MACCHAB

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JONAS a écrit:

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MACCHAB
Tu parcours  des couloirs sombres ,
Tes bras  vannés .
Tu ne vois pas le mur,
Tu prolonges ta résipiscence .
Au bout , une étoile timide,
Quelques rayons .
Las , tu murmures :
Et si vivre était  autrement ?
Que c'est affligeant
La traversée vers la brume !
De toute manière , personne n'en sortira vivant.

Jonas El Maghfour

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Salut Jonas,

Très bien rendu...

Je vois une suite à ce poème, dans le sens de 'ta vie est un poème'...

Merci de passer me lire Sky !

Ce serait magnifique d'avoir une suite à ce poème un peu lugubre
" Notre vie est un poème
Que nous avions écrit
Sous le pont Mirabeau
C'était le temps retrouvé
La fureur d'aimer
A l'est des aléas de la vie .

Là ,je m'amuse à faire des références : Apollinaire , Proust , James Dean
Mais c'est loin d'être un poème parce que c'est pas travaillé stylistiquement parlant

Jonas

JONAS a écrit:

Merci de passer me lire  Sky !

Ce serait magnifique d'avoir une suite à ce poème un peu lugubre

Salut Jonas,

J'en ai aussi écrit quelques-uns dans le même esprit. Les images et impressions venaient, s'enchaînaient, sans trop savoir d'où ça venait...

skye a écrit:

(....)


Salut Jonas,

J'en ai aussi écrit quelques-uns dans le même esprit. Les images et impressions venaient, s'enchaînaient, sans trop savoir d'où ça venait...

Salut Sky !
Oui cela m'arrive souvent de ne pas savoir " d'où ça venait "
Ce que j'écris parfois me surprend et ça m'embarque dans un monde étrange
un monde à moi pour ne pas subir la laideur de ce monde
simplement , on crée la beauté qui nous éloigne sans parti du plancher des vaches
Enfin , on écrit pour ranger "le bordel de nos idées " qui nous empêche de voir le monde autrement
Pour cela , il faut écrire Sky , écrire , écrire sans cesse
Tu vas savoir que tu as écrit quelque chose de beau quand ta corbeille est pleine de papiers
froissés et que tu n'as écrit que quelques lignes sur "la terrible page blanche" (Maurice Blanchot)
Mais avec le temps , on peut se débarrasser de ce maudit angoisse ; ce qu'on appelle
" le syndrome de la page blanche "

Courage Sky ! Poste ta poésie sur le Forum , je serai toujours présent pour te lire
Bien sûr , les gens se cramponnent aux fadaises de Watsapp et Instagram et ne lisent pas
la poésie , voire ne lisent plus de tout .


Jonas

À ceux que j’aime, et qui m’aiment – Poème amérindien

Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir
Car j’ai tellement de choses à faire et à voir !
Ne pleurez pas en pensant à moi !
Soyez reconnaissants pour les belles années
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !
Vous ne pouvez que deviner
Le bonheur que vous m’avez apporté !
Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré !
Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul.
Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous ne serons séparés que pour quelques temps !
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !
Je ne suis pas loin et et la vie continue !
Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai !
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là,
Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement
La douceur de l’amour que j’apporterai !
Quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir
Absent de mon corps, présent avec Dieu !
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer !
Je ne suis pas là, je ne dors pas !
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d’automne,
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit !
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer
Je ne suis pas là, je ne suis pas mort.