Le mythe d’une identité figé.

Je pense que l’idée que les gens sont des identités fermés est très dangereux car alors des l’enfance on diras : celui la est méchant , celui est bon , celui la est intelligent, celui la est bête .
Hors les nouvelles découvertes nous prouves ce que les bouddhistes savaient déjà , c’est à dire que l’identité n’est pas une petite boule fermé et tangible mais un flux de conscience en constante évolution.

L’idée que les gens sont des petites choses ferme sur elle même contribue à la déshumanisation des personnes , on verra l’autre comme un petit robot branché sur un seul programme , hors l’être humain est bien plutôt un vent qui emporte avec lui les influences qu’il as subit mais il peux en changer .

UEH bonjour :

Dans ce cas il s'agit de considérer l'être comme un animal sans âme, je pense que tu parles des athées qui pensent que l'humain est simplement un assemblage d'atome, on connaît la pensée de ce type d'humanoide athée, pour bon nombre d'entre eux c'est plutôt la haine qui domine leurs psychés ...

Non justement pas il s’agit de considérer l’âme de l’être humain comme quelque chose (d’ailleurs c’est par abus de langage qu’on dit un quelque chose ) de non-figé , non réductible à l’espace et au temps .
C’est une approche non-réductionniste par excellence .

Loganj a écrit:

UEH bonjour :

Dans ce cas il s'agit de considérer l'être comme un animal sans âme, je pense que tu parles des athées qui pensent que l'humain est simplement  un assemblage d'atome, on connaît la pensée de ce type d'humanoide athée, pour bon nombre d'entre eux c'est plutôt la haine qui domine leurs psychés ...

J'ai trouvé une citation aujourd'hui qui m'a fait pensée à toi :

Prabhupada a écrit:

Le Seigneur demande que l'on s'abandonne à Lui; cependant, des hommes de moindre intelligence et de pseudo-érudits interprètent mal ce commandement et enjoignent à tort les masses de les rejeter. (...) Mais cela n'empêche pas nos "érudits", de nature démoniaques, d'égarer les masses, qu'ils orientent vers une vérité impoersonnelle, éternelle, non née et non manifestée, plutôt que de les guider vers l'abandon à Dieu, la Personne Suprême.