là c'est la déprime totale).

Après on s'y accomode et on trouve que c'est plus intéressant que Dieu ait fixé ces règles du jeu-là. Actuellement je suis très satisfat que ce soit comme ça. Je détaillerai plus à l'occasion.

Tu n'as pas du tout compris ce que signifiait le mot "foi", pourtant nous en avons tous pas mal parlé sur ce forum... La foi n'a rien à voir avec la croyance. On peut être athée et posséder la foi. La foi, c'est l'amour total en quelque chose. On peut avoir foi en Dieu. On peut avoir foi en la vie. On ne peut pas avoir foi en la violence ou la haine. La plupart des hommes n'ont foi en rien, autant les athées que les religieux. Ils croient bêtement à des choses qu'on leur a inculqué, c'est tout, et n'y croient parfois même qu'à moitié. Personne ne peut t'enlever la foi, alors qu'on peut t'enlever tes certitudes les plus profondes. Elle est là, dans le coeur de chaque homme, comme un espoir latent, parfois dissimulée au plus profond de soi, parfois chassée dans un petit coin de notre être, mais toujours présente. La foi done l'espoir, la gaieté, l'amour, la compassion, parce qu'on sait, non pas mentalement mais dans son coeur, que l'amour est plus fort que tout. Les sages nous montrent ce qu'elle est vraiment, pas les imbéciles qui ont créé l'inquisition ou qui sont pour des guerres de religions. Dans deux religions qui s'opposent, ou dans une religion et un athéisme le plus total, les hommes peuvent parfois être plus proches que deux êtres d'une même "confession" parce qu'ils possèdent la foi...
Tu partages ta foi, florence, à chaque fois que tu offres un sourire rayonnant aux autres. A chaque fois que tu accomplis une action désintéressée eet remplie d'amour, tu partages ta foi. Le sentiment de reconnaissance que les autres ressentent alors à ton égard est un germe de cet amour inconditionnel que chacun possède au plus profond de soi.

C'est un problème de définition. Sous le mot "foi" nous n'avons pas mis la même définition. Je n'ai rien contre une espérance, à priori rien même contre uen certitude. Pourvu que cette certitude ne soit pas obligatoire pour échapper à l'enfer et qu'on soit prêt à changer d'opinion si l'on se rend compte qu'il y a quelque chose qui choche, bref, que l'on soit prêt à accepter la vérité, quelle qu'elle soit.

météo a écrit:

C'est un problème de définition. Sous le mot "foi" nous n'avons pas mis la même définition. Je n'ai rien contre une espérance, à priori rien même contre uen certitude. Pourvu que cette certitude ne soit pas obligatoire pour échapper à l'enfer et qu'on soit prêt à changer d'opinion si l'on se rend compte qu'il y a quelque chose qui choche, bref, que l'on soit prêt à accepter la vérité, quelle qu'elle soit.

Pourtant: Mieux vaut un mensonge rassurant qu'une verite qui decevante.
C'est du moins ainsi que fonctionnent beaucoup de gens.

salut
j'abonde dans le sens de ANGE.la foi n'a pas grand chose a voir avec la religion,ni méme avec dieu.comme disait ange on peut étre athée et avoir une foi en béton.
la foi c'est croire en qq chose en absence de tout doutes,c'est une certitude tranquille ,profonde qu'un qq chose que l'on a décidé EST DEJA LA.
CEPENDANT,la foi cache autre chose: le pouvoir DE CREER. l'exemple le plus flagrant est jesus creant pains et poissons.

florence_yvonne a écrit:

ma foi me procure un sentiment que j'ai toujours recherché, la sérénité, seule ombre à mon bonheur, ne pas pouvoir le partager.

est-ce cela que vous ressentez aussi ?

Qu'est-ce qui t'empêche de partager ta "sérénité" que procure ta "foi"?

le respect de mon prochain, si sa foi lui convient et qu'il n'a pas envie d'en changer, pourquoi chercherais-je à lui imposer autre chose ?

maintenant, si ma vision de Dieu t'intéresse, je veux bien la partager