L'école Bedford, située à Montréal, a récemment été au cœur d'une polémique en raison d'un climat de travail toxique. Plusieurs enseignants de l'école ont été accusés de comportements problématiques, notamment un groupe d'enseignants d'origine maghrébine qui aurait influencé les matières enseignées, notamment en omettant certains sujets comme les sciences et l'éducation à la sexualité, car ces sujets allaient à l'encontre de leurs croyances religieuses.
Il n’est plus possible d’ignorer les signaux alarmants de l’islamisation rampante dans certaines institutions du Québec, et l’affaire de l’école Bedford en est un exemple criant. Voilà une école publique où des enseignants, brandissant leur foi comme étendard, ont réussi à soustraire des matières fondamentales au programme, sous prétexte que la science ou l’éducation à la sexualité ne correspondaient pas à leurs valeurs religieuses.
Nous assistons ici à un cas flagrant d’une minorité qui impose, en catimini, son ordre moral au reste de la société québécoise. C’est cette logique de communautarisation, de fragmentation culturelle, qui menace l’essence même de notre projet national. À force de tolérer l’intolérable, nous risquons de voir la neutralité de l’État céder sous la pression d’une diversité mal comprise. Ce phénomène n’est pas anecdotique, il est le reflet d’une idéologie qui refuse l’intégration et qui cherche à façonner la société québécoise à son image, au détriment de nos valeurs laïques.
Si nous ne réagissons pas maintenant, avec fermeté et conviction, à ces tentatives insidieuses de modifier notre cadre éducatif et social, nous courons le risque de voir se multiplier des situations similaires, où le particularisme religieux prend le pas sur le bien commun.