petitpapatahar Etudiant
Nombre de messages : 125 Age : 62 Localisation : Bobigny Date d'inscription : 29/01/2015
| Sujet: Mon livre du mois d'aôut, partie 4, par Jésus Christ Le Messie Mer 1 Sep 2021 - 1:06 | |
| La suite de la partie trois
J’en ai assez dit sur notre origine, sachez que même si nous portons cette mémoire comme le nez au milieu de la figure, elle n’est d’aucune conséquence dans nos décisions et nos choix qui relèvent de choix conscients réfléchis au delà de cette fameuse question sexuelle, et cela depuis déjà des millions d’années.
Les animaux
Les animaux sont le chemin par lequel l’homme va reconquérir son environnement,jjjjjjjjjjjjjjjjjjjjuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ( ça c’est ma petite chatte qui est passée sur mon clavier pour venir atterrir sur mes cuisses pendant que j’écris).
Oui, vraiment, les animaux, la compréhension du monde animal est la porte ouverte à une toute nouvelle humanité. Cette porte est déjà entrebaillée, l’on commence à entrevoir les animaux comme des êtres sensibles, moi je l’ouvre en grand pour vous dire la certitude des choses là aussi, et voilà La Vérité.
Les animaux n’ont pas de différences avec nous ils et elles ressentent toutes et tous de l’amour pour la vie, ils et elles sont amoureux de l’existence à un point que nous ne pouvons à peine imaginer.
Les animaux témoignent que c’est l’amour de Dieu qui règne dans cet Univers un amour profond infini confiant en la vie fidèle en amitié, habité d’un grand pardon, cela vaut pour votre chat, votre vache, votre moucheron, tous les êtres qui habitent cet univers sont forgés dans ce profond amour naïf et infini, fait de don de soi. Jésus Christ, bouddha et tous les prophètes ne sont que le reflet du retour à la plénitude de l’appartenance à un tout dans un univers où tout n’est que don de soi et amour. C’est là l’harmonie du monde. C’est ce monde qu’il faut désormais explorer avec le cœur pour se comprendre soi même.
Malgré toutes les critiques que vous pourrez proférer, et je vous y encourage toujours car le doute est toujours l’ornière de nouvelles certitudes, et les vérités mêmes divines ne restent vérités que par rapport à un niveau de connaissances de l’homme, et régulièrement Dieu a envoyé des messagers pour actualisé le message divin au degré de sensibilité atteint par l’homme sur un plan intérieur comme par rapport à son environnement.
Mais voilà La Vérité après sept millions d’années de cécité.
Le Paradis est ce que vit le monde animal intérieurement, chaque être vivant est au Paradis et se sent en phase totale tout le temps avec l’univers. Chaque être vivant est précieux, ce qui guide le vol du papillon c’est la tendresse et l’amour. Ces câlins que se font ces pigeons sont la preuve d’un amour fidèle et indéfectible.
L’instinct, comme l’on dit, la soumission à l’instinct ne signifie pas que l’amour ne fait pas partie de l’instinct. En fait l’amour est le sentiment premier de vie il anime chaque être vivant. Le monde de Dieu est un monde d’amour. Fait d’un amour encore plus naïf que celui des bisounours.
Vous me direz, et la souffrance et la cruauté des scènes de vie animale, où est l’amour ?
Là, je voudrais témoigner par ma propre chair d’une expérience vécue quand j’avais sept ans je me suis noyé à la piscine sans que le maitre nageur s’en aperçoive.
Alors que je me debatais sous l’eau, soudainement mon esprit s’est rempli d’un calme olympien, je ne ressentais aucune souffrance j’étais comme coupé de mon corps, mes yeux voyait des bulles sortir de mon nez ma bouche, alors que je voyais mes pieds se débattre à toute force je ne ressentait rien, jusqu’à ce que dans un réflexe de ma jambe je ne remonte à la surface et retrouve la barre du maitre nageur quelque peu négligent.
Cette possibilité que le système neuro-végétatif nous épargne la souffrance lors de risque de mort pour laisser place qu’aux seuls réflexes de survie a été une réalité pour moi. Elle n’enlève rien cette connaissance à la pitié des scènes cruelles que suscitent en moi le monde animal, j’ouvre toujours la fenêtre aux petites mouches qui s’y collent pour sortir mais aussi pour fuir la chasse de ma petite chatonne.
Mais je voudrais dire que nous les hommes nous avons cette particularité d’ « accoucher dans la souffrance » dans le sens ou nous sur-conscientisons nos souffrances par l’étude consciente de ces dernières.
A suivre
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